Commerce du 15 au 19 Janvier 2018



Veille Maraacid


Le volume des échanges commerciaux intra-OCI atteint 694,23 milliards de dollars en 2015

Malgré les effets de la crise économique internationale, la coordination des efforts conjoints a permis de porter la part du commerce intra-OCI dans le commerce total des États membres de 15,5% en 2005 à 20,33% en 2015, selon le rapport.L'OCI ambitionne d'atteindre la nouvelle cible de 25% du commerce intra-OCI en 2025, en appelant ses membres à diversifier leurs partenaires dans l'espace OCI, note le rapport distribué à l'occasion de la réunion jeudi à Rabat des 16 conseillers économiques auprès des ambassades des États membres de l'OCI accréditées au Maroc.Parmi les principaux produits échangés dans le commerce intra-OCI en 2015, figurent divers produits manufacturés (29%), combustibles minéraux (23%), produits alimentaires (22%), machines et matériel de transport (11%) et produits chimiques (10%), souligne le rapport.

Le bilan des accords de libre-échange conclus avec les différents partenaires commerciaux a contribué à la hausse des exportations | Maroc.ma

Le bilan des accords de libre-échange conclus avec les différents partenaires commerciaux a contribué à la hausse des exportations. La Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham, a affirmé, lundi, que le bilan des accords de libre-échange conclus avec les différents partenaires commerciaux était "excellent" et a contribué à la hausse des exportations.En réponse à une question orale sur "l'évaluation des accords de libre-échange", posée par le groupe du parti Authenticité et Modernité à la Chambre des Représentants, Mme Derham a précisé que ces accords ont contribué à l'augmentation des exportations qui ont atteint durant les dix dernières années un taux de croissance de 16.4%, avec les États-Unis, de 13% dans le cadre de la Convention de facilitation et de développement des échanges commerciaux entre les pays membres de la Ligue arabe et de 16% dans le cadre de l'Accord d'Agadir.

Rkia Derham : Les accords de libre-échange ont contribué à la hausse des exportations

La secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham, a affirmé, lundi, que le bilan des accords de libre-échange conclus avec les différents partenaires commerciaux était «excellent» et a contribué à la hausse des exportations. La secrétaire d'Etat a également souligné que cette mesure s'inscrit dans le cadre de l'accord de libre-échange liant le Maroc à la Turquie, étant donné qu'en vertu d'une de ses clauses, le Royaume est habilité, le cas échéant, à entreprendre des démarches pour protéger son produit national. Rkia Derham a également souligné que plusieurs mesures de protection commerciale ont été prises dans le cadre des efforts du Secrétariat d'Etat chargé du Commerce extérieur pour protéger les produits marocains contre les pratiques commerciales illégales et atténuer les effets de la concurrence résultant, notamment, de l'importation massive de certains produits.

La facture énergétique plombe la balance commerciale

Alors qu’en 2015, les résultats des échanges extérieurs laissaient entrevoir une légère amélioration et donc un allègement du déficit commercial, cette année, les exportations marocaines ont à peine réussi à couvrir de moitié les importations (56,3%), malgré la progression qui a régné sur les exportations durant l’année écoulée. Même si de prime abord, cette dernière paraît plus prononcée, en réalité, on constate que les importations se comptabilisent à 434,7 milliards de dirhams, contre 245 milliards de dirhams pour les exportations. En se penchant sur les flux financiers, on constate que les recettes liées aux Marocains résidant à l’étranger ont grimpé de 4,5% entre 2016 et 2017, atteignant 65,4 milliards de dirhams, contre 62,6 milliards de dirhams une année auparavant.

Relations commerciales : Une croissance de 25% entre 2015 et 2017

C’est ce qu’a affirmé Mohamed Najib Boulif, secrétaire d’Etat chargé du transport, en réponse à une question orale sur «les problèmes du secteur du transport international». Le secrétaire d’Etat a souligné qu’en 2017, des négociations ont été menées avec l’Espagne en vertu desquelles quatre rencontres techniques ont été tenues, ainsi que des rencontres avec les secrétaires généraux des ministères afin de trouver une solution au problème du transport international.

