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Conjoncture du 17 au 21 Décembre 2018



Veille Maraacid


L'Etat au chevet des producteurs d'oranges

Akhannouch, qui informait le Conseil de gouvernement sur "les nouveautés de la commercialisation de la production nationale des oranges", a mis en exergue l'augmentation de la production à la lumière des mesures prises dans le cadre du plan Maroc Vert ayant permis d'atteindre des niveaux importants, a indiqué le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, dans un communiqué lu lors d'un point de presse à l'issue de la réunion hebdomadaire du Conseil.

Maroc-Espagne: Les énergies renouvelables, une piste de co-innovation

Les énergies renouvelables constituent un créneau de nature à renforcer la co-innovation entre le Maroc et l’Espagne, a souligné, jeudi à Rabat, la secrétaire d’État chargée du développement durable, Nezha El Ouafi.Mme El Ouafi a, à cet égard, rappelé que l’objectif assigné à ce programme est la promotion des emplois verts par le soutien aux innovations en technologies propres et à l’entrepreneuriat vert à travers l’organisation de compétitions annuelles qui visent à récompenser les projets les plus innovants et la mise en place d’un programme d’accélération et d’accompagnement personnalisé des projets.Ce forum qui réunit des chercheurs, experts et industriels des deux pays dans les domaines des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et des technologies vertes s’inscrit dans le cadre « Inno-Espamaroc Energy » pour le financement conjoint de projets de recherche appliquée entre le Maroc et l’Espagne au titre de l’année 2018.

«La prochaine crise financière viendra de la politique»

D’où viendra la prochaine crise financière? Les enseignements de celle de 2007 permettront-ils d’éviter un nouveau krach? Dans une étude publiée mercredi, les chercheurs du Swiss Finance Institute réfléchissent à la façon de gérer les risques futurs. L’un d’eux, le professeur de finance à l’Université de Genève Jean-Charles Rochet estime que la crise des institutions politiques risque de contaminer le monde financier. L’auteur de Why Are There so Many Banking Crises? un livre qui met en lumière les causes des crises financières, récentes et plus anciennes, répond aux questions du Temps.

Finances publiques : Aggravation du déficit budgétaire à fin novembre

Le déficit budgétaire continue de s’aggraver. Le besoin est évalué à 36,7 milliards de dirhams à fin novembre contre 31 milliards de dirhams enregistré à la même période de l’année précédente. C’est ce qui ressort des statistiques des finances publiques révélées par la Trésorerie générale du Royaume. Le déficit relevé au onzième mois de l’année tient compte d’un solde négatif de 17,7 milliards de dirhams dégagé par les Comptes spéciaux du Trésor (CST) et les services de l’État gérés de manière autonome (Segma).

Commerce : Hausse des exportations marocaines vers l’Espagne et l’UE

Les exportations marocaines vers l’Espagne ont augmenté de 6,2% pendant les neuf premiers mois de 2018 par rapport à la même période de l’année dernière, pour se situer à 4.985 millions d’euros, selon des données publiées par l’Office statistique de l’Union européenne (Eurostat). Les importations marocaines de biens d’origine espagnole ont, quant à elles, augmenté de 2,8 % au cours de la même période, atteignant un montant global de 6.142 millions d’euros, précise la même source, notant que l’Espagne importe principalement du « matériel électrique et des vêtements « , tandis que le Maroc achète à son voisin des « carburants et des lubrifiants et des composants mécaniques »

HCP: Les secteurs de l’industrie et de la construction stagnent à fin 2018

Lorsqu’il s’agit du secteur de l’industrie, la note fait état d’une « légère » hausse (autrement dit un ralentissement) de la production de l’industrie manufacturière résultant d’une augmentation de la production dans les branches de l’«Industrie chimique», de la «Fabrication de boissons» et de la «Métallurgie» mais freinée par une baisse de la production dans les branches de la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques». Le taux d’emploi aurait dans cette conjoncture connu une stabilité pour le 3e trimestre de 2018.

