Conjoncture du 30 Octobre au 03 Novembre 2017



Veille Maraacid


 

PLF 2018 : Boussaid défend un Budget «volontariste»

Le ministre des Finances justifie les choix forts de l'Exécutif qui a élaboré un Budget 2018 de «volontariste, à forte vocation sociale et priorisant l'investissement privé et l'emploi».Le premier se voit attribuer pour 2018 une rallonge de 5 milliards de DH, portant son budget à plus de 59 milliards de DH, et la création de 20.000 postes budgétaires. Le budget du département de la Santé s'apprécie de 500 millions de DH à plus de 14,8 milliards de DH, «compte non tenu des comptes spéciaux du Trésor qui financent la réalisation des CHU de Tanger et d'Agadir, et la rénovation du CHU de Rabat, qui ne figurent pas dans le budget», tient à préciser Boussaid. 4.000 postes budgétaires supplémentaires ont été par ailleurs programmés pour le ministère de la Santé.

Régime de change : «Le Maroc est prêt, mais la décision reste souveraine» (FMI)

Jihad Azour (photo), Directeur du département «Moyen-Orient et Asie Centrale» du Fonds Monétaire International (FMI), été hier à Rabat pour évoquer les Perspectives économiques régionales pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord. Le responsable a abordé la question de la migration graduelle du dirham vers plus de flexibilité, qui a fait l’objet d’un report de dernière minute en juillet dernier. Selon J. Azour, «le Maroc est prêt. Nous avons aider le Maroc pour les préparatifs, et le cadre macro-économique du Royaume ainsi que les réformes qui ont été entreprises ont permis renforcé la stabilité financière du pays».

La croissance d’entreprise au Maroc : Questions à Aziz Taib, Consultant RH

Adaptation du management, recrutement de nouvelles compétences, identification des savoir-faire clés… Généralement beaucoup de paramètres rentrent en jeu quand l’entreprise connaît une forte croissance. Au-delà des problématiques classiques d’investissement, de sourcing, de réseaux de vente…, le principal défi à relever est un défi de ressources humaines. En effet, une forte croissance requiert souvent des ressources supplémentaires à attirer/recruter, à former et à intégrer, mais aussi la nécessité de faire évoluer les ressources existantes.

Fonds de développement rural et des zones de montagne : Aziz Akhannouch met les points sur les «i»

Bonne gouvernance, efficience et intégration. Ce sont les principaux axes sur lesquels s’articulera la nouvelle étape de la gestion du Fonds de développement rural et des zones de montagne. Ces grandes lignes ont été dévoilées par Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, lors de son intervention devant la commission de contrôle des finances publiques au sein de la Chambre des représentants. Le ministre a présenté, dans ce sens, un exposé détaillé sur le fonctionnement du Fonds et les obstacles auxquels il est confronté, tenant ainsi à corriger les fausses idées qui circulent à ce propos.

Gaz butane et sucre : Les créances non encore payées représentent plus de 2 mois de subvention

La charge globale de la subvention du sucre au mois d’août 2017 a enregistré une hausse de 2% aussi bien en quantité qu’en valeur. Se référant aux données statistiques de la charge de compensation livrées par le ministère, 3,55 milliards de dirhams sont affectés à la subvention de sucre et 7,7 milliards alloués à la subvention du gaz butane au 31 octobre 2017. La Caisse rappelle dans ce sens que la loi de Finances 2017 avait prévu une dotation budgétaire globale de compensation de l’ordre de 14,65 milliards de dirhams pour soutenir les prix à la consommation du gaz butane, du sucre et pour financer les mesures d’accompagnement à l’ONEE. Au niveau sectoriel, entre 2016 et 2017, l’évolution de la charge de compensation du gaz butane a connu une hausse d’à peu près 53%.

Le Maroc à la recherche d'un nouveau modèle de développement

Le modèle de développement n'est ni un programme économique, ni des réformes à entreprendre. C'est un cadre de référence auquel font appel les acteurs en charge d'élaborer les politiques publiques, un ensemble d'axes stratégiques à suivre en vue d'améliorer le niveau de vie d'un peuple. La raison d'être de ce modèle est, donc, de définir les grandes orientations stratégiques dans lesquelles s'inscrivent les réformes structurantes.