La facture énergétique plombe la balance commerciale

Alors qu’en 2015, les résultats des échanges extérieurs laissaient entrevoir une légère amélioration et donc un allègement du déficit commercial, cette année, les exportations marocaines ont à peine réussi à couvrir de moitié les importations (56,3%), malgré la progression qui a régné sur les exportations durant l’année écoulée. Même si de prime abord, cette dernière paraît plus prononcée, en réalité, on constate que les importations se comptabilisent à 434,7 milliards de dirhams, contre 245 milliards de dirhams pour les exportations. En se penchant sur les flux financiers, on constate que les recettes liées aux Marocains résidant à l’étranger ont grimpé de 4,5% entre 2016 et 2017, atteignant 65,4 milliards de dirhams, contre 62,6 milliards de dirhams une année auparavant.

Commerce extérieur: le déficit s'alourdit encore en 2017

Il faut dire que les exportations du Maroc, même si elles se sont accrues à un rythme plus rapide, ne sont pas arrivées à absorber la hausse enregistrée par les importations. Dans le détail des chiffres de l’Office des changes, on remarque que le surenchérissement des importations en 2017 s’explique principalement par la facture énergétique marquée par une hausse de 14,9 milliards de dirhams, représentant plus de 57% de l’augmentation qu’ont connu les importations. En tout, les produits énergétiques ont coûté au Maroc 69,4 milliards en 2017, en hausse de 27,3% comparativement à 2016.

Maroc-Ethiopie : 758 MDH d'échanges commerciaux

La balance commerciale entre les 2 pays est fortement excédentaire pour le Maroc qui se positionne comme le premier fournisseur d'engrais de l’Éthiopie. Pour discuter des voies et moyens de dynamiser les échanges commerciaux, la Secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur, Rakiya Eddarhem a reçu, le mercredi 16 janvier à Rabat, le ministre des Entreprises publiques de la République fédérale démocratique d'Éthiopie.

E-commerce et PME : ce qui va changer

Au terme de cet accord, à compter du 1er janvier 2019, les règles TVA pour l'e-commerce (en B to C) seront progressivement modernisées et simplifiées et les obligations administratives et déclaratives des PME allégées, pour réduire les coûts. Pour faciliter l'e-commerce, les PME françaises bénéficieront, à compter du 1er janvier 2019, d'un seuil annuel de 100 000 euros en dessous duquel les prestations de services électroniques3 rendues à des particuliers domiciliés dans un autre État de l'UE seront soumises à la TVA française.

Accord UE-Japon : le deal qui va changer le commerce mondial

L'Union européenne et le Japon représentent près d'un tiers du PIB mondial. L'Union européenne et le Japon ont une responsabilité historique. La signature de l'accord commercial et de coopération entre l'Union européenne et le Japon, qui crée l'une des plus grandes zones de libre-échange économique au monde, pourrait peser lourd dans la reconfiguration du commerce international.

Déficit commercial : Un creusement de 4,8 milliards de dirhams en 2017

Les exportations marocaines affichent en 2017 une nette progression. Les exportations phosphates et dérivés se sont consolidées de 4,38 milliards de dirhams passant ainsi de 39,6 milliards de dirhams à 43,98 milliards de dirhams en 2017. Elles ont ainsi progressé de 15,2% passant de 17,83 milliards de dirhams à 20,54 milliards de dirhams. Ils se sont repliés de 4,7%, soit 2,11 milliards de dirhams en moins.

Négociations commerciales UE/Mercosur: réunion de haut niveau fin janvier

Les quatre ministres des Affaires étrangères du Mercosur doivent rencontrer le 30 janvier la Commission européenne à Bruxelles pour avancer sur un accord commercial, a annoncé mercredi l'exécutif européen, alors que les négociations semblent piétiner. "L'Union européenne est déterminée à arriver à un accord commercial ambitieux, équilibré et complet avec le Mercosur", a déclaré l'un des porte-parole de la Commission européenne, Daniel Rosario, lors d'un point de presse à Bruxelles.La Commission européenne est déterminée à obtenir un accord, au moins politique, début 2018.