La Tunisie, leader en termes d’exportation de dattes

Le président de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), Samir Majoul a déclaré qu’avec 130 000 tonnes exportées, d’une valeur de 700 millions de dinars, la Tunisie est le leader mondial des exportateurs de dattes. Cette hausse est la résultante directe de l’augmentation des dattes exportées vers des dizaines de pays entre nos clients traditionnels comme le Maroc et l’Espagne, mais aussi vers d’autres marchés plus récents dont le Sultanat d’Oman, la Slovénie, l’Inde ou le Mali.

Une radioscopie des dynamiques économiques

Etablir un état des lieux des enjeux majeurs de l’économie nationale. C’est l’un des principaux objectifs du rapport sur «les questions d’économie marocaine 2015-2016», présenté lundi dernier à Rabat. Elaboré par l’Association marocaine de sciences économiques (AMSE), ce document vise à «décrypter les politiques publiques, les tendances macroéconomiques, les dynamiques à l’œuvre et les dysfonctionnements institutionnels».

Produits pétroliers: Pourquoi Daoudi veut plafonner les prix

Nous ne pouvions rien faire dans la mesure où le plafonnement est conditionné par l’avis du Conseil de la concurrence. Aujourd’hui, il n’y a plus d’excuses, le Conseil est en place et le gouvernement doit sévir. J’ai usé de tous mes moyens pour initier un processus et arriver à un accord pour limiter ces marges et les rendre pérennes. Maintenant, je vais plafonner mais, j’engage juste après un dialogue avec les compagnies. Si nous arrivons à un compromis, je l’applique tout de suite et je n’aurai pas besoin de terminer la période de 6 mois. Dans ce cas, tout le monde doit se soumettre au consensus.

Les bons comptes du plan Maroc Vert

Comme convenu avec les professionnels en marge du dernier Siam, Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche, a présenté le bilan des programmes transverses du plan Maroc Vert, hier mardi 18 décembre. Ainsi, le PIB agricole atteint 125 milliards de DH, en hausse de 60% par rapport à 2008, année du lancement du plan, avec un taux de croissance moyen de 5,25%. En 2019, le PIB agricole devrait atteindre 128 milliards de DH.

Marché automobile. Un record en perspective

À moins d’un mois de la fin de 2018, l’automobile donne de forts signaux d'une grande performance courant cet exercice, à la faveur des efforts déployés par les concessionnaires pour commercialiser leurs véhicules, notamment en matière de marketing, design et innovation. Après un début d’année timide, le marché marocain de l’automobile a réussi, au fil des mois, à redresser la barre, laissant entrevoir une belle prouesse pour 2018, avec un nouveau record de ventes en perspective pour la quatrième année consécutive. En dépit de certains mois de doute où les immatriculations se sont orientées à la baisse, les différentes marques ont continué leurs actions commerciales tout au long de l’année et ont attendu l’événement phare de l’année, à savoir le 11e Salon Auto Expo (10-22 avril), pour booster leurs ventes.

LPL : Le FMI approuve un accord de 2,97 milliards de dollars en faveur du Maroc

En dépit d’une forte hausse des prix mondiaux du pétrole, les autorités ont réduit la vulnérabilité budgétaire et extérieure du pays, et ont mis en œuvre des réformes importantes avec l’appui de trois accords LPL sur deux ans consécutifs, indique le FMI, précisant que le nouvel accord LPL offrira une assurance contre les chocs extérieurs et appuiera les efforts déployés par les autorités pour continuer de renforcer la résilience de l’économie et promouvoir une croissance plus élevée et plus inclusive.

Immobilier locatif : de nouvelles incitations voient le jour

Le gouvernement lance une série de mesures fiscales pour inciter les propriétaires à mettre leur logement en location. Le locatif est un segment indispensable pour faire face au déficit en logements, mais il demeure impacté par plusieurs éléments, notamment des prix élevés et des offres incompatibles avec la demande.

