Conjoncture du 06 au 10 Mai 2019



Veille Maraacid


Reform and Opening-up: Chinese Lessons to the World

China is the second largest economy in the world. In the year of 1978, when Reform and Opening-up started, its nominal gross domestic product (GDP) was US$ 214 billion. Currently, it is estimated to reach US$ 14.17 billion2. Since 1978, China has become the global factory, the world’s manufacturing hub, representing the largest share of GDP. Additionally, its services sector is steadily growing faster and wider. The country is once again in a major transition: from the global factory to the world’s largest consumer market, with an unprecedented and largest growing purchasing power in the history of humankind. It has not been an easy ride.

Maroc PME en quête de 2000 candidats pour ses programmes d’appui

Maroc PME lance le 28 avril un marché dont l’objet est l’insertion de 2000 candidats au sein des entreprises accompagnées par l’Agence dans le cadre de ses programmes d’appui.Avec un cadre stratégique d’intervention découlant du Plan d’Accélération Industrielle (PAI), l’action de l’agence s’est focalisée sur le développement des services d’accompagnement des très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) et la promotion du Statut de l’auto-entrepreneur et l’accompagnement de cette cible.Ces projets d’accompagnement représentent un investissement global de 7,1 Mds de DH, avec un engagement de création de plus de 75 984 emplois. 7805 porteurs de projets, TPE et auto-entrepreneurs ont bénéficié de l’accompagnement de Maroc PME.

PSA Maroc: L'usine dans les starting-blocks

C'est le compte à rebours avant le démarrage de l'usine PSA de Kénitra. «La production de véhicules n’a pas encore commencé, mais celle de moteurs est en phase de montée en cadence», confie PSA à un journal français.«Les véhicules qui seront produits sur le site de Kénitra seront du segment B et C, bâtis sur la même plateforme», se contente de dire Jean-Christophe Quémard, directeur PSA de la Région Moyen-Orient et Afrique.

L'informel et le manque de visibilité, les boulets de la logistique

Le Maroc a encore beaucoup à faire dans le domaine de la logistique. L’un des objectifs initiaux de la Stratégie adoptée pour le secteur était de ramener le poids du coût logistique sur le PIB de 20% à 15% en 2015 déjà. Cet objectif n’a jamais été atteint, et continue de figurer aujourd’hui parmi bien d’autres priorités telles l’installation de zones logistiques, la décongestion des routes, l’éradication de l’informel et l’amélioration de la compétitivité par les coûts, identifiées par les acteurs du secteur comme points vitaux conditionnant le développement du secteur. C’est ce qu’affirme Hicham Mellakh, président de la commission logistique à la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).

Textile : les confidences du président de l'AMITH

Dans le cadre du Plan d’accélération industrielle (PAI), nous avons réalisé de grandes avancées en matière de création d’emplois, d’investissement, de croissance de chiffre d’affaires à l’export et de création de nouveaux projets ou de projets de développement. Selon la CNSS et les chiffres retraités par l’administration de tutelle, depuis 2014, le textile et l’habillement ont créé 79 300 nouveaux emplois. Selon le HCP, le secteur du textile a créé 11 000 emplois nets en 2018. Il se positionne comme étant le premier créateur d’emplois nets. En 2018, nous avons franchi pour la première fois la barre des 38 milliards de dirhams d’exportation.

Flambée du prix de l’oignon : les précisions du ministère de l’agriculture

Les prix retourneront à la normale avec l’entrée progressive de la production de l’oignon de la saison en cours, tient à rassurer le ministère dans un communiqué publié ce jeudi 9 mai. La hausse est plus importante pour l’oignon sec qui arrive en fin de stocks avec des volumes très faibles sur le marché, ce qui a pour effet d’augmenter ses prix », poursuit le ministère.A date du 7 mai 2019, le prix de la tomate a affiché dans les marchés de gros de Fès 3,40dhs/kg, Casablanca 4,33DH/kg, Oujda 3,5DH/kg, Marrakech 3,5 DH/kg, Rabat 3,50 DH/kg et Tanger 4 DH/kg.

