Agriculture et pêche du 17 au 21 Décembre 2018



Veille Maraacid


Semences et séquences génétiques en open source ? Expériences récentes et stratégies futures

Et si le concept d’open source était appliqué aux semences et aux séquences génétiques comme une nouvelle voie pour l’innovation ? Ce nouveau numéro de Perspective présente le principe des semences libres. Il décrit les expériences mises en œuvre aux États-Unis, en Allemagne et en Afrique de l’Est. Il examine les défis pratiques que pose l’extension du système open source à d’autres types de matériel génétique et d’autres contextes.

Comment le Cirad s’est engagé pour une culture de l’impact

Depuis huit ans, le Cirad a fortement investi pour intégrer la notion d’impact dans la programmation de ses activités de recherche. Deux publications récentes reviennent sur ce parcours et les leçons tirées par l’établissement du grand chantier d’établissement ImpresS («Impact of Research in the South»). Entretien avec Etienne Hainzelin, conseiller du PDG du Cirad qui a initié le chantier en 2010, Genowefa Blundo Canto et Aurelle de Romémont, qui en assurent désormais l’intégration auprès des équipes de recherche.

La production alimentaire des petits exploitants sous-estimée

Une étude impliquant la collecte d'informations par participation révèle que la part des terres agricoles cultivées par de petites exploitations pourrait être beaucoup plus importante qu'on ne le pensait auparavant, ce qui suggère que leur contribution à la production alimentaire mondiale pourrait être sous-estimée. Auparavant, on pensait que les petites exploitations - qui s'étalent sur des champs de deux hectares - occupaient entre 12 et 24% des terres agricoles mondiales.

Le changement d’usage des sols dans l’adaptation et l’atténuation du changement climatique

Le changement climatique est un enjeu majeur pour les sols. Agriculture, forêts, prairies, zones naturelles et zones urbaines, ils sont à l’origine d’une part importante des émissions de gaz à effet de serre (25 % des émissions au niveau global) mais ils sont également susceptibles d’être directement affecté par le dérèglement climatique.

Brexit : les secteurs à surveiller pour les filières agricoles bretonnes

Le premier poste alimentaire à l’export concerne les viandes (84 millions d’euros ; 22 % du total), suivi par les biscuits et pâtisseries fraîches (60 millions d’euros ; 16 %) ainsi que les produits laitiers et glaces (49 millions d’euros ; 13 %). Arrivent ensuite les légumes frais, appertisés et surgelés (31 millions d’euros ; 8 % du total). En dehors de ces produits phares issus de l’agriculture bretonne, le secteur des huiles et graisses pèse pour 71 millions d’euros (18 % du total) mais reflète un courant d’import-export

La recherche veut cerner "l'effet cocktail" des produits chimiques sur la santé

Pour mesurer la toxicité, la méthode éprouvée jusqu'à présent consiste à tester le produit à plusieurs doses sur l'animal, typiquement le rat. On en tire des "doses journalières admissibles" et des "doses journalières tolérables", pour qualifier la quantité de substance chimique pouvant être ingérée quotidiennement sans risque appréciable. Mais la méthode a ses limites en matière de coût (un test de cancérogénicité coûte plus de 700.000 euros et dure 2 ans) et utilise beaucoup d'animaux de laboratoire (quelque 500.000 par an en Europe en 2011).

Engrais : quels seront les éléments déterminants en 2019 ?

On a eu un début de campagne en deux partie sur les engrais azotés et plus particulièrement sur l'urée" précise Alban Fontaine, expert chez Agritel. La première phase qui a duré jusqu'à octobre a été "très tendue avec des prix qui ont fortement grimpé au niveau international, en raison d'un recul de l'offre en provenance de Chine et d'une demande plutôt soutenue" analyse l'expert. A contrario, depuis quelques semaines "on a eu une véritable correction" en raison d'une demande moins présente. La tendance a été globalement la même en engrais de fond. "Les prix se sont donc orientés à la hausse sur cette première partie de campagne" résume Alban Fontaine.

L'UE interdit certaines pratiques commerciales pour redonner du pouvoir aux agriculteurs

Selon un accord trouvé mercredi entre les négociateurs des Etats membres de l'UE et du Parlement européen, pas moins de 16 "pratiques commerciales déloyales" vont être interdites car "imposées unilatéralement par un partenaire de l'échange à l'autre", explique dans un communiqué la Commission européenne, à l'origine fin mai de ces nouvelles règles. On y trouve par exemple les paiements tardifs et annulations de commandes en dernière minute pour les produits périssables, les modifications unilatérales ou rétroactives des contrats ainsi que l'obligation faite au fournisseur de rembourser les produits invendus ou le refus de fournir des contrats écrits.