Aggravation du déficit commercial de 7,7% à fin novembre 2018

Le déficit commercial s'est aggravé de 7,7% à environ 186,36 milliards de dirhams (MMDH) à fin novembre 2018 contre 173,08 MMDH durant la même période un an auparavant, selon l'Office des changes. Cette aggravation s'explique par une nette augmentation des importations de 35,36 MMDH, plus importante que celle des exportations (+22,08 MMDH), fait savoir l'Office des changes dans une note sur ses indicateurs préliminaires des échanges extérieurs du mois de novembre 2018, ajoutant que le taux de couverture s'est établi à 57,2% entre janvier et novembre 2018 au lieu de 56,7% un an auparavant.

Climat des affaires : L’activation des trois instances parviendra-t-elle à booster l’économie ?

Bien que le Maroc ait mis l’amélioration du climat des affaires et le renforcement de l’attractivité de l’économie au cœur de ses priorités, force est de constater que nous sommes encore loin du compte. Plusieurs obstacles continuent de freiner l’aboutissement du défi lancé par le pays à savoir intégrer le cercle fermé des pays émergents. L’inefficacité des réformes engagées dans les différents domaines est due, en grande partie, à la défaillance de certaines instances censées garantir leur mise en œuvre efficace..

Pourquoi le Maroc lâche ses agrumes

Les agrumes, la colonne vertébrale des cultures d’exportation, sont en perte de vitesse. En l’espace de 5 années, la production a pratiquement doublé, à 2,2 millions de tonnes, mais l’export n’a pas suivi. Bien au contraire, la part exportable par rapport au volume produit est en forte régression : 25% contre 40%, il y a cinq ans. «C’est l’effet d’un marché local plus rémunérateur et moins exigeant en termes de qualité», observe un opérateur. Mais cela n’explique pas tout. Car la structure des exportations agrumicoles a beaucoup changé sur les dix dernières années, avec à la clé une forte concentration sur les petits fruits au détriment des oranges. Ce qui s’est traduit par la perte de parts de marché, notamment au niveau de l’Union européenne.

Agriculture/Irrigation: le Maroc, un bon élève en Afrique

L’expertise du Maroc en matière d’irrigation vient, une nouvelle fois, d’être reconnue à l’échelle du continent africain. En effet, le royaume fait partie des six pays africains ayant réussi à améliorer leurs récoltes en augmentant les niveaux d’irrigation, nous apprend Aujourd’hui Le Maroc dans son édition de ce mardi 18 décembre, ajoutant que ce classement émane du dernier rapport, récemment rendu public, du Panel Malabo Montpellier.

Industrie du futur : enjeux et perspectives pour la filière aéronautique

L’étude « Industrie du Futur : enjeux et perspectives pour la filière aéronautique » a été réalisée par le Boston Consulting Group à la demande de la Direction générale des entreprises, du ministère des Armées et du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales. Elle examine comment les solutions de type « Industrie du Futur », fondées notamment sur une digitalisation des procédés et une utilisation massive des données, peuvent aider les entreprises de la filière aéronautique à répondre à ces défis.

Indice de la production hors raffinage du 3ème trimestre 2018 par rapport au même trimestre 2017

L’indice de la production des industries manufacturières hors raffinage de pétrole a enregistré une hausse de 3,0% au cours du troisième trimestre 2018 par rapport à la même période de 2017. Cette évolution résulte notamment de la hausse de l’indice de la production des «industries chimiques» de 9,8%, de celui des «articles d’habillement et fourrures» de 11,9%, de celui de l’«industrie automobile» de 6,9%, de celui des « machines et appareils électriques » de 10,9%, de celui des «produits métalliques» de 7,0%, de celui du « papier et carton » de 4,8% et de celui des « produits de l’édition et d’imprimerie » de 4,5%.Par ailleurs, l’indice de la production minière a enregistré une hausse de 2,9%, résultant de la hausse de l’indice de la production des « produits divers des industries extractives » de 3,0% et de celui des « minerais métalliques » de 1,5%.