Foire d'exposition internationale de Bamako 12ème édition

Le président malien, Ibrahim Boubacar Kéita, a procédé, samedi après-midi, au Parc d'exposition de Bamako, à l'ouverture de la 12ème édition de la Foire d'exposition internationale de Bamako (Febak) organisée par la Chambre de Commerce et d'Industrie du Mali, a appris la PANA de source officielle.

La Turquie de retour sur la mer Rouge

Pour le Soudan, le rapprochement avec la Turquie représente d’abord une opportunité en termes d’investissements. Les échanges commerciaux entre les deux pays – 500 millions de dollars par an aujourd’hui – ont fortement augmenté ces dernières années

Maroc-Ethiopie : une ambition commune de renforcer la coopération bilatérale dans le domaine du transport

Le renforcement de la coopération dans le domaine du transport entre le Maroc et l’Ethiopie a été au centre d’entretiens, mardi à Rabat, entre le ministre de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, Abdelkader Amara, et le ministre des Entreprises publiques de la République Fédérale Démocratique d’Éthiopie, Girma Amente.Le ministre éthiopien a également exhorté le secteur privé des deux pays à tirer profit des opportunités d’investissement et d’affaires offertes pour renforcer davantage les relations et la coopération entre les deux pays frères.

Au Maroc, les opportunités d’affaires ne manquent pas

Agroalimentaire, industrie culturelle, tourisme ou encore énergies solaires… Au Maroc, les opportunités d’affaires sont multiples, annonce Aujourd’hui le Maroc qui, dans sa livraison du 17 janvier, reprend les analyses d’un guide baptisé «Opportunités de croissance en Méditerranée» et élaboré dans le cadre du projet Euromed Invest, cofinancé par la Commission européenne. En effet, le Maroc dispose d’un excellent potentiel pour le solaire et l’éolien.

Le Maroc assouplit le régime de change du dirham pour gagner en attractivité

Le Maroc assouplit le régime de change du dirham pour gagner en attractivité. Objet d’innombrables spéculations, maintes fois ajourné, le projet de flexibilisation du taux de change du dirham marocain se concrétise enfin. En cas de pressions excessives sur la devise entraînant le taux de change en dehors des bornes fixées, la Banque centrale marocaine Bank Al-Maghrib se réserve le droit d’intervenir.

Croissance : l’export n’a pas compensé le recul de la demande domestique

C’est donc sur la demande intérieure que reposerait la croissance de 2018. Mais ce ne serait pas nouveau : depuis 2013, indique le HCP, la demande domestique, principale variable de la croissance, non agricole en particulier, a évolué à un rythme annuel moyen de 3,2%, contre 5,3% entre 2008 et 2012. • Le déficit commercial devrait représenter 18,2% du PIB en 2018 au lieu de 17,8% en 2017.

Balance commerciale. En 2017, les exportations ont progressé plus vite que les importations

Les importations ont atteint 434,7 MMDH, soit une hausse de 6,3%, alors que les exportations ont progressé de 9,3% à 244,9 MMDH.L'accroissement des importations s'explique essentiellement, par la hausse de la facture des produits énergétiques de 27,3%, des produits bruts de 15,2%, des produits finis de consommation de 5,1%, de biens d'équipement de 1,8% et des demi produits de 3,8%. Une baisse de 4,7% a été enregistrée au niveau des produits alimentaires.

Rkia Derham : Les accords de libre-échange ont contribué à la hausse des exportations

La secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham, a affirmé, lundi, que le bilan des accords de libre-échange conclus avec les différents partenaires commerciaux était «excellent» et a contribué à la hausse des exportations. La secrétaire d'Etat a également souligné que cette mesure s'inscrit dans le cadre de l'accord de libre-échange liant le Maroc à la Turquie, étant donné qu'en vertu d'une de ses clauses, le Royaume est habilité, le cas échéant, à entreprendre des démarches pour protéger son produit national.