La nouvelle charte, un maillon fort de la réforme de l’investissement

Le ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy, présente devant le Souverain un exposé sur un nouveau plan de réforme de l’investissement. Ce qui a amené le ministère de l’Industrie et du Commerce à reconsidérer la Charte d’Investissement. Mais depuis le lancement du nouveau plan de réforme de l’investissement, certains de ces chantiers ont été bouclés, notamment la création de l’Agence marocaine de Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE) dans la foulée de la fusion de l’AMDI, Maroc Export et l’OFEC, la création de l’Agence de développement du digital, et la restructuration du ministère de tutelle à travers la création de la Direction Générale de l’Industrie et de la Direction Générale du Commerce.

Ouverture, productivité et croissance économique au Maroc

Le lien entre ouverture et croissance est un domaine de recherche largement investi parla littérature économique. La théorie de l’avantage comparatif de David Ricardo dévelop-pée au19mesiècle et prolongée par celle des dotations factorielles de Heckscher-Ohlin-Samuelson (HOS) figurent parmi les travaux précurseurs sur les bienfaits de l’ouverture.

La croissance économique au Maroc passera de 3,2% en 2019 à 3,8% en 2020

La Banque européenne pour la restructuration et le développement (BERD) émet des anticipations positives pour les pays du sud et de l’est de la méditerranée. Connu sous l’acronyme Semed, la région selon le portefeuille de la Banque abrite le Maroc, l’Égypte, la Jordanie, le Liban et la Tunisie. Se référant aux dernières perspectives de la BERD, la croissance moyenne dans les cinq pays précités devrait passer de 4,6% cette année à 5,1% en 2020. Une évolution qui devrait profiter des réformes économiques et de la modernisation de l’environnement des entreprises pour la promotion des investissements nationaux et étrangers.

Création de plus de 28.000 entreprises au premier trimestre 2019

Le commerce reste le secteur le plus prisé, captant ainsi 44,3% des créations. Le BTP et activités immobilières arrive en deuxième position avec une part de 16,4% devançant de peu les services divers (16,22%). Elles sont 28.273 entreprises à avoir été créées durant le premier trimestre de l’année. Ces créations s’inscrivent en hausse par rapport à la même période de l’année. On relève dans ce sens un additionnel de 3.393 nouvelles créations par rapport au premier trimestre 2018. C’est ce que l’on peut déduire du tableau de bord général de l’Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (Ompic). Le tableau brossé à fin mars démontre un élan soutenu de nouvelles immatriculations au registre de commerce.

Le taux d'emploi se trouve en nette hausse dans tous les pays de l'Union européenne

Alors que l'objectif de la stratégie Europe 2020 est d'atteindre un taux d'emploi total des 20-64 ans d'au moins 75% dans l'Union européenne d'ici à 2020, treize pays sur vingt-huit ont déjà dépassé leur objectif national de 2020 sur cet indicateur. L'agence statistique de l'Union européenne révèle également que le taux d'emploi des 55-64 ans connaît également une croissance continue. Les deux premiers pays méditerranéens de ce classement sont le Portugal et la Slovénie à égalité avec 75,4% de taux d'emploi des 20-64 ans.

ABEF2019 appelle le secteur privé à saisir les opportunités de l’économie bleue en Afrique

Les entreprises opérant en Afrique sont appelées à prendre conscience du pouvoir économique, social et environnemental de l’économie bleue. En particulier, celles basées dans les pays côtiers africains doivent reconnaître et saisir pleinement les avantages d’une économie bleue couvrant un large éventail de secteurs productifs essentiels au développement durable du continent, notamment la pêche, l’aquaculture, les transports, les énergies renouvelables, le commerce, le tourisme ou encore les industries extractives.

