Conjoncture du 01 au 05 Avril 2019



Veille Maraacid


Commerce mondial : l'OMC table sur un ralentissement à 2,6 % en 2019

Sous le titre peu engageant « La croissance du commerce mondial s’essouffle alors que les tensions commerciales persistent », l’Organisation mondiale du commerce (OMC) a délivré, le 2 avril, ses prévisions pour 2019 et 2020.L’OMC imagine le « pire »Le résultat fait froid dans le dos : un recul du PIB mondial d’environ -2 % en 2022, comme en 2009 après la crise financière, et un effondrement de -17 % du commerce mondial,contre +12 % il y a dix ans.

Risque pays / Monde : Atradius conseille aux exportateurs cinq pays émergents

Certains marchés « sont attractifs car ils affichent de fortes perspectives de croissance et une vulnérabilité limitée aux incertitudes mondiales », indique, dans un communiqué du 3 avril, l’assureur-crédit Atradius. Il s’agit de la Bulgarie, de l’Indonésie, du Maroc, du Pérou et du Vietnam. Sur ces cinq pays, qui ont fait l’objet d’une récente étude intitulée « Les marchés émergents les plus prometteurs de 2019 », le Vietnam devrait afficher la plus forte progression de son produit intérieur brut (PIB) cette année, avec + 6,7 %, devant l’Indonésie, avec 5,1 %, le Pérou, avec 3,9 %, la Bulgarie, avec 3,5 % et le Maroc, avec 3,3 %.

Le secteur privé joue un rôle pionnier dans l’ouverture sur de nouveaux marchés mondiaux

"Le secteur privé, en parfaite complémentarité avec l’État, joue un rôle pionnier dans l'ouverture sur de nouveaux marchés, en particulier en Afrique où les secteurs bancaire, des assurances et de télécommunication sont fortement présents", a dit M. Benchaâboun lors du forum de la BID sur le secteur privé, organisé en marge de la 44ème réunion annuelle du groupe de la Banque islamique de développement (BID).

L’ECONOMIE CIRCULAIRE : QUEL CADRE INSTITUTIONNEL ?

Trois piliers fondamentaux de développement durable sont proposés (économique, social, environnemental). À leur tête, figure le volet économique. À cet égard, les freins à la compétitivité peuvent être dépassés à travers la recherche systématique de convergence intersectorielle et une meilleure intégration des considérations socio-environnementales. Selon la stratégie, une réelle économie de l’environnement est possible à travers la mise en œuvre d’une économie circulaire ou encore de l’industrialisation verte.

Tunisie : Baisse du taux d’inflation à 7,1% en mars 2019

Hors produits frais, le prix de l’alimentation s’est accru de 5,5% sur un an.Concernant la hausse des prix des produits et services de transport, ce secteur a augmenté de 9,7% en raison de la hausse du prix des véhicules, du coût d’utilisation des véhicules (pièces de rechanges et carburants), et des services de transport.Quant au taux d’inflation sous-jacente (hors produits alimentaires et énergie), il s’est stabilisé à 6,9% en mars 2019.

Compétitivité à l’export. Beaucoup reste à faire

Les exportations jouent-elle un rôle d’impulsion ? En réalité, le niveau actuel des ventes à l’étranger restent en deça des attentes malgré les efforts déployés. C’est ce qui ressort de l’enquête du Centre marocain de conjoncture (CMC), menée auprès des opérateurs économiques, selon laquelle une large proportion des enquêtes estiment qu’actuellement le Maroc n’exportent pas suffisamment de produits et de services vers l’étranger. «Cet avis est celui de 90% des enquêtés contre seulement 10% qui pensent que les ventes du pays sur les marchés extérieurs sont suffisantes», souligne les économistes du CMC.