Rapport d'activité 2016 de l'IRD

La mobilisation internationale sans précédent de la communauté scientifique lors de la Marche pour les sciences du 22 avril 2017, à l’initiative de nos collègues américains, comme l’appel lancé le 1er juin 2017 par le président de la République, à accueillir en France les chercheurs étrangers soucieux de poursuivre la lutte contre le réchauffement climatique nous rappellent, s’il en était besoin, que les défis qui s’ouvrent à nous et concernent l’avenir de la planète toute entière, rendent impérative la défense d’une science responsable, engagée et disposant d’une réelle autonomie par rapport à tous les intérêts particuliers quels qu’ils soient.

Ouverture sur l’économie mondiale: Le Maroc décroche lentement du marché européen

Le Maroc passe à la vitesse supérieure dans son intégration à l’économie mondiale. Ce nouveau départ repose essentiellement sur la diversification des partenaires du Royaume qui tient à sortir des sentiers battus, en renforçant son ancrage africain, tout en mettant le cap sur d'autres régions du monde, notamment l’Asie. Cette mutation qui s’opère progressivement transparaît ainsi dans la structure des échanges extérieurs du Maroc.

Le coût du beurre va encore augmenter en 2018

Le prix du beurre n’a pas fini de flamber! Dans son édition du jeudi 2 novembre, L’Economiste rapporte qu’en raison d’une pénurie au niveau mondial et d’une intensification de la demande, les cours ne cessent d’augmenter. Le quotidien précise qu'ils sont passés de 4.300 euros à 7.200 euros depuis quelques semaines, alors qu’ils se négociaient à peine à 3.000 dollars au début de l’année dernière. Cela se traduit concrètement, au Maroc, par un prix final de «90 à 100 dirhams, la TVA à l’import comprise, contre environ 60 à 70 dirhams auparavant».

Indicateurs Doing Business : Le palmarès du Maroc

L’indicateur «Création d’entreprise» recense toutes les procédures officiellement exigées ou couramment effectuées, ainsi que les délais et le coût qu’un entrepreneur doit entreprendre lors de la création et la gestion officielle d’une entreprise industrielle ou commerciale. Le rapport Doing Business part du principe que toutes les informations nécessaires doivent être facilement accessibles. En matière de création d’entreprise, la Maroc a progressé de 5 places par rapport à l’année précédente en passant du 40ème au 35ème rang, et de 58 places par rapport à l’édition du rapport de 2012. Ce score a été rendu possible grâce à des réformes entreprises, notamment la suppression de l’exigence d’un capital minimum pour la création d’une entreprise.

Le Maroc, un hub régional de l'industrie des lubrifiants

"Le marché marocain dispose de potentialités énormes pour développer l'industrie de transformation et de fabrication des lubrifiants et se positionne de plus en plus comme le hub incontournable pour l'export vers l'Afrique", a relevé M. Bouzoubaa, lors d'une intervention à la 6é conférence africaine sur les huiles de base et des lubrifiants, organisée par l'ICIS -Independant Chimical Information Service.

Maroc : un solide plan d'affaires en Afrique

Depuis plus de dix ans, les opérateurs marocains étendent leurs activités à travers le continent. Jusqu’alors surtout centrée sur les services, leur présence se diversifie, notamment dans l’industrie. En 2018, les entreprises marocaines devraient une nouvelle fois se faire remarquer en Afrique subsaharienne. Plusieurs grands projets menés par des opérateurs du royaume vont en effet voir le jour. Outre les cimenteries que le groupe d’Anas Sefrioui, Cimaf, continue d’essaimer à travers le continent, deux unités pharmaceutiques devraient démarrer leur production, en Côte d’Ivoire et au Rwanda.

Crédits bancaires : Un encours de 830,27 milliards DH à fin septembre

Le rythme des crédits bancaires s’est ralenti au neuvième mois de l’année. La croissance annuelle semble connaître une décélération au mois de septembre revenant à 4,5% après 5,1% un mois auparavant. Une évolution qui se traduit par un encours global de 830,20 MMDH, en consolidation de 35,47 MMDH par rapport à la même période de l’année passée. Cette tendance relevée dans le dernier bulletin des statistiques monétaires de Bank Al- Maghrib reflète une décélération de l’ensemble des composantes des crédits bancaires. Par objet économique, la courbe des crédits immobiliers est descendue à 3,4% contre 3,7% un mois auparavant.