Le chiffre du commerce extérieur : la progression marquée des importations accroît le déficit en mars

La progression marquée des importations accroît le déficit en mars En mars, le déficit augmente de 1,2 milliard d’euros pour s’établir à 5,3 milliards d’euros après 4,1 milliards d’euros en février, dans un contexte de hausse des échanges plus marquée à l’importation. Ainsi, la forte croissance des importations (+1,7 milliard) dépasse nettement celle des exportations (+0,5 milliard). La poussée des approvisionnements en hydrocarbures naturels, pétrole brut mais également gaz naturel, contribue notamment à la hausse des importations.

Commerce intérieur : la laborieuse marche vers la modernisation

Au début de la première plénière du Forum marocain du commerce, qui a eu lieu à Marrakech les 24 et 25 avril dernier, une petite escarmouche est passée presque inaperçue. Dans ce bref duel verbal subliminal, les deux protagonistes, Salaheddine Mezouar, président de la CGEM, et Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’industrie, du commerce, de l’investissement et de l’économie numérique, ont évoqué deux constats malheureux. Il s’agit, respectivement, du manque de continuité et du retard accusé dans l’adoption d’une stratégie nationale globale en matière de commerce. On en déduit tout simplement que les efforts menés actuellement, pour mettre en place une stratégie nationale du commerce, enterrent prématurément Rawaj 2020, avant que celui-ci n’arrive à échéance.

La Berd prévoit une croissance de 5,1% dans les pays du Sud et de l'Est de la Méditerranée en 2020

La Berd précise que les troubles sociaux et l'instabilité politique en Jordanie et au Liban ont "retardé la mise en oeuvre de diverses réformes l'année dernière" mais que "le tourisme a continuer de se renforcer dans la plupart des pays et la compétitivité de la Tunisie s'est améliorée en raison de la dépréciation de la monnaie". De même, "la bonne mise en oeuvre des réformes a propulsé l'Egypte vers son taux de croissance le plus élevé en dix ans". La Berd pointe le retard de la mise en oeuvre des réformes structurelles, notamment à cause de l'incertitude politique liée aux élection de 2019, pour expliquer cette légère augmentation.

La croissance européenne toujours enrhumée par les conflits commerciaux

Dans ses prévisions économiques du printemps, la Commission européenne estime que le ralentissement de la croissance du PIB communautaire prendra fin en 2019. En 2020, les facteurs nationaux défavorables devraient s'estomper, selon les anticipations de la Commission européenne qui table aussi sur un rebond l'activité économique hors UE. En chiffres, ces vents favorables se traduiront par une croissance du PIB européen de 1,6% et de 1,5% pour celui des pays de la zone euro, contre les 1,7% et 1,6% avancés par la Commission en hiver. L'Italie devrait afficher en 2019 et 2020 une croissance bien inférieure à celle de l'ensemble de la zone euro et voir grimper sa dette à un niveau record préoccupant, selon les prévisions de la Commission européenne.

L’automobile, principal moteur de l’emploi industriel

Les métiers mondiaux continuent de booster l’emploi dans l’industrie. De nouveaux écosystèmes et au moins une cinquantaine d’ouvertures et d’extensions d’usines sont annoncés. «Les objectifs de 2020 seront atteints cette année, soit un an avant l’échéance fixée par le Plan d’accélération industrielle», s’engage Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l’Économie numérique.

IS: Jusqu’où peut aller le gouvernement?

La dernière réforme de l'impôt sur les sociétés en 2018 a introduit un barème progressif de trois tarifs: 10%, 20% et 31%. Le taux de 10% est appliqué au résultat fiscal inférieur à 300.000 DH et 20% pour la tranche comprise entre 300.001 et 1 million de DH. La moitié des 70.000 sociétés bénéficiaires en 2018 ont déclaré un résultat inférieur à 300.000 DH, et donc imposable à 10%.Je pense qu'il faut avoir un taux pour les grandes entreprises et un autre pour les petites sociétés et la possibilité d'ajuster par le traitement fiscal des dividendes.