Conjoncture. La croissance en berne

Comme annoncé en octobre dernier par le Haut-commissariat au plan (HCP), la croissance économique nationale s’est établie à 2,9% au quatrième trimestre 2018 au lieu de 4,4% durant la même période de l’année 2017. En chiffes, la demande intérieure a affiché un taux d’accroissement de 2% durant le quatrième trimestre de l’année 2018 au lieu de 3,8% durant la même période de l’année précédente, contribuant ainsi pour 2,2 points à la croissance économique nationale au lieu de 4,2 points une année auparavant. De même, la consommation finale des administrations publiques a connu une augmentation de 1,9% au lieu de 1,2% au quatrième trimestre de l’année précédente, avec une contribution à la croissance de 0,3 point au lieu de 0,2 point.

Croissance économique. Gros nuages à l’horizon

«Les perspectives relatives à l’année 2019 s’affichent mitigées », constatent les analystes de CDG Capital dans une note sur les perspectives économiques et financières pour l’année en cours. Une ambivalence marquée d’un côté par une amélioration de l’équilibre des finances publiques, grâce aux efforts menés pour l’élargissement de l’assiette fiscale et la maîtrise des charges et de l’autre, le recul de l’inflation pour osciller en dessous de 1%, bénéficiant de la régression des prix de l’alimentation frais en glissement annuel. La maîtrise des charges et une campagne agricole ordinaire contribueront à une baisse de régime de la croissance économique. A la lumière des derniers indicateurs présentés par Bank Al-Maghrib (BAM), CDG Capital revoit ses prévisions pour l’année.

Le CMC pessimiste

Le Centre marocain de conjoncture (CMC) a titré sa note de conjoncture pour le mois d’avril : «Par-delà la pluie». Ce titre emprunté à l’écrivain Victor del Àrbol, «image parfaitement la conjoncture économique du Maroc en 2019», lit-on dans la note. Si, en effet l’économie nationale demeure suspendue à la clémence du ciel et à la pluie qui a manqué terriblement tout le long de cette période hivernale, la pluie, ce facteur exogène, n’est pas le seul à faire dévier la croissance de la bonne orientation qu’on lui a prédite au moment de l’établissement des anticipations extrapolatives à la fi n de l’année écoulée.

Risque d’impayés : la recette Inforisk pour les PME

Du côté d’Inforisk, l’on souligne que le problème repose davantage sur l’absence de procédures internes au sein des TPME pour l’octroi de crédit (délai de paiement accordé) et sur les outils adéquats permettant de sélectionner les bons partenaires commerciaux des mauvais.D’un point de vue plus macro, je pense également que la question des délais de paiement est un frein majeur pour la création d’emplois, le financement de l’investissement ou de l’innovation, voire au développement international de nos entreprises. Encadré : Les solutions offertes aux entreprises

Le HCP table sur une croissance de 2,4% au T2-2019

La croissance économique devrait rester modérée au deuxième trimestre 2019, pâtissant du repli moins accentué de la valeur ajoutée agricole (-4,3%, en variation annuelle), prévoit le Haut-Commissariat au plan dans sa dernière note conjoncturelle. Hors agriculture, l'activité économique évoluerait dans un contexte international marqué par une atténuation progressive des incertitudes commerciales et politiques, de nature à affecter moins sensiblement le commerce mondial qui progresserait de 2,1%, en variation annuelle.

Emplois industriels : L'étude qui donne raison à MHE

Le ministre de l'Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l'Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy, a présenté ce jeudi un exposé lors du Conseil de gouvernement sur les résultats d'une étude réalisée par la CNSS, en coopération avec la DGI et l'Office des changes, sur les réalisations du plan d'accélération industrielle.

Maroc PME : Près de 9.000 bénéficiaires en 5 ans

Dans le cadre de l’accompagnement du déploiement du statut de l’auto entrepreneur, l’agence a déclaré avoir enregistré, au 31 mars 2019, plus de 123.075 demandes d’inscription au Registre national de l’auto-entrepreneur. A la même date, le registre comptabilise plus de 99.256 inscriptions. De même, l'auto-entrepreneuriat attire une portion importante de femmes (31%). Enfin, Maroc PME a annoncé la formation de 355 conseillers en entrepreneuriat, ainsi que son accompagnement de 2786 auto-entrepreneurs.