Plan Maroc Vert : une décennie de transformation

La rencontre a connu la présence de tous les acteurs du monde agricole notamment les directeurs centraux et régionaux, les patrons d’offices et d’établissements publics du secteur (ONCA, ADA, EACCE, ANFCC, ONICL, ONSSA, SONACOS), les présidents des chambres d’agriculture et les présidents de fédérations interprofessionnelles.

Une nouvelle variété de poire

La semaine dernière, Gianluca Baruzzi et Giuseppina Caracciolo ont participé au symposium international sur les poires organisé par la Société internationale pour la science horticole (ISHS) à Montevideo, en Uruguay. Les chercheurs ont présenté les innovations variétales obtenues grâce au programme d’amélioration génétique mené à Forlì, en Italie.

Le bio épuise-t-il ses sols ?

Les systèmes de polyculture-élevage en AB devraient à priori être davantage épargnés par la baisse de la fertilité des sols. La ferme expérimentale des Bordes, dans l'Indre, étudie depuis dix-huit ans un système bio basé sur un petit cheptel allaitant (23 vaches limousines et la suite) élevé sur 57 hectares. Le potentiel d'une partie de la surface est assez faible. Il s'avère que la valorisation des effluents d'élevage ne suffit pas à maintenir la fertilité des sols. Alors que l'objectif initial visait l'autonomie en fourrages et concentrés,

Agrumes : le ministre de l’agriculture reçoit les professionnels de la filière

Aussi, et afin de discuter des différentes questions liées au développement de la filière, des réunions seront tenues entre les professionnels et responsables du département de l’agriculture à l’échelle des régions au courant de ce mois pour discuter du développement de la filière et des mesures pour pallier les difficultés rencontrées par les agriculteurs, et qui peuvent entraver l’essor de la filière.

Agroalimentaire L'UE interdit certaines pratiques commerciales pour protéger les agriculteurs

Selon un accord trouvé mercredi entre les négociateurs des États membres de l'UE et du Parlement européen, pas moins de 16 « pratiques commerciales déloyales » vont être interdites car «imposées unilatéralement par un partenaire de l'échange à l'autre », explique dans un communiqué la Commission européenne, à l'origine fin mai de ces nouvelles règles. On y trouve par exemple les paiements tardifs et annulations de commandes en dernière minute pour les produits périssables, les modifications unilatérales ou rétroactives des contrats ainsi que l'obligation faite au fournisseur de rembourser les produits invendus ou le refus de fournir des contrats écrits.

Après les Etats généraux de l'alimentation, le monde agricole appelé aux urnes

Les Chambres d'agriculture conseillent les agriculteurs et représentent le monde agricole auprès des institutions. Ces élections déterminent également la représentativité de chacun des cinq syndicats agricoles et permettent de répartir les sièges dans les différentes commissions départementales, régionales et nationales. L'enjeu est donc important et la campagne électorale de ce vote par correspondance, qui se déroulera du 7 au 30 janvier, sera l'occasion d'essayer de mobiliser un monde agricole très chahuté et en plein questionnement.

Mozambique : parer aux inondations grâce à une agriculture résiliente aux aléas du climat

Grâce aux actions combinées de la Banque africaine de développement, des Fonds d’investissement climatiques ­– dont la Banque est l’une des agences d’exécution – et d’autres partenaires au développement, le Mozambique, classé au troisième rang des pays africains les plus exposés aux aléas climatiques, s’est résolument engagé sur la voie d’un avenir résilient au changement climatique.

La Conférence des Parties: une alimentation végétale à privilégier?

Un premier panéliste, Marco Springmann, a ouvert la discussion en présentant plusieurs données liées à la culture de bétail, dont le fait que les trois quarts des émissions planétaires sont dues à la production de produits animaliers. Pour atténuer ses effets sur la planète, une option toute simple est bien entendu de réduire sa consommation de viande, notamment via l’adoption d’un régime flexitarien. À l’heure ou la viande est au centre de la plupart des repas, comment offrir des alternatives aussi alléchantes?

Alimentation durable : «Il faut des mesures de protection des terres» 

Il faut vraiment faire en sorte que les terres disponibles le restent et qu’elles ne soient pas réutilisées pour l’agriculture ou pour autre chose. Si on arrive à bien réduire les gaz à effet de serre, c’est en particulier parce qu’on suppose que les terres abandonnées, dont on n’a plus besoin pour l’agriculture, sont laissées à des dynamiques naturelles. Il faut donc accompagner l’augmentation de productivité par des mesures de protection des terres pour qu’elles permettent le stockage du carbone dans le sol grâce à la reforestation. Il faut aussi faire attention à ce qu’il n’y ait pas un effet rebond : on augmente la productivité, les prix baissent, la demande augmente et on utilise de nouvelles terres.