Le Maroc toujours premier bénéficiaire des financements de l’AFD

Illustration des fortes relations politiques, économiques et humaines entre le Maroc et la France, l’Agence française de développement (AFD) vient de révéler que le Maroc a gardé son rang de premier bénéficiaire de ses financements dans le continent noir, avec 2,9 milliards d’euros à la date du 15 octobre 2018. Les chiffres ont été annoncés, jeudi à Paris, par Pascal Collange, le responsable Pays Maroc, Département Afrique au sein de l’AFD, précisant que rien qu’en 2017, l’Agence française a financé des projets au Maroc pour un montant de 431 millions d’euros.

La grande oubliette de Doing Business : La qualité de la vie, un déterminant du climat des affaires

A certains égards, la défectuosité du service le plus simple et le plus rudimentaire qu'il soit pourrait porter préjudice à la notoriété du climat des l’investissement. A l’appui de nos dires, Il y a plus de trois semaine, La princesse Astrid de Belgique a rendu visite à notre pays, accompagnée, lors cette mission, par plusieurs ministres fédéraux et régionaux et d'une forte délégation de 480 personnes en majorité des hommes d'affaires belges, quelque 400 représentant 251 sociétés représentant différents secteurs économiques, notamment de la Chimie, des énergies renouvelables, des transports et la logistique, et de la santé.

Le déficit commercial poursuit son aggravation à fin 2018

Le déficit commercial s'est aggravé de 7,7% à environ 186,36 milliards de dirhams (MMDH) à fin novembre 2018 contre 173,08 MMDH durant la même période un an auparavant, selon l'Office des changes. Cette aggravation s'explique par une nette augmentation des importations de 35,36 MMDH, plus importante que celle des exportations (+22,08 MMDH), fait savoir l'Office des changes dans une note sur ses indicateurs préliminaires des échanges extérieurs du mois de novembre 2018, ajoutant que le taux de couverture s'est établi à 57,2% entre janvier et novembre 2018 au lieu de 56,7% un an auparavant.

Tunisie : le déficit commercial se creuse sur les onze premiers mois de 2018, à 5,83 milliards $

Le déficit de la balance commerciale de la Tunisie s’est creusé de 20,7% sur un an, durant les onze premiers mois de 2018, pour s’établir à 17,32 milliards de dinars (5,83 milliards de dollars), contre 14,36 milliards de dinars durant la même période de 2017, selon des données publiées, le 11 décembre, par l’Institut national de la statistique (INS). Les importations ont, quant à elles, culminé à 54,45 milliards de dinars sur les onze premiers mois de l’année en cours, contre 45,33 milliards durant la même période de l’année écoulée, ce qui représente une augmentation de 20,1%.Le taux de couverture des importations par les exportations a ainsi enregistré, durant la période sous revue, une légère baisse de 0,1 point par rapport aux onze premiers mois de l’année 2017, pour se situer à 68,2%.

Les CVR sont indispensables pour une meilleure intégration régionale en Afrique du Nord

La Commission économique pour l’Afrique (CEA), une des cinq commissions régionales du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC), a procédé jeudi 13 décembre au lancement du « Rapport sur le potentiel des chaînes de valeur régionales : cartographie sectorielle ». L’objectif général de ce rapport est de « proposer, sur la base d'une cartographie sectorielle de chaînes de valeur régionales existantes et une analyse de leur potentiel de développement, les opportunités et les défis pour la construction de chaînes de valeur régionales spécifiques », a indiqué la directrice du Bureau sous-régional en Afrique du Nord de la CEA, Lilia Hachem Naas.

