Conjoncture du 17 au 21 septembre 2018



Veille Maraacid


Industrie pharmaceutique : Premiers jalons pour le développement de la recherche biomédicale

Actuellement, la recherche biomédicale au Maroc est très timide et en est encore à ses balbutiements. Son impact positif sur le patient et l’économie marocaine n’est plus à démontrer. C’est pourquoi le Maroc ambitionne de développer les activités de R&D pharmaceutiques, tant pour les essais cliniques que pour l'outsourcing des services de R&D pharmaceutiques. Cette aspiration est d’autant plus nécessaire que d’autres écosystèmes identifiés comme porteurs d’opportunités (notamment les biosimilaires et l’export de médicaments génériques) ne pourront se concrétiser qu’avec le développement de la recherche clinique.

Sukuk souverain : Encore quelques semaines à patienter

L'arrivée des Sukuks sur le marché devrait apaiser les tensions sur les liquidités des banques participatives.Une bouffée d’oxygène pour les banques participativesL'arrivée des Sukuks sur le marché devrait ainsi apaiser les tensions sur les liquidités des banques participatives en drainant de l'épargne longue vers le secteur et en lui permettant de développer un circuit bancaire participatif hermétique et de se constituer un matelas d’actifs de grande qualité.

Baisse de 0,1% de l’indice des prix à la consommation du mois d’août 2018 par rapport au mois précédent

L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois d’août 2018, une baisse de 0,1% par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la baisse de 0,2% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. Les baisses des produits alimentaires observées entre juillet et août 2018 concernent principalement les «légumes» avec 4,8%, le « lait, fromage et œufs » avec 0,5%, le « café, thé et cacao » et les « huiles et graisses » avec 0,1%. En revanche, les prix ont augmenté de 1,5% pour les « fruits », de 1,2% pour les « viandes » et de 1,1% pour les « poissons et fruits de mer ».

Marché Halal : Un gisement pour les industriels marocains

Marché à forte potentialité, l’industrie des produits halal se veut une aubaine pour les entreprises exportatrices. Certes, la commercialisation des produits halal émerge de plus en plus aussi bien sur le marché local qu’international, mais un long chemin reste à parcourir pour promouvoir davantage ce nouveau segment de consommation au Maroc. Le potentiel du marché Halal, estimé à un chiffre d’affaires de 2.000 milliards de dollars et 1,7 milliard de consommateurs, a été discuté par les professionnels marocains lors de la dernière rencontre tenue, mardi 18 septembre à Casablanca, par la Chambre de commerce britannique. Une occasion pour mettre en lumière les perspectives offertes par ce marché prometteur.

Sonasid : Un chiffre d’affaires de près de 2 MMDH au premier semestre

La Société nationale de sidérurgie (Sonasid) rejoint le clan des entreprises cotées ayant réussi leur semestre. Sur les six premiers mois de l’année, l’entreprise voit ses indicateurs financiers en hausse et ce en dépit d’un contexte conjoncturel difficile. Sonasid qui vient d’accueillir Said El