Crédit bancaire: Nouveau coup de frein à l’investissement privé

Mi-avril, Bank Al-Maghrib, la CGEM et le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM) s’étaient réunis pour trouver des solutions afin de relancer l’investissement du secteur privé. Le groupe Banque Populaire a eu la même initiative mardi dernier en mobilisant plus de 400 chefs d’entreprise à Casablanca .

Assises de la fiscalité/Impôts: Les régimes préférentiels sous pression

Le Maroc est appelé à prendre d’autres mesures pour se conformer aux standards internationaux de transparence et de bonne gouvernance fiscales. La question a encore une fois été soulevée au cours des 3es Assises de la fiscalité qui se sont tenues les 3 et 4 mai à Skhirat par Pierre Moscovici, commissaire européen, non sans diplomatie.

Hydrocarbures. Le ministère décide de muscler son système de contrôle

Le ministère de l’Énergie, des mines et du développement durable réagit au reproche du patron du Groupement des pétroliers du Maroc (GPM) ! Pour ne plus courir le risque «d’octroyer des autorisations de vente de carburants à des gens qui exercent des activités illicites», Adil Ziadi dixit, ce département a, en effet, décidé de muscler son système de contrôle. Comment ? Pour répondre à la question et définir ainsi le dispositif à mettre en place pour renforcer le système de contrôle de la disponibilité et de la qualité des hydrocarbures raffinés et du gaz naturel liquéfié (GNL) dans toute la chaîne de distribution jusqu’au consommateur final, le ministère a organisé, vendredi dernier à son siège à Rabat, une journée de concertation sur le thème du «contrôle rationnel des produits pétroliers liquides».

Commerce extérieur. Le phosphate couvre la hausse des importations

Les échanges commerciaux de biens, à fin mars dernier, ont été marqué par un allègement du déficit commercial de 2,4% à 46,947 milliards de dirhams (MMDH) contre 48,087 MMDH une année auparavant. Cette évolution est due à une hausse des exportations (+2,914 MMDH) plus importante que celle des importations (+1,774 MMDH), explique l’Office des changes dans sa note sur ses indicateurs mensuels des échanges extérieurs, notant que le taux de couverture s’établit à 61,3% au lieu de 59,7% un an auparavant, soit un gain de 1,6 point

Finance participative. Les règles prudentielles arrivent

Les banques conventionnelles sont désormais soumises à de nouvelles normes et règles prudentielles telles que l’IFRS 9. Quid des banques participatives compte tenu de leur nature d’activité ? Selon Bank Al-Maghrib, ces exigences s’appliquent indirectement aux banques participatives, à l’instar des autres entités consolidées par des groupes bancaires. Et ce, en plus à une série de normes qui sont en cours d’élaboration afin d’encadrer cette nouvelle activité.

Ramadan. Daoudi appelle les citoyens à dénoncer toute augmentation des prix

Le ministre délégué chargé des Affaires générales et de la gouvernance, Lahcen Daoudi, a appelé, ce lundi, les citoyens à dénoncer toute augmentation des prix des denrées alimentaires et toute commercialisation de produits périmés au cours du mois sacré de Ramadan. En réponse à une question centrale à la Chambre des représentants sur "les mesures prises pour protéger les consommateurs pendant le mois de Ramadan".

La croissance inclusive peine à décoller

Le Maroc a largement réduit son taux de pauvreté (de 15,3% en 2001 à 8,9% en 2007 pour atteindre 4,8% en 2014). Pour autant, les inégalités (calculées via l’indice de Gini) ne suivent pas cette nette tendance à la baisse. Si le PIB par habitant augmente, les inégalités s’aggravent et la pauvreté suggestive stagne. «Près de 60% des jeunes Marocains se considèrent pauvres», lance Mustapha Ziky, directeur du laboratoire de recherche Inredd de l’Université Cadi Ayyad (UCA) à Marrakech, chiffres du HCP à l’appui.