Les échanges commerciaux en 2017: Une croissance forte et généralisée des secteurs d’exportation

La progression des exportations de plus 9% contredit les poncifs habituels: "faible productivité de l’économie marocaine", "incapacité des opérateurs à performer à l’export".etc. Pour la première fois de l’histoire contemporaine du Maroc, des secteurs réputés incontournables pour l’économie marocaine, passent au second plan: le tourisme (69,6 MMDH), les MRE (65,3 MMDH) et les phosphates (44 MMDH).En effet, l’industrie agroalimentaire participe déjà pour plus de 61% du total du secteur agricole et réalise l’essentiel de sa progression.

Commerce international : ce que doit faire l'Europe face à Trump et Xi - Les Échos

Entre l'administration américaine qui veut faire imploser l'OMC et la Chine qui refuse de la réformer, l'Europe doit jouer la carte du multilatéralisme offensif.En effet, l'Europe n'est pas un Etat. L'Europe n'a donc pas d'autre carte que celle du multilatéralisme offensif face à une politique américaine qui veut détruire le multilatéralisme et une Chine qui veut se garder de le réformer pour continuer sa marche vers la conquête du monde.

USA: le déficit commercial augmente plus que prévu

Le déficit commercial des Etats-Unis a augmenté plus que prévu en novembre, affichant des importations comme des exportations record, a indiqué vendredi le département du Commerce. Reflétant la vitalité de l'économie américaine, les exportations de biens et de services ont atteint un record à 200,2 milliards de dollars USD mais les importations aussi avec 250,7 milliards.Au rang des importations en novembre, ce sont les importations de biens qui affichent un record (204 mds), dont les biens non-pétroliers et les biens d'investissement.

Saint Laurent se lance dans le e-commerce en Chine avec JD.Com

Saint Laurent, propriété du groupe Kering, a annoncé lundi avoir signé un partenariat avec le géant chinois du e-commerce JD.Com, à l'heure où la vente en ligne en Chine devient un enjeu majeur pour les griffes de luxe.Saint Laurent, devenue la deuxième marque de Kering derrière Gucci et devant Bottega Veneta, va ainsi être commercialisée sur Toplife, la plate-forme de JD.Com dédiée aux produits de luxe. "Saint Laurent va pouvoir mettre en place sa stratégie omnicanale en Chine grâce au réseau logistique sophistiqué de Toplife et à sa plate-forme personnalisée", a précisé Francesca Bellettini, PDG de Saint Laurent.

Zone euro: excédent commercial de 26,3 milliards d'euros en novembre

La zone euro a enregistré en novembre un excédent commercial de 26,3 milliards d'euros, en hausse par rapport au même mois de 2016, où il avait atteint 23,8 milliards d'euros, a annoncé lundi l'Office européen des statistiques.Les exportations de l'UE se sont établies à 167,2 milliards d'euros, en hausse de 6,8% par rapport à novembre 2016. Les importations en provenance du reste du monde ont quant à elles progressé de 5,4% à 159,2 milliards d'euros.

L’Agence de développement numérique en gestation

Le Maroc concrétise sa position en termes d’investissement digital à travers la création d’une Agence du développement numérique. Dans le détail, cette structure aura pour principales missions la mise en œuvre de la stratégie de développement des investissements dans le domaine de l’économie numérique, ainsi que la présentation de toute résolution de nature à améliorer les conditions de développement de l’économie numérique.Il s’agit également de concevoir et de mettre en œuvre des projets de l’administration électronique, de développer des prestations numériques dans le cadre du programme e-gouvernement et de fournir l’expérience requise aux acteurs dans le domaine de l’économie numérique, en vue de consolider leurs capacités concurrentielles.

La Normandie va créer une monnaie locale et numérique

Cette nouvelle monnaie est une solution de paiement numérique, 100% traçable et 100% sécurisée. Ces monnaies sont des moyens de paiement officiels et reconnus. Cette monnaie aura notamment cette particularité d’être numérique.

Echanges commerciaux du Sénégal: une baisse notée des exportations par rapport au mois précédant

Par rapport au mois de novembre 2016, les exportations sénégalaises ont connu une hausse de 15,4%. Cependant en novembre 2017, elles sont ressorties à 110,1 milliards de FCFA contre 112,0 milliards de FCFA, soit un fléchissement de 1,7% par rapport au mois précédent.Au cours de ce mois, les exportations ont porté essentiellement sur l’or non monétaire (20,5 milliards de FCFA), les produits pétroliers (15,4 milliards de FCFA), les poissons frais de mer (12,1 milliards de FCFA), le ciment (7,6 milliards de FCFA) et les bouillons (5,3 milliards de FCFA).

Balance commerciale : Chute de 9% des importations sénégalaises au mois de novembre

Les importations du mois de novembre 2017 se sont chiffrées à 299,6 milliards de FCFA contre 329,3 milliards de FCFA le mois précédent, soit une baisse de 9,0%. Comparées au mois de novembre 2016, les importations se sont relevées de 1,0%, selon l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, (ANSD).

Maroc-Brésil : Les échanges commerciaux en hausse - La Nouvelle Tribune

Selon les statistiques générées par le Ministère du Développement, de l’Industrie et du Commerce brésilien, les échanges commerciaux entre le Brésil et le Maroc ont atteint US$ 1,483 milliards en 2017, enregistrant une hausse de 29,6% en comparaison avec l’année précédente.

Echanges commerciaux : hausse à l’export et à l’import en 2017

Au cours de l’année 2017, les échanges commerciaux à prix constants de la Tunisie avec l’extérieur ont enregistré en volume une hausse à l’export de 4,3% et à l’import de 2,6%, selon les derniers chiffres publiés par l'Institut national de la Statistique (INS).En valeurs courantes, les échanges commerciaux ont atteint, en 2017, 34426,6 millions de dinars en exportations et 50018,7 millions de dinars en importations, soit une augmentation de 18,1% à l’export et de 19,8% à l’import en glissement annuel. Par ailleurs, les prix de l’énergie ont connu des hausses de 16,8% à l’export et de 30,4% à l’import.

E-commerce pourra rapporter annuellement 8,41 MMDH à Casablanca

Visa, le leader mondial du paiement digital, vient d’annoncer ce lundi 15 janvier, les résultats de sa toute dernière étude qui vise à évaluer l'impact économique généré par l'utilisation croissante des paiements numériques au sein de 100 villes différentes dans le monde, dont Casablanca.Ce qui ne représente pas moins de 3,75% du PIB de la capitale économique, indique un communiqué du Visa.Les résultats indiquent en substance que, d'ici 2032, les paiements sans numéraire pourraient entraîner une baisse du chômage dans la ville à hauteur de 4,3% tout en contribuant à une croissance du PIB à raison de 11,5 points de base, note le communiqué.

Nette hausse des échanges entre le Maroc et le Brésil

Les engrais et fertilisants ont totalisé un montant de 644 millions de dollars soit, 74,2% des exportations totales du Maroc au Brésil. Du côté des Brésil, les exportations sont passées de 488 millions de dollars en 2016 à 615 millions en 2017, soit une croissance de 25,9%. Les importations du Maroc en la matière se sont élevées à 443,4 millions de dollars, ce qui équivaut à 72,1% du total des exportations brésiliennes vers le Maroc.

Etude Visa : Les paiements numériques pourraient rapporter 900 M$/an à Casablanca

Une telle étude a pour objectif d’évaluer l’impact économique généré par l’utilisation croissante des paiements numériques au sein de 100 villes différentes dans le monde, dont Casablanca.L’étude de Visa est articulée autour de la thématique suivante : « Villes sans cash : Comprendre tous les avantages du paiement numérique ». L’étude propose par ailleurs aux décideurs 61 recommandations différentes destinées à les aider à rendre leurs villes mieux outillées en matière de paiements numériques.

Casablanca: le paiement digital réduirait de 4,3% le taux de chômage d’ici 2032

Selon une étude récemment publiée, Casablanca pourrait réduire de 4,3% son taux de chômage dans les quinze prochaines années, grâce aux paiements électroniques. Dans sa livraison de ce 16 janvier, Aujourd’hui Le Maroc affirme que le paiement numérique pourrait rapporter gros à une ville comme Casablanca. Le quotidien, qui se base sur les résultats d’une étude menée par Visa et dont les résultats ont été récemment dévoilés, explique que ce mode de paiement pourrait réduire de 4,3% le taux de chômage à Casablanca d’ici 2032.

Flexibilité des changes. En direct des salles de marché

Othmane Gherras, directeur des activités du Forex dans le groupe Crédit agricole du Maroc nous a expliqué que la situation ce lundi matin était en ligne par rapport à vendredi. Aucun changement majeur n'a été constaté. L'euro a très légèrement bougé mais en lien avec la parité euro/dollar.

Maroc-Espagne : Les exportations en hausse de plus de 14%

Nette progression des exportation marocaines vers l’Espagne et l’Union européenne.Les principaux articles importés de l’Espagne, pendant cette période, sont les combustibles et lubrifiants (13,7%), les composantes d’automobile (13,4%), et tissus d’habillement (10,4%), relève Eurostat qui note que les principaux produits exportés par le Maroc vers l’Espagne étaient les matériaux électriques (29,3%), vêtements (23,6%), et mollusques et crustacés (8,6%).Durant la période de janvier à octobre 2017, le taux de couverture de l’Espagne avec le Maroc était de 126,67%, ce qui confirme l’évolution vers un équilibre dans les échanges commerciaux entre les deux pays.

Rétablissement du droit d’importation du textile et habillement turc

Conformément à l’article 17 de l’accord de libre-échange Maroc-Turquie Les mesures d’ajustement transitoires visées à l’article 17 de l’accord de libre- échange entre le Maroc et la Turquie seront bientôt actionnées. L’article 17 de l’accord de libre-d’échange Maroc-Turquie prévoit des mesures d’ajustement transitoires.

Exportation de véhicules à usage commercial : La déclaration désormais en ligne

Elle était jusque-là confiée à l’Association marocaine des transports routiers internationaux. Dans le cadre du déploiement progressif du processus de dématérialisation du circuit de dédouanement visant in fine l’abandon du dépôt physique des déclarations en douane, l’édition de la déclaration simplifiée dite «D20» couvrant les opérations d’exportation temporaire des véhicules à usage commercial utilisés en trafic routier international, jusque-là confiée à l’Association marocaine des transports routiers internationaux (AMTRI), sera désormais également possible à partir du portail internet de l’Administration.

« L’e-commerce doit renforcer l’expérience en boutique, mais pas la remplacer »

Un jugement de la Cour de justice européenne, confirmant l’interdiction par un fabricant de la vente de ses parfums sur les grandes plates-formes, rebat les cartes du commerce du luxe, pour le professeur Charles Cuvelliez, dans une tribune au « Monde ».Coty, le fabricant des parfums Burberry, Davidoff et Hugo Boss, avait interdit à ses revendeurs agréés de placer ses produits sur des plates-formes tierces comme Amazon. Un revendeur allemand s’y est opposé mais la CJUE a estimé que l’image de marque peut justifier l’exclusion de certains canaux de vente.

Zeybekci: Le Brexit n’affectera pas le commerce et les investissements entre Ankara et Londres

Le ministre turc de l'Économie a accueilli le secrétaire d'État britannique au Commerce international, Liam Fox, à AnkaraLe commerce et les investissements entre la Turquie et le Royaume-Uni ne seront pas endommagés par le Brexit, a déclaré le ministre turc de l'Économie, Nihat Zeybekci.Le ministre turc a rappelé que son pays a été l'un des premiers à s'entretenir avec le Royaume-Uni après la décision du Brexit.

Brexit : le scénario noir de l’agriculture européenne

Deux récents rapports réalisés par un spécialiste irlandais de la politique agricole commune et par le Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII) s’accordent à dire que l’agriculture promet d’être parmi les secteurs les plus exposés dans la négociation des relations commerciales post-Brexit. Le lancement des négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne ne commence formellement qu’au mois de mars mais le pire étant toujours à craindre, les économistes tentent déjà d’évaluer les effets d’un échec sur les relations commerciales futures entre les deux parties.
Commerce du 15 au 19 Janvier 2018

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