Le Maroc en fait partie : Six pays africains ont réussi à améliorer leurs récoltes en augmentant les niveaux d'irrigation

Le Maroc est parmi les six pays africains qui ont réussi, en augmentant les niveaux d'irrigation, à prolonger les récoltes, à augmenter les revenus et à améliorer les perspectives des agriculteurs, à en croire le dernier rapport du Panel Malabo Montpellier dévoilé récemment à Rabat. En effet, les auteurs de ce document ont analysé les bonnes pratiques suivies en Ethiopie, au Kenya, au Mali, au Maroc, au Niger et en Afrique du Sud. Selon Saulos Klaus Chilima, vice-président du Malawi et coprésident du Forum de Malabo Montpellier, qui a présenté le rapport à Rabat, «ce rapport montre l'énorme potentiel de l'irrigation pour améliorer la production agricole en Afrique» ajoutant que «l'analyse montre que nous pouvons tirer des enseignements des expériences de nos voisins sur le continent. Le Malawi s'est engagé à accroître la superficie des terres arables irriguées et a déjà vu les revenus augmenter de 65% dans les zones où les agriculteurs participent à des programmes d'irrigation».

Agriculture: le secteur réalise une valeur productive annuelle de plus de 3.200 milliards de DA

Lors d’une Journée parlementaire, organisée par la Commission de l’agriculture, de la pêche et de la protection de l’environnement, sous le slogan “Le foncier agricole entre concession et partenariat: réalité et perspectives”, le ministre a indiqué que la politique de développement adoptée, sur recommandations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a permis au secteur de l’Agriculture de contribuer à hauteur de 12,3 % au PIB”.

With multi-sector support for climate sensitive production practices, African farmers can boost food security and resilience

Farmers face different agroecological, socioeconomic and institutional environments across Africa. The mounting challenges brought by climate change also vary from place to place. Family farmers are born innovators, with government and industry support they can develop a resilient farming system that works for them, said the researcher from the International Maize and Wheat Improvement Center (CIMMYT).

Diminution de la vulnérabilité des exploitations laitières en conversion biologique

La fin des quotas laitiers en 2015 a entraîné une forte variabilité à la baisse du prix du lait, qui a atteint un niveau historiquement bas en 2015-2016. Cela a entraîné une vulnérabilité économique croissante pour nombre d’éleveurs laitiers conventionnels, ainsi fragilisés. A la même période, le marché du lait en agriculture biologique était lui porteur et sécurisant du fait d’une forte demande et de prix payés aux éleveurs plus élevés et stables. Dans des régions comme l’Aveyron, le nombre de conversion en agriculture biologique a alors considérablement augmenté. Ainsi, il y avait dans le département jusqu’en 2015 seulement une quarantaine d’agriculteurs biologiques sur 1200 producteurs laitiers, alors que pendant la seule année 2016, environ 50 fermiers ont décidé de se convertir.

Impact des satellites Mohammed VI A et B sur l’agriculture marocaine

En 50 ans, l’agriculture marocaine a accompli de grands progrès en terme de modernisation et de diversification. Hier comme aujourd’hui, l’activité agricole représente d’ailleurs l’un des piliers de l’économie marocaine. Ce secteur bénéficiera fortement des nouvelles possibilités de la télédétection. D’abord, la télédétection permettra aux services du ministère de l’agriculture d’améliorer de manière significative le pilotage des campagnes agricoles et la qualité des statistiques. En effet, il sera désormais plus facile de prévoir les rendements potentiels,

Le quatrième contrat de transition écologique porte sur l'agriculture

Ce lundi 17 décembre, la secrétaire d'Etat à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, s'est rendue en Côte-d'Or pour signer le contrat de transition écologique (CTE) du territoire de la Haute Côte-d'Or qui regroupe les communautés de communes du Pays Châtillonnais et du Montbardois. Ce quatrième CTE, vise à "renforcer l'attractivité du territoire en s'appuyant sur une nature préservée, un cadre naturel authentique, des paysages forestiers d'exception, une offre culturelle et gastronomique reconnue partout en France", explique le ministère de la Transition écologique.