Tunisie-BAD : 500 millions de dollars seraient mobilisés en 2019

La Tunisie bénéficierait d’environ 500 millions de dollars en 2019. C’est qu’a annoncé le président de la BAD, Akiwumi Adesina, lors de sa première visite officielle effectuée en Tunisie. Ces financements iront en priorité aux secteurs de l’énergie, de la finance et de l’agriculture. Autant de secteurs qui vont, selon ses dires, générer croissance et emplois.

Marché du travail : 15 000 emplois créés au Maroc entre les 1ers trimestres 2018 et 2019

L’économie marocaine a créé 15 000 postes d’emploi (création de 109 000 en milieu urbain et perte de 94 000 en milieu rural), entre le premier trimestre de 2018 et la même période de 2019, contre une création de 116 000 une année auparavant, selon le HCP. Ainsi, le volume global de l’emploi est passé, entre les deux périodes, de 10 882 000 à 10 897 000 personnes, tandis que le taux d’emploi a reculé de 0,6 point au niveau national, passant de 42,2% à 41,6%, relève le HCP qui vient de publier une note sur la situation du marché de travail au 1er trimestre 2019. Ce taux a baissé de 35,8% à 35,6% en milieu urbain et de 53,5% à 52,3% en milieu rural, précise la même source.

Immobilier professionnel : après le boom, place à l'accalmie

Le marché de l’immobilier professionnel à Casablanca fléchit légèrement depuis 2015, suite à une période de quasi-stagnation étalée de 2010 à 2014 précédée d’une forte hausse entre 2006 et 2009. Selon Jones Lang Lassalle (JLL), multinationale spécialisée en conseil immobilier d’entreprise, il s’agit d’une période de correction qui se caractérise par une baisse de la demande sur le marché immobilier, mais qui est accompagnée par le renforcement de la présence des petits acteurs locaux, l’arrivée de nouvelles enseignes «mass market» et le développement de nouveaux centres commerciaux communautaires dans des nouvelles zones urbaines.

Marché automobile : le chassé-croisé des ventes perdure

Après deux premiers mois poussifs et un résultat faste en mars, les ventes de voitures neuves ont accusé un sérieux revers en avril 2019.Après un début d'année timide suivi d'une floraison des affaires en mars, les ventes de voitures neuves ont subi en avril dernier un fléchissement pour le moins sévère.Ventes et parts de marché des voitures neuves (Avril 2018/2019)

Balance commerciale : Le déficit s’allège au premier trimestre

La balance commerciale ressort moins déficitaire au premier trimestre de l’année. L’Office des changes relève à fin mars 2019 un allègement de 2,4%, soit une résorption d’environ 1,14 milliard de dirhams par rapport à l’écart enregistré une année plus tôt. Le déficit est ainsi passé de 48,08 milliards de dirhams à 46,94 milliards de dirhams. Une évolution qui résulte en effet de la consolidation des exportations qui s’est faite à un rythme beaucoup plus important que celle des importations. Ce qui porte le taux de couverture à 61,3% contre 59,7% une année plus tôt.

L’indice des prix à la production industrielle, énergétique et minière du mois de Mars 2019

L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une hausse de 0,3% au cours du mois de mars 2019 par rapport au mois de février 2019. Par ailleurs, l’indice des prix à la production du secteur des «Industries extractives» a connu une hausse de 0,3% au cours du mois de mars 201.

La Situation du marché du travail au premier trimestre de 2019

Entre le premier trimestre de 2018 et la même période de 2019, l’économie marocaine a créé 15.000 postes d’emplois nets, contre une création de 116.000 une année auparavant. Ce solde est le résultat d’une création de 109.000 postes en milieu urbain et une perte de 94.000 en milieu rural. Le secteur des "services" a créé 144.000 postes, les BTP 19.000 et l’"industrie y compris l'artisanat" 4.000 postes, alors que le secteur de l’"agriculture, forêt et pêche" a enregistré une perte de 152.000 postes d’emploi.