Rkia Derham met en exergue l'expérience marocaine dans les domaines de l'économie numérique et de l'inclusion financière

Le premier Forum arabe sur les technologies financières modernes, organisé par le Fonds monétaire arabe (FMA), s’est tenu à Abu Dhabi, avec la participation du Maroc. Le Royaume est représenté à cette conférence par la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l'Economie numérique, chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham qui a mis en exergue, dans un discours prononcé mercredi soir, la "Stratégie Maroc numérique 2020" et l'importance de la promotion de l'inclusion financière pour soutenir le développement socioéconomique au Royaume.

Fès-Meknès. La filière céréalière tire son épingle du jeu

Malgré le développement de la filière céréalière, chaque année, le Maroc importe des céréales à hauteur de 6 MMDH. Une cause de découragement pour les professionnels de la filière. C'est ce qui a été une fois de plus affirmé par les professionnels lors d'une rencontre qui a été organisée, mercredi, par le conseil de la région de Fès-Meknès. En effet, la plupart des céréaliculteurs se plaignent de l’ouverture du marché face aux blés étrangers, surtout dans des périodes où la marché local est bien approvisionné par le produit national. Ce qui provoque un déséquilibre entre l’offre et la demande puis une baisse des prix.

La PME se meurt des délais de paiement, les banques peinent à la secourir !

Inforisk, spécialiste du renseignement commercial sur les sociétés marocaines, a récemment publié un rapport sur les délais de paiement au titre de l’année 2017, qui démontre que ceux-ci restent très élevés, avec 3,4 mois pour les Grandes Entreprises (GE), 5,1 mois pour les PME et 9,9 mois pour les TPE.D’autre part, une enquête menée par la société Inforisk en 2016 sur les comptes de 30.400 entreprises, pour évaluer l’ampleur des retards de paiement, fait le triste constat que plus de la moitié des sociétés qui se conforment au délai légal des paiements sont des TPE. Les grandes entreprises seraient elles moins concernée du fait de l’utilisation d’un rapport de force entre clients et fournisseurs qui relèvent de la taille des uns et des autres !31% des sociétés accusent entre 30 et 90 jours de retard par rapport aux délais légaux.

Le goût de la clémentine n’est pas le même pour tout le monde

Avec une bonne pluviométrie qui a touché toutes les régions du Royaume, l’année agricole s’annonce bonne et les prémices sont d’ores et déjà là, notamment pour ce qui est de la clémentine et des olives. Mais cela ne semble pas faire le bonheur de tout le monde. L’information venant de Berkane serait à ce propos plus qu’étonnante. Plusieurs agriculteurs ont préféré la destruction de centaines de tonnes de clémentine que de les mettre en vente. Selon des sources bien informées, cette destruction d’une partie de leur récolte en clémentine est due essentiellement à la forte baisse des prix de ce produit sur le marché qui ont causé d’énormes pertes aux agriculteurs.

Entreprises publiques : 3.500 marchés pour 13 milliards DH en 2017

Education, santé, infrastructures et agriculture… les investissements réalisés dans ces quatre secteurs ont contribué à l’accroissement du montant total des marchés passés en 2017. On relève dans ce sens un total de 9.816 marchés représentant un montant global de 16,17 milliards de dirhams, soit une hausse respective de 18,4% en nombre et 0,7% en valeur. Toutefois les contrôleurs d’État n’ont visé sur ladite période que 3.429 marchés d’une valeur de 13,27 milliards de dirhams.

L’accord quadruple n’a pas insufflé une dynamique à la complémentarité économique | Aujourd'hui le Maroc

La 5ème réunion de la commission douanière mixte des pays membres de l’accord d’Agadir, initiée jeudi à Casablanca, met l’accent sur la réalisation des objectifs de cette convention. Les pays membres étant le Maroc, la Jordanie, la Tunisie et l’Egypte. «Pour consolider les acquis de cet accord, il faut se pencher sur le diagnostic et traitement de toutes les entraves à nos échanges commerciaux tout en veillant à identifier les avantages et privilèges de cette convention», précise Nabyl Lakhdar, DG de l’Administration des douanes et impôts indirects, en ouverture de l’événement qui se poursuit jusqu’à ce vendredi. Pour lui, la complémentarité entre les pays membres n’aura pas lieu sans accorder la priorité aux échanges commerciaux des produits industrialisés dans ces pays membres.