Emploi vert : un gisement toujours pas exploité

Le Maroc doit relever un double défi : absorber le chômage des jeunes et lutter contre les effets des changements climatiques. Malgré un gisement important, la promotion des emplois verts reste très timide. La situation des jeunes au Maroc est de plus en plus inquiétante. Inadéquation entre formation et offre d’emploi, iniquité sociale, manque de visibilité etc., les jeunes âgés de 15 à 24 ans sont les plus touchés par le chômage qui atteint 23% pour un taux national qui frôle 10%.

Capital humain: La Banque mondiale lance le plus grand projet de son histoire

Dans les pays à haut revenu, le capital humain représente 65% de la richesse globale. Cette part est de seulement 40% dans les pays à faible revenu, dont le capital naturel continue d’être la principale locomotive de l’économie. C’est un changement total de paradigme que vient d’opérer la Banque mondiale. Après avoir longtemps donné la priorité au financement des infrastructures, l’institution prend la décision officielle de focaliser ses efforts sur le développement du capital humain.

Maroc: Légère hausse de l’IPPIEM hors raffinage en septembre

L’indice des prix à la production du secteur des « Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» (IPPIEM) a connu une légère progression en septembre dernier, enregistrant une hausse de 0,1% par rapport au mois d’août 2017.Dans sa dernière note d’information relative à l’indice des prix à la production industrielle, énergétique et minière du mois de septembre 2017, le Haut-commissariat au plan (HCP) a indiqué que cette évolution est soutenue par la hausse des prix de la «fabrication d’équipements électriques» de 3,1%, des «industries alimentaires» de 0,2% et de l’«industrie d’habillement» de 0,9%.A noter que l’indice des prix à la production du secteur des «Industries extractives» a connu une hausse de 0,1% au cours du mois de septembre 2017.

Industries pharmaceutiques : Pfizer quitte le Sénégal et déménage au Maroc

Le groupe pharmaceutique américain a décidé de fermer à la fin de l'année son site de production dakarois et d'en transférer les activités dans son usine de la banlieue de Casablanca. « Le processus du démantèlement de l’usine prendra ensuite trois mois, pendant lesquels nous continuerons à réfléchir au devenir du site », précise le service de communication de l’entreprise, qui n’exclurait pas une vente de ses locaux.« Nous pouvons à ce jour vous confirmer qu’une partie de notre production sénégalaise sera transférée sur notre site d’El Jadida, à 100 kilomètres de Casablanca au Maroc, où nous sommes en capacité d’accueillir ces nouvelles activités », précise en outre l’entreprise, qui possède par ailleurs des usines à Alger, au Caire et à Tunis.

HCP: Légère hausse de 0,1% de l'IPPIEM à fin septembre 2017

L’indice des prix à la production du secteur des « Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une hausse de 0,1% au cours du mois de septembre 2017 par rapport au mois d’août 2017, indique Haut-Commissariat au plan. Cette hausse est la résultante de la hausse des prix de la «Fabrication d’équipements électriques» de 3,1%, des «industries alimentaires» de 0,2% et de l’«Industrie d’habillement» de 0,9%; de la baisse enregistrée dans la «Fabrication de textiles», l’«Industrie du cuir et de la chaussure à l’exception de l’habillement en cuir» et dans la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques» de 0,1%, explique l'institut.

BAM : Décélération du rythme de progression du crédit bancaire à fin septembre

Léger coup de moins bien pour le crédit bancaire durant le mois de septembre. En effer, la croissance annuelle du crédit bancaire à fin septembre a décéléré à 4,5% après 5,1% en août 2017, relève Bank Al-Maghrib dans ses dernières statistiques monétaires relatives au mois de septembre.