Politiques macroéconomiques : Le FMI exhorte le Maroc à poursuivre la réforme du régime de change

La mission du Fonds Monétaire International (FMI) pour le Maroc réitère le même constat, à savoir que « l’économie marocaine continue de profiter de politiques macroéconomiques prudentes et de la poursuite des réformes structurelles ». C’est ce qu’a annoncé Nicolas Blancher, chef de mission du FMI, lors d’une conférence de presse donnée, mardi 2 avril, à Rabat, à l’issue de la mission effectuée au Maroc du 19 mars au 3 avril. Selon les prévisions de l’instance financière internationale, la croissance, qui a atteint 3 % en 2018, devrait se stabiliser en 2019, puis atteindre 4,5 % à moyen terme.

Tablant sur une hausse de 2,4% : Une croissance modérée anticipée par le HCP au 2ème trimestre

La croissance économique poursuivrait sa croissance à un rythme modéré au deuxième trimestre. Le Haut-Commissariat au Plan table sur une amélioration de 2,4% contre 2,5% observé à la même période de l’année précédente. «La croissance économique devrait rester modérée au deuxième trimestre 2019, pâtissant du repli moins accentué de la valeur ajoutée agricole (-4,3%, en variation annuelle)», peut-on relever de la dernière note de conjoncture du Haut-Commissariat au Plan.

Assouplissement progressif du régime de change : Le FMI appuie le Maroc dans sa démarche

Interrogé sur la réforme de changes engagée par le Maroc, Nicolas Blancher, chef de la délégation du FMI, a assuré que la situation actuelle continue d’offrir une fenêtre d’opportunité pour avancer dans cette transition de manière progressive et ordonnée. «Cette réforme devrait rendre l’économie marocaine mieux à même d’absorber des chocs extérieurs et préserver sa compétitivité», précise-t-il. Se référant au FMI, le Maroc effectue cette réforme tout en étant dans une position de force. «La transition ne se fait pas dans la pression et cela permettra de mieux résister aux chocs exogènes», fait observer le chef de la délégation.

La BID s'engage avec le Maroc sur un nouveau pacte stratégique

Les relations entre le groupe de la BID et le Maroc constituent un modèle exemplaire de coopération avec les pays membres. En effet, depuis la création de la BID, le Maroc ne cesse de jouer un rôle vital dans le développement de cette institution et l’élargissement de l’étendue de ses activités. Les financements accordés au Royaume s’élèvent à environ 6,7 milliards de dollars américains. Ils ont porté sur des projets, le commerce et l’investissement, entre autres. La valeur du portefeuille actif de projets est d’environ 1 milliard de dollars américains. Il est réparti sur les secteurs de l’énergie, de l’eau, de l’agriculture, des transports et du développement humain.

La saison des indicateurs économiques

L’économie mondiale devrait croître à un rythme de 2,9% en 2019 et 2,7% en 2020 (contre 3,1% en 2018). La Chine continue à mener le monde en termes de croissance. Au Moyen-Orient et en Afrique, elle sera portée par les matières premières. Pour la zone euro, les économistes tablent sur un taux de 1,2% cette année et 1,3% l’année prochaine

Ralentissement de la croissance économique à 2.9% au 4ème trimestre

Cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages dans le contexte d'une inflation maîtrisée et d'un besoin de financement de l'économie nationale en augmentation. Elle a contribué pour 2,2 points à la croissance économique nationale au lieu de 4,2 points une année auparavant.

Déficit du compte courant : 5,4% du PIB à fin 2018

La morosité de la conjoncture internationale s’est fait terriblement ressentir sur les indicateurs macroéconomiques. Et même sur le plan national, les principales rubriques qui drivent la croissance économique n’ont pas été au rendez-vous en 2018. Vaille que vaille, la conjoncture économique nationale reste tributaire de la clémence du ciel. Un ralentissement économique qui s’est traduit par une dégradation du déficit de la balance commerciale.