Agriculture, urbanisme, énergie et mines… Ce qui va changer avec les satellites Mohammed VI A et B

Le duo des satellites de télédétection spatiale Mohammed VI A et B promet d’être une aubaine pour l’économie du Royaume. Mis en orbite le 20 novembre 2018 à bord du lanceur léger Vega à Kourou en Guyane, le satellite Mohammed VI-B permettra d’assurer une couverture plus rapide des zones d’intérêt. Pas moins de 500 images en haute résolution seront décortiquées quotidiennement par les techniciens et les ingénieurs marocains. En plus des applications sécuritaires ayant trait à la défense et à la gestion des risques naturels, d’autres applications du programme spatial – décidé par le Souverain en 2013 et réalisé conjointement par le consortium Thales Alenia Space et Airbus – auront un impact positif sur des secteurs clés de l’économie nationale.

Oléiculture : De nouvelles mesures pour valoriser le secteur !

Alors que l’activité oléicole entame un nouveau record de production, 2 millions de tonnes pour cette campagne 2018/2019 et crée plus de 50 millions de travail, le secteur a plus que jamais besoin de mesures d’accompagnement et de valorisation. Une campagne record que celle qu’enregistre l’activité avec 2 millions de tonnes d’olives pour cette campagne 2018/2019, soit une hausse de 41,6% par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Ce qui garantit plus de 50 millions de travail.

«Il faut taxer les logements vacants» (Entretien)

Mohamed Lahlou, président de l’Association marocaine des agences immobilières (AMAI), qui dispose d’une longue expérience dans le secteur, décline ses pistes pour relancer l’activité. Mohamed Lahlou : 2018 fut une année très difficile pour le secteur immobilier. F.N.H. : Où en est la loi sur la réglementation de l’activité des agences immobilières ?

Investissement en Afrique : Boulakadal promet plus de souplesse

Il faut savoir que l’Office des changes est un acteur central de l’ouverture de la sphère économique et financière marocaine sur son environnement local ou régional. Nous avons accompagné les opérateurs nationaux, et continuons à le faire, en adoptant une politique d’ouverture graduelle, mais irréversible. Aujourd’hui, les investissements qui sont autorisés au niveau africain sont à hauteur de 100 millions de dirhams. Au-delà de ce montant, somme toute conséquent pour les PME, l’Office des changes est toujours disposé à soutenir les acteurs économiques de grande taille pour investir sur le continent. Donc, notre démarche est une politique d’écoute. D’où ma présence au quatrième meeting sur l’information financière.

Le Maroc connaît depuis plus d'une décennie une croissance soutenue et pauvre en emplois décents

Le Maroc connaît, depuis plus d'une décennie, une croissance soutenue, mais ‘’pauvre en emplois décents’’, estime le Centre marocain de conjoncture (CMC) dans le dernier numéro (NO-308) de sa publication mensuelle ''Maroc Conjoncture’’. ‘’Chômage élevé des jeunes, sous-emploi et chômage de longue durée, faible taux d'activité des femmes, travail précaire, vulnérable et peu productif, inactivité forcée des jeunes diplômés, emploi informel ... sont les principales caractéristiques de l'emploi au Maroc’’, ajoute la publication dans un chapitre dans lequel elle s’interroge : ‘’Stratégie d'emploi au Maroc : Une succession de plans pour quels résultats ?’’

L’expansion des superficies irriguées stimulerait la productivité agricole en Afrique

Il existe un vaste potentiel d’intensification de l’irrigation, en particulier en Afrique subsaharienne, qui permettrait d’accroître les rendements des cultures et d’améliorer la résistance aux chocs climatiques, indique un récent rapport du Panel Malabo Montpellier présenté à Rabat. 
Conjoncture du 17 au 21 Décembre 2018

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