Doing Business 2018 : le Maroc recul d’un rang

La quinzième édition du rapport Doing Business 2018, publié par la Banque mondiale, place le Maroc au 69e rang mondial parmi les 190 pays avec un score de 67,91. Le Maroc recul d’un rang par rapport au classement de l’année dernière. Malgré ce recul, le Maroc confirme sa place de leader en Afrique du Nord devant la Tunisie (88e), l’Egypte (128e) et l’Algérie (166e), selon un communiqué du département du Chef du Gouvernement.

Modèle économique : faut-il réinitialiser les compteurs ?

Changer de modèle économique ne fait pas l’unanimité chez les économistes et les faiseurs d’opinions. Mais le jeu en vaut la chandelle à cause des indicateurs sociaux qui laissent à désirer. Dire que le Maroc est appelé à revoir son modèle économique, c’est battre en brèche toute une politique économique de plusieurs décennies. En tout cas, le jeu en vaut la chandelle à cause des indicateurs sociaux qui laissent à désirer.

Climat des affaires : Un trimestre plutôt normal pour les industriels

Pas de changement notable à relever au 3ème trimestre de l’année. Le climat des affaires semble être normal. C’est ce qu’ont confié les deux tiers des industriels ayant participé à l’enquête de conjoncture de Bank Al-Maghrib. Ainsi, le climat des affaires a été jugé de normal par 89% des industriels opérant dans l’agroalimentaire, 69% des chefs d’entreprises œuvrant dans le textile et cuir et 54% des patrons de la chimie et parachimie. Cette proportion atteint dans la mécanique et métallurgie les 48%. Dans ce contexte, les conditions d’approvisionnement ont été maintenues au même niveau. «La proportion des industriels ayant déclaré un approvisionnement normal varie entre 70% pour la chimie et parachimie et 89% pour l’agroalimentaire», relève-t-on de l’enquête de la banque centrale.

L’Afrique a besoin de plus de 200 milliards de dollars par an de financement

Apporter une réponse financière à la hauteur des enjeux qui attendent l’Afrique, tel a été le principal objectif de la conférence organisée par le Club Afrique Développement au siège d’Attijariwafa bank jeudi 26 octobre. Le continent africain a besoin de plus de 200 milliards de dollars par an de financement. Or pour le seul secteur des infrastructures le continent n’arrive à mobiliser que la moitié du besoin annuel de financement estimé à près de 100 milliards de dollars, assure Youssef Rouissi, directeur général adjoint à Attijariwafa bank en charge de la banque de financement et d’investissement. Bien que les flux financiers extérieurs vers l’Afrique soient en progression constante, évoluant de 100 milliards de dollars en 2000 à près de 200 milliards de dollars aujourd’hui, ils s’avèrent encore insuffisants, selon M. Rouissi.

Les 7 mesures du PLF 2018 pour stimuler l’investissement

Afin de pousser l'investissement dans les infrastructures touristiques, le PLF 2018 propose "de faire bénéficier les acquisitions" de ces terrains nus voués à la construction d'établissements hôteliers "de l'exonération en matière de droit d'enregistrement".Le PLF 2018 propose le "remboursement du crédit de taxe en faveur des entreprises de dessalement d'eau de mer". Afin d'aiguiller les investisseurs vers la constitution et l'augmentation du capital social des entreprises et des groupements d'intérêt économique, le PLF 2018 propose une exonération des droits d'enregistrement de ces opérations.

Le moral des ménages en légère dégradation (HCP) | Telquel.ma

D'après la dernière note d’information du Haut-commissariat au plan (HCP), au 3e trimestre 2017, le solde d’opinion sur l’évolution passée du niveau de vie est resté négatif (-3,1 points). Le solde d’opinion concernant la situation financière actuelle des ménages est resté négatif(-22,6 points), mais enregistre une amélioration par rapport au trimestre précédent (-25,3 points).Laissant le solde d’opinion positif à 19,6 points, en dégradation par rapport au trimestre précédent (22,1 points) et en amélioration par rapport au 3e trimestre 2016 (5 points).

Economiser ou consommer: le choix de la majorité des Marocains

Entre constituer une épargne ou consommer immédiatement, la majorité des ménages marocains choisissent la seconde option afin de financer leurs dépenses de court terme. Ce choix est souvent motivé par la succession d’événements et fêtes (Ramadan, vacances d’été, rentrée scolaire…), auxquels pourraient s’ajouter le surendettement (prêts immobiliers ou/et les crédits à la consommation) et la hausse des prix. Le résultat: un mode de vie axé principalement sur la consommation immédiate et une situation financière précaire.

La hausse des prix des matières premières devrait se poursuivre en 2018

La hausse des prix des matières premières devrait se poursuivre en 2018, a annoncé la Banque mondiale dans un récent rapport, indiquant que le baril de pétrole devrait atteindre 56 dollars l’année prochaine alors que les prix des métaux devraient se tasser. Le prix du baril de pétrole dont le coût moyen est à 53 dollars cette année devrait augmenter en 2018 «sous l’effet de l’augmentation constante de la demande, des accords entre exportateurs sur une diminution des volumes de production et de la stabilisation de l’extraction d’huile de schiste aux Etats-Unis», a expliqué l’organisation.

Zone euro: L’inflation pourrait dépasser les prévisions dans 5 ans

L’inflation atteindrait 1,9% en 2022 dans la zone euro, selon la Banque centrale européenne (BCE). Un niveau supérieur à ses précédentes prévisions (1,8%), mais qui est conforme à l’objectif de la BCE. Ce taux semble donner raison en partie à la Banque centrale lorsqu’elle a décidé, jeudi dernier, d’alléger le soutien apporté à l’économie. La Banque centrale européenne pense que l’inflation de la zone euro pourrait être plus élevée qu’on ne le pense dans cinq ans. Dans un rapport qu’elle a publié, en fin de semaine dernière, la hausse des prix de détail est attendue à 1,9% en 2022. Un niveau «conforme à l’objectif de la BCE et qui dépasse le taux de 1,8% anticipé il y a 3 mois et que la BCE prend en compte dans ses décisions», souligne l’agence de presse Reuters.

Afrique de l’Ouest: Les recommandations de la Banque mondiale pour une croissance inclusive

Un nouveau rapport de la Banque mondiale revient sur les inégalités territoriales dans 4 pays de l’Afrique de l’Ouest : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le Togo. Ces pays réalisent des taux de croissance satisfaisants, ne bénéficiant, toutefois, pas à l’ensemble de la population. La Banque mondiale émet des recommandations pour une meilleure croissance inclusive.

Croissance: L’économie américaine carbure

La croissance de l’économie américaine a été plus forte que prévu au troisième trimestre, à 3%. L’économie américaine affiche une bonne santé. Elle a, en effet, enregistré une croissance plus forte que prévu au troisième trimestre, à 3% en rythme annualisé, selon les données en première estimation publiées vendredi dernier par le département du Commerce, a rapporté Reuters.

Exportations textiles: Chiffre d'affaires record de 36 milliards de DH attendu cette année

C'est sur fond d'optimisme que s'est tenu, les 26 et 27 octobre à Marrakech, le Salon «Maroc in Mode § Maroc Sourcing», le plus important événement du textile national. Placée sous le signe de la croissance, cette grand-messe a drainé quelque 130 exposants d’une dizaine de pays. Initiée par l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (Amith), avec le soutien du secrétariat d’État au Commerce extérieur et de Maroc Export, et en partenariat avec le Groupe Banque Populaire et l’Agence marocaine pour le développement des investissements (AMDI), cette manifestation a servi de plateforme pour présenter notamment les récentes évolutions des secteurs nationaux de la mode et des textiles.

Maroc: Les activités du secteur secondaire enregistrent une évolution favorable

L’activité économique nationale reste globalement marquée par une configuration sectorielle favorable, à l’exception des secteurs de la pêche et du BTP, a constaté dernièrement la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) dans sa note de conjoncture d’octobre 2017 (N°248). A commencer par le secteur de phosphates et dérivés dont la production de phosphate roche s’est accrue en volume de 26,1% à fin mai 2017, après +3% un an plus tôt, et une baisse de 10,2% à fin mai 2015, a indiqué la DEPF.Cette progression serait liée essentiellement à l’évolution toujours favorable de la production de l’ONEE (+7,4%) à fin août 2017, après -6,7% il y a une année, modérée par le recul de la production privée de 1,1% (après +5,1%).

 

Conjoncture du 30 Octobre au 03 Novembre 2017

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