Entretien avec Abderrahmane Belbachir, directeur général de Bank Of Africa – Rwanda

Croissance de l’activité commerciale, amélioration de la productivité, consolidation de la rentabilité et maitrise des risques. Tels sont les principaux axes de la stratégie de travail de Bank of Africa au Rwanda. Après avoir annoncé en octobre 2015 son implantation au Rwanda, le Groupe Bank Of Africa a procédé à l’inauguration officielle de sa filiale en décembre 2016. À partir de cette date, le groupe s’est engagé dans une dynamique de développement qui lui a permis d’améliorer sa position dans le marché local et continental. Le point avec Abderrahmane Belbachir, directeur général de Bank Of Africa (BOA)-Rwanda.

Le renouveau des politiques fiscales dans le monde: Les raisons d’une revanche

Les politiques fiscales ne sont-elles pas entrain de devenir les panacées universelles à même à cicatriser les maux sociaux dans le monde ? Les Gouvernements et les responsables politiques s’apprêtent-ils à emmancher un changement racinaire dans les politiques fiscales afin de racheter la paix et faire face aux crises économiques et aux protestations sociales ? Ces Gouvernements sont-ils en train de revenir sur les politiques fiscales néolibérales qui ont prévalu dans le monde depuis l’efflorescence libérale du début des années 80 à l’instar de la "Reaganomie" entre 1980-1989 aux USA, et le "Thatchérisme" entre 1979-1990 en Grande Bretagne ?

La dette du Trésor grimpe à 65,6% du PIB en 2018

Compte tenu de la croissance réelle, estimée à 3,1% par le HCP (un chiffre qui sera confirmé ou corrigé – légèrement – lors de la publication des comptes nationaux en juin prochain) et du niveau général des prix arrêté à 1,6%, le taux d’endettement du Trésor ressort à 65,6% du PIB, en hausse de 0,5 point par rapport à 2017. Pour 2019, la situation, sur ce point, ne devrait pas s’améliorer, du moins si les prévisions actuelles quant à l’évolution de la conjoncture venaient à se réaliser. Et ces prévisions sont loin d’être optimistes, puisque BAM, lors de la réunion de son conseil mardi 19 mars, a revu très largement à la baisse sa prévision de décembre dernier (qui était de 3,1%), en tablant désormais sur une croissance économique limitée à 2,7% pour 2019 au lieu de 2,9% pour le HCP.

Reprise des exportations : Les cours du sucre reviendront-ils à des niveaux acceptables en 2019 ?

Les fluctuations des cours du sucre non seulement ont impacté les exportations de Cosumar mais également les importations pour répondre aux besoins du marché national.A noter que l’activité d’exportation du sucre est en réalité une réexportation du sucre brut acheté par Cosumar sur le marché international (principalement du Brésil) et raffiné au niveau de la raffinerie de Casablanca. L’enjeu est double puisque la fluctuation du marché du sucre ne touche pas uniquement les exportations de Cosumar mais également le marché national qui continue d’importer plus de 50% de ses besoins en sucre et par conséquent la balance commerciale.

Industrialisation: Nouvel appui onusien

«La promotion de zones industrielles durables figure parmi les axes de ce nouveau programme de partenariat pays. Celles-ci doivent être «conçues selon des standards de qualité, d’attractivité, d’efficacité énergétique et de compétitivité internationale». Le renforcement de l’industrialisation est l’une des priorités du Maroc. Moulay Hafid Elalamy l’a rappelé lors de la cérémonie de signature du programme de partenariat pays (PCP), avec l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), hier à Rabat. Ce dernier est «en phase avec les objectifs fixés»,

La campagne agricole est rattrapable

L’espoir renaît dans les campagnes. Le temps relativement pluvieux dans plusieurs régions agricoles pourrait redresser les projections de l’actuelle campagne. «D’autant plus que les pluies du printemps s’avèrent déterminantes», rappelle un professionnel de la zone des Doukkala. Et il faut espérer que les précipitations s’intensifient et se poursuivent dans les prochaines semaines, pousuit-il. Car, dans cette région qui représente le grenier du Maroc, la situation s’était dégradée, accentuant l’inquiétude des agriculteurs qui devaient composer en plus avec une hausse vertigineuse de l’alimentation du bétail. Ce qui a contraint des petits éleveurs à brader une partie de leur cheptel pour sauvegarder le reste.