Sécheresse : Première aide de plus de 100 millions d'euros à 12 départements

S'agissant de la sécheresse sur prairies, les 12 départements reconnus en totalité ou partiellement (Allier, Cantal, Corrèze, Côte-d'or, Creuse, Marne, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Nièvre, Puy-de-Dôme, Saône-et-Loire et Haute-Vienne) représentent un montant d'indemnisation de plus de 101,5 millions d'euros, indique le ministère. Les arrêtés permettant le versement des premiers acomptes vont être pris dans les prochains jours sur la base de l'avis du CNGRA.

Skhirate : Akhannouch réunit les professionnels du secteur agricole

Le Ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts Aziz Akhannouch, présidera le mardi 18 décembre 2018 à 9h00 au Centre international des conférences Mohammed VI de Skhirate une rencontre avec les professionnels du secteur agricole ; chambres d’agriculture et interprofessions agricoles, accompagné des responsables centraux et régionaux du ministère.

AFD : 20 millions d’euros en faveur de l’agriculture marocaine

Ce financement de l’AFD au Maroc est destiné à appuyer un projet de développement, d’irrigation et d’adaptation de l’agriculture aux changements climatiques à l’aval du barrage de Kaddoussa, dans la province d’Errachidia. Cette subvention vient s’ajouter à un prêt de 40 millions d’euros (soit 435,40 millions de dirhams) accordé par l’Agence en juin 2017.

Un nouveau projet d'agroforesterie en RDC

Pas moins de dix associations seront concernées par ce projet. Ces dernières réunissent au total 133 exploitants installés dans la région. Le projet APHK fait suite au projet Afodek (Agroforêts pour le développement de Kipushi) exécuté par le Gret, en partenariat avec Nature et le Centre de promotion du paysannat (CPP), de 2012 à 2017.

Private sector is the key to Africa’s green economic transformation

The private sector is key to mobilising green investment and sustainable development in Africa. Climate change presents a US$3 trillion investment opportunity in Africa by 2030. 75% of the investment is expected to come from the private sector to complement public sector financing. This calls for innovative approaches to attract and steer financial flows consistent with a pathway towards low-carbon and climate-resilient development.

COP 24 : promotion de la filière pêche artisanale durable en zone insulaire

En marge de la vingt-quatrième session de la Conférence des parties (COP24) sur le climat, l’Institut de la Francophonie pour le développement durable et Enda Energie ont organisé un évènement parallèle le 12 décembre 2018 dans le pavillon de la Francophonie (zone E, numero 24) à Katowice, en Pologne, pour présenter les premiers résultats du projet « promotion de la filière pêche artisanale durable en zone insulaire : cas de la commune de Djirnda au Sénégal » financée par la Fondation Mava.

L'accord agricole-Maroc-UE franchit un nouveau pas

C'est la dernière ligne droite pour l'accord agricole Maroc-Union européenne au sein du parlement européen. La commission du commerce international du parlement européen l'a adopté, lundi soir, à une écrasante majorité (25 voix pour et 9 contre). Mais le processus n'a pas été de tout repos, du moins pour l'eurodéputée, Patricia Lalonde, accusée de conflit d'intérêt. La députée européenne de France a été contrainte de déposer sa démission de son poste de rapporteur de la commission du commerce international, chargée du dossier de l'accord UE-Maroc au sein du parlement européen.

L'expansion des superficies irriguées stimulerait la productivité agricole en Afrique

Selon la nouvelle étude, intitulée « Water-Wise: Smart Irrigation Strategies for Africa » (Utilisation judicieuse de l'eau : des stratégies intelligentes d'irrigation pour l'Afrique), l'extension de l'irrigation sur 47 millions d'hectares en Afrique stimulerait la productivité agricole, les moyens de subsistance et la croissance économique. Ce qui permettrait aux agriculteurs africains de produire deux fois plus de denrées alimentaires, soutiennent les auteurs de ce document.

Selon une étude, l'agriculture biologique (monoculture) serait plus néfaste pour le climat que l'agriculture conventionnelle

Depuis plusieurs années, l’application de l’agriculture biologique, qui consiste à l’optimisation de la croissance des cultures en utilisant des méthodes naturelles, est en hausse à cause des nombreuses révélations des possibles dangers de la consommation d’aliments issus de l’agriculture conventionnelle, qui correspond à l’emploi d’OGM et de produits synthétiques et chimiques comme les pesticides, les hormones, ou encore les engrais.

Le goût de la clémentine n'est pas le même pour tout le monde

Avec une bonne pluviométrie qui a touché toutes les régions du Royaume, l'année agricole s'annonce bonne et les prémices sont d'ores et déjà là, notamment pour ce qui est de la clémentine et des olives. Mais cela ne semble pas faire le bonheur de tout le monde. L'information venant de Berkane serait à ce propos plus qu'étonnante. Plusieurs agriculteurs ont préféré la destruction de centaines de tonnes de clémentine que de les mettre en vente.