Assises de la fiscalité : Mezouar appelle le gouvernement à respecter les engagements qui seront pris

« Le système fiscal est censé être un facteur qui structure la relation avec l’administration. La CGEM a travaillé sur les questions posées, en partant d’un certain nombre de principes. D’abord, quels sont nos choix économiques ? Nous avons fait le choix d’une économie de marché et cela appelle à un certain nombre de comportements. Les entreprises ont besoin d’un cadre légal stable, que ce soit en matière de fiscalité ou dans les autres domaines », a souligné Salaheddine Mezzouar.

Un taux de chômage en légère baisse au premier trimestre

Entre le premier trimestre de 2018 et la même période de 2019, l’économie marocaine a créé 15.000 postes d’emplois nets, contre une création de 116.000 une année auparavant. Ce solde est le résultat d’une création de 109.000 postes en milieu urbain et une perte de 94.000 en milieu rural. Le taux de chômage est ainsi passé de 10,5% à 10% au niveau national.

Commerce : Trump remet la pression sur Pékin, qui maintient les négociations

La menace de reprise de la guerre commerciale entre les deux premières économies mondiales a provoqué un plongeon des Bourses et de la monnaie chinoise, qui contaminait lundi les places asiatiques et européennes. Mais contrairement à des informations de presse, Pékin a fait savoir que son équipe de négociateurs se préparait toujours à se rendre à Washington -- sans toutefois confirmer spécifiquement de date, ni si le vice-Premier ministre Liu He dirigerait bien la délégation chinoise.

Assises de la fiscalité : une nouvelle vision de l’impôt prend forme..!

La cérémonie d’ouverture et les deux premiers panels ont clairement donné le ton de ce que va être ce grand rendez-vous de réforme attendu depuis des années déjà. La clarté des exposés, étayés par des données objectives et des indicateurs chiffrés sans langue de bois, la détermination et la bonne volonté qui animent officiels, organismes et institutions consultatifs et opérateurs du privé, ainsi que la grande qualité scientifique des échanges ont marqué la première partie de cette grand-messe de la fiscalité.

IDE et transferts des MRE en baisse à fin mars

Le premier trimestre de l'année 2019 se caractérise par une baisse notable des flux de devises à destination du Maroc, comme en témoigne la baisse importante des IDE. Le flux des Investissements directs étrangers (IDE) au Maroc s'est établi à 3,138 milliard de dirhams (MMDH) à fin mars 2019 contre 5,946 MMDH, en baisse de 47,2% (2,808 MMDH) par rapport à la même période un an auparavant, fait savoir l'Office des changes.

Un Système Fiscal, pilier pour le Nouveau Modèle de Développement

La volonté de promouvoir le système fiscal, de par l’Histoire du pays, a été jalonnée par une succession de réformes, inscrites dans unevolonté de modernisation et de simplification, pour lui assurer clarté et efficience. Néanmoins,et malgré les avancées et résultats significatifs et indéniables, le système fiscal marocain continue deprésenter des limites et des difficultésliées aussi bien au manque de cohérence et de visibilité, qu’à la faiblesse de ses résultats, comparés au vrai potentiel fiscal du pays.

Fiscalité : les grandes ruptures que préconise le CESE

« Cette réforme doit s’inscrire dans le cadre d’un pacte de confiance. Ce pacte doit consacrer le principe de l’équité. Un pacte de confiance valorisant l’impôt pour garantir la souveraineté et renforcer la solidarité. Un pacte de confiance entre le contribuable et l’administration », a appelé Ahmed Reda Chami.
Conjoncture du 06 au 10 Mai 2019

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