Commission des investissements: Les infrastructures en force

Comme nous l’avons annoncé dans notre édition d’hier jeudi, la 1re réunion de la Commission nationale des investissements en 2019 s’est soldée par l’approbation de 28 conventions d’investissement, pour un montant global de 22,96 milliards de DH. Ces projets devront permettre la création de 4.346 emplois directs et 7.934 emplois indirects. C’est le secteur des transports et infrastructures qui accapare près de la moitié du montant global des investissements, avec 9,64 milliards de DH (42%). Il est suivi des télécommunications, avec 4,37 milliards de DH et du tourisme et loisirs, avec 4,03 milliards.

Modèle économique: Chami plaide pour une consultation citoyenne

Cependant, le pourcentage de PIB investi ne génère pas assez de croissance économique. Entre 1999 et 2018, le Maroc a réalisé une croissance moyenne annuelle de 4%. Les limites du modèle économique actuel imposent un changement de mindset avec l’adoption d’un nouveau modèle qui ne s’inscrit pas sur le court terme, et qui transcende le programme gouvernemental.

Arancha González, la directrice exécutive du CCI: «Au Maroc, tout est réuni pour accélérer la croissance»

La directrice exécutive du Centre du commerce international (CCI), Arancha González, était présente à la conférence ministérielle de la Commission économique pour l'Afrique, récemment tenue à Marrakech. Celle qui a choisi les petites et moyennes entreprises comme plaidoyer majeur de l’organisation, dresse un bilan positif. Elle aborde également la question des tensions commerciales mondiales et leurs effets sur l’Afrique.

Commerce avec l’UE: Le déficit avoisine 90 milliards de DH

Le constat est alarmant: le Maroc est déficitaire au niveau de tous ses accords de libre-échange, à l’exception de ceux passés avec l’Afrique et le Brésil. Pour les dizaines d’autres accords, l’aiguile de la balance des paiements penche constamment dans le rouge. L’exemple de l’Union européenne est révélateur. En effet, avec ce premier partenaire de Rabat, le déficit a avoisiné 90 milliards de DH en 2017. Il a dépassé 35 milliards de DH avec la Chine. Ce sont les deux aspirateurs du déficit commercial, pour reprendre l’expression d’un responsable au ministère des Finances. Quant au déficit enregistré avec la Turquie, il est de 12 milliards de DH.

Contrôle des exportations de biens à usage civil et militaire : une loi pour bientôt

Le Maroc compte serrer la vis autour des exportations de biens à double usage (civil et militaire). Un avant-projet de loi sur le contrôle de ces exportations, ainsi que des services qui leur sont liés, a été déposé au Secrétariat général du gouvernement pour consultation publique. Il fait suite à la résolution n°1540 du Conseil de sécurité, adoptée en avril 2004, et qui appelle tous les Etats à mettre en place des dispositifs de contrôle destinés à prévenir la prolifération des armes nucléaires, chimiques ou biologiques ainsi que leurs vecteurs.

Dette extérieure du Trésor : Un encours de 148 MMDH mobilisé en 2018

C’est ce que relève la direction du Trésor et des finances extérieures relevant du ministère de l’économie et des finances dans ses dernières statistiques de la dette extérieure publique. Une publication qui trace, entre autres, l’évolution de l’encours de la dette ainsi que sa structure par maturité originale, par groupes de créanciers et d’emprunteurs et sa composition par devises et type de taux d’intérêt. Les résultats tirés à fin décembre 2018 démontrent une baisse de plus de 5 milliards de dirhams de l’encours de la dette extérieure du Trésor. Ce dernier s’est établi à 148 milliards de dirhams contre 153 milliards de dirhams l’année dernière. Il représente ainsi 13,2% du PIB contre 14,4% du PIB en 2017.

France: la conjoncture s'est détériorée dans le secteur manufacturier en mars

La conjoncture s'est détériorée en mars dans l'industrie manufacturière française, en raison d'une baisse des nouvelles commandes et d'un recul des ventes à l'export, selon l'indice PMI publié lundi par le cabinet IHS Markit. Selon Markit, la contraction de l'activité s'explique par une baisse de la production mais aussi des nouvelles commandes et des ventes à l'export. Selon IHS Markit, l'activité globale du secteur privé en France, incluant l'industrie maufacturière et les services, s'est ainsi contractée en mars, pénalisée par le faible volume des nouvelles affaires à l'export.

Mohamed Bousfoul : « La filière dattes a créé une dynamique organisationnelle des agriculteurs »

Naturellement, les potentialités dont dispose la région font d’elle un biotope plus attrayant pour tout opérateur économique. Globalement il y a trois niveaux de potentialités. D’abord, la région offre un écosystème spécifique au palmier dattier, rose à parfum, safran et autres. S’y ajoute une infrastructure de valorisation importante des productions oasiennes, une infrastructure de base importante, un marché régional et national potentiel, une main d’œuvre qualifiée et une expérience appréciable d’investissements réussis sur les terrains collectifs.

Le déficit budgétaire se creuse à 36,9 milliards d'euros

Le déficit budgétaire français s'est creusé à 36,9 milliards d'euros en février contre 28,5 milliards d'euros au même mois en 2018, en raison de la mise en place de l'impôt à la source, a indiqué vendredi le ministère des Comptes publics. Les dépenses du budget général reculent de 1,1 milliard d'euros à 52,7 milliards par rapport à l'année passée, principalement en raison "de décalages calendaires", précise le ministère dans un communiqué.

Comment les opérateurs jugent les exportations marocaines

Les opérateurs économiques marocains sont, à l'évidence, bien conscients des insuffisances des exportations marocaines. Ils ont également une idée plutôt précise sur les solutions à apporter à cette faiblesse. C'est ce qui ressort d'un sondage auprès d'un échantillon d'opérateurs sur le poids des contraintes au développement des exportations marocaines, réalisé par le Centre marocain de conjoncture (CMC) et dont il vient de publier les résultats.

Face à la crise de l’immobilier, l’industrie de la peinture repense sa stratégie

Dopée pendant plusieurs années par le logement social notamment, mais aussi par le moyen et le haut standing, l’industrie de la peinture fait aujourd’hui les frais du marasme du secteur immobilier caractérisé par la nette baisse du rythme de la production et des mises en chantier. Illustration : «90% des ventes de peinture sont réalisés à travers le réseau traditionnel (grossistes). Des producteurs artisanaux n’hésitent plus à copier un produit ou à lui donner des noms presque similaires à ceux de sociétés connues, ce qui nuit à l’image de celle-ci et du secteur en général.

La situation économique nationale durant le quatrième trimestre 2018

Le secteur primaire, a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance, passant de 10,9% au quatrième trimestre de l’année 2017 à 2% durant la même période de l’année 2018. Cette évolution est le résultat de la hausse de la valeur ajoutée de l’activité agricole de 3,5% au lieu de 13,6% une année auparavant et de la baisse de celle de la pêche de 15,7% au lieu de 16,9%. De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a réalisé un ralentissement de son taux d’accroissement passant de 4,6% au quatrième trimestre de l’année 2017 à 3,2% le même trimestre de l’année 2018.

Pessimisme des banques centrales sur la croissance économique mondiale

L’OCDE, la FED la BCE annoncent en cœur des taux de croissance bas et en baisse.M. Mario Draghi, son Président, compte continuer à peser à la baisse sur les taux encore deux ans et permettre aux banques d’accorder des crédits aux entreprises à des taux bas, pour booster la croissance économique.Car pour eux, la remontée des taux d’intérêts et du taux directeur de la BCE incarneraient le retour de la croissance économique.
Conjoncture du 01 au 05 Avril 2019

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