Une récolte record des olives

La campagne oléicole actuelle se démarque par un nouveau record de production des olives prévu, qui dépasse 2.000.000 tonnes, soit une hausse de 41,6% par rapport à la moyenne de production des olives des cinq dernières années et de 28 % par rapport à la campagne précédente (2017/2018). Ces chiffres ont été annoncés lors d'une rencontre entre l'INTERPROLIVE, (l'interprofession de la filière oléicole) et MoroccoFoodEx (EACCE : L'Etablissement autonome de contrôle et de coordination des Exportations), tenue récemment à Casablanca.

Poulpe. Un arrêté ministériel interdit les filets GOV

La décision est principalement motivée par la chute des stocks de poulpe en raison du recours aux chaluts cascadeurs à grande ouverture verticale (GOV) par des opérateurs de la pêche hauturière. Un arrêté du ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime devrait prochainement être publié pour interdire l'utilisation des chaluts cascadeurs à grande ouverture verticale (GOV). La décision est principalement motivée par la chute de la biomasse du poulpe au niveau de la zone C, au sud de Cap Boujdour.

Oléiculture : Les nouveaux engagements des professionnels

L'interprofession représentée par l'Interprolive et MoroccoFoodEx qui se sont réunis récemment pour discuter des mesures d'accompagnement nécessaires au développement du secteur qui enregistre actuellement un nouveau record de production ; soit 2 millions de tonnes d'olive. Un volume qui s'inscrit en hausse de 41,6 % par rapport à la moyenne de production enregistrée sur les cinq dernières années. De même, la production de la campagne oléicole actuelle s'érige en hausse de 28 % par rapport à la campagne précédente.

Which are the right crops to enable food security under future climates?

It is well-documented that agriculture is the second largest contributor to carbon emissions after the energy sector. At the same time, climate change is affecting our ability to grow food. The IPCC predicts that yields of major crops will reduce by 2% while demand increases by 14% every decade until 2050. Up to 40% of the world’s land could develop novel climates often with new crop pests and diseases.

Améliorer l’efficacité climatique des terres mondiales

Gouvernements et scientifiques ont jusqu’ici sous-estimé l’importance de l’usage des terres pour atténuer le changement climatique, selon une étude publiée le 13 décembre dans la revue Nature. Les auteurs proposent une nouvelle méthode pour évaluer la capacité d’une terre (sol et sa végétation) à atténuer les émissions de gaz à effet, en fonction de son utilisation (forêt, pâturage, culture, élevage, etc). La méthode mesure également les impacts indirects d’un changement d’usage. Baptisée « Carbon Benefits Index », elle s’applique aussi bien à l’échelle du territoire que de la parcelle*.

"Je protège mon élevage bovin par la biosécurité"

Ce qui peut sembler une contrainte est en fait une opportunité d’amélioration avec des choses simples comme la signalétique sur la ferme. Ici, Didier Coeffec et Félix Mahé, GDS Bretagne avec Erwan Calle, un des associés du Gaec de Kerollet qui accueillera les adhérents du secteur le 20 décembre à Arzal. - © Terra "Le danger vient par les pattes et par les roues", glisse Félix Mahé, monsieur biosécurité du GDS de Bretagne. Il décline les mesures de biosécurité au quotidien, jusqu’au plan d’urgence. Pour s’en convaincre, il suffit d’évaluer la menace que fait planer l’influenza aviaire ou la peste porcine en Bretagne, terre d’élevage avicole ou porcin.

Quinoa : 18 siècles de diversité génétique

Elles dormaient depuis des siècles sous le sable d’Antofagasta de la Sierra, une région aux sites archéologiques réputés, à 3440 mètres d’altitude, en pleine cordillère des Andes. 144 graines de quinoa, dans un état de conservation exceptionnel, y ont été découvertes, rassemblées et analysées par une équipe d’archéologues, d’archéobotanistes, de généticiens, d’écologues, et d’anthropologues.

Céréaliculture : filière prometteuse dans la région Fès-Meknès

En effet, comme l’a déclaré Mohand Laenser, président de la région : «Au niveau national la région occupe la deuxième place en matière de production agricole avec un écart très faible par rapport à la première position. Aujourd’hui, notre ambition et de devenir les premiers à l’échelle nationale. Notre région a réalisé plusieurs avancés dans ce domaine, mais nous constatons l’existence de plusieurs contraintes qui entravent le développement de cette filière, surtout pour les petits agriculteurs»
Agriculture et pêche du 17 au 21 Décembre 2018

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