Ramadan/Grande distribution : les ventes des produits alimentaires explosent les compteurs
Les enseignes de grande distribution ne considèrent pas Ramadan comme étant leur meilleur mois de l’année, malgré l’explosion des ventes de produits basiques (farines, huiles, lait, sucre, thé, produits frais…). Les meilleures ventes concernent les produits incontournables tels que le miel, les dattes, les œufs, le lait, les eaux, les jus de fruits, les produits frais, l’épicerie ou encore la boucherie. Les ventes de la boulangerie-pâtisserie sont, pour leur part, multipliées par deux durant le mois du jeûne», déclare Kaoutar Lahlou, directrice marketing et communication du groupe qui compte 14 hypermarchés dans le Royaume.
Noor Midelt I, un projet ambitieux avec de grands objectifs socio-économiques
Noor Midelt I, l’une des premières centrales hybrides au Maroc, qui sera implantée à 20 km au Nord de la ville de Midelt, constitue un projet ambitieux avec de grands objectifs socio-économiques.Dans une déclaration à la MAP, il a fait observer que les travaux relatifs à la finalisation des infrastructures du complexe Noor Midelt, entamés depuis 2017 par Masen, ont permis de créer près de 300 postes d’emploi directs alors que des entreprises locales ont bénéficié de travaux de manutention pour la réalisation des infrastructures.Et d’indiquer que la réalisation d’une route de 40 kms dans le cadre de ce projet, permettra non seulement d’accéder au complexe et au barrage Hassan II, mais aussi de désenclaver les villages avoisinant le complexe Noor Midelt.
Des clopinettes pour la croissance, un léger mieux pour l’inflation et le dinar !
La Tunisie se retrouve, au terme du premier trimestre de l’année en cours, avec une croissance qui ne finit pas de stagner, nulle aux prix constants de 2010, et de 0,1 aux prix de l’année précédente, soit au final 1,1%, selon les chiffres délivrés par la Banque centrale de Tunisie dans son rapport sur les évolutions économiques et monétaires et les perspectives à moyen terme pour le mois de mai.
L’Algérie a importé 28.000 t de viande rouge entre janvier et mai 2019
Dans une déclaration à l’APS, M. Kadour Hachemi a affirmé que cette quantité constituée de différentes viandes avait été soumise à toutes les mesures de contrôle, par les services vétérinaires du secteur, soulignant que ces opérations d’importation “viennent compléter la production nationale de têtes ovines et bovines abattues à l’intérieur du pays et vendue au niveau des marchés pour répondre aux besoins des citoyens notamment en ce mois de Ramadhan”.
Exportation des pastèques marocaines : une hausse de près de 300%
Le Maroc peut se targuer d’être le troisième exportateur mondial de pastèque, derrière l’éternel rival l’Espagne, ou encore le Mexique, qui exporte une bonne partie de ce produit aux Etats-Unis et au Canada, grâce à la hausse de 295,02% en 2018 annoncé dans les chiffres de la Division statistique des Nations unies (Comtrade).Les exportations ont « atteint 156,19 millions de kilos, pour une valeur totale de 107,56 millions d’euros ». Cette forte progression s’accompagne également d’une meilleure qualité du produit marocain puisqu’au kilo, les chiffres montrent une hausse de 38%, passant de 0,5 euro à 0,69 euro, alors que le prix moyen n’est que de 0,41.
Marché financier : les signaux des taux bas
Les taux baissent. Du court terme au long terme, toutes les maturités ont connu une contraction entre décembre 2018 et mai de cette année. Sur les maturités courtes, le 52 semaines et le 2 ans en l'occurrence, la baisse est respectivement de 12 et 19 points de base (pbs). Sur les maturités plus longues, les baisses sont encore plus marquées : jusqu'à 31 points sur le 10 ans, qui flirte avec la barre symbolique des 3%.
Source : .Web Lien : http://financenews.press.ma/article/../marche-financier-les-signaux-des-taux-bas
Conjoncture économique : Pourquoi le moral n’y est pas
Car, côté ménages, les résultats de la dernière enquête permanente de conjoncture menée par le HCP auprès des ménages, publiée début avril 2019, est sans équivoque : l’indice de confiance des ménages (ICM) continue sa tendance baissière entamée depuis le premier trimestre de 2018. Tout ceci a fini par réduire comme peau de chagrin le peu de capital confiance qui subsistait chez les opérateurs économiques nationaux.De ce point de vue, la responsabilité du «politique» est indéniable, et c’est à lui de recréer le lien de confiance avec la sphère économique.
Balance des échanges de service : Un excédent de 10,5 % à fin avril
Le solde des échanges de service ressort excédentaire à fin avril. Un additionnel de 2,58 a été enregistré sur les quatre premiers mois de l’année marquant ainsi une progression de 10,5% par rapport à la même période de l’année précédente. A cet effet, la balance des échanges de service s’établit à 27,21 milliards de dirhams contre 24,63 milliards de dirhams une année plus tôt. Une ventilation positive mise en exergue par l’Office des changes dans ses derniers indicateurs des échanges extérieurs. Ainsi, les importations des services ont perdu 2,78 milliards de dirhams de leur valeur. Elles ont basculé de 31,97 milliards de dirhams à 29,19 milliards de dirhams à fin avril, soit une baisse de 8,7%.
Plus de 863 milliards de dirhams de crédits bancaires à fin avril
Les prêts immobiliers et à la consommation se sont légèrement améliorés d’un mois à l’autre. A fin avril, les taux de croissance de ces deux crédits ont atteint respectivement les 0,7 et 0,2% par rapport au mois de mars. Une évolution relevée dans les dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib au titre du mois d’avril 2019. Ces statistiques font ressortir un encours de crédits immobiliers de 271,11 milliards de dirhams dont 209,90 milliards de dirhams de crédits à l’habitat. Quant aux crédits de consommation, Bank Al-Maghrib a noté un encours de 54,94 millions de dirhams sur la même période.
Commercialisation des céréales : De nouvelles mesures appliquées depuis le 1er juin
De nouvelles mesures sont mises en place depuis le 1er juin en vue d’assurer les bonnes conditions de commercialisation de la récolte 2019. Une décision conjointe a été signée dans ce sens par Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, et Mohammed Benchaâboun, ministre de l’économie et des finances, permettant aux agriculteurs d’écouler à des prix rémunérateurs leur récolte de blé tendre au terme de l’actuelle campagne agricole. Il a été décidé d’un prix référentiel cible de 280 dirhams le quintal rendu moulin pour une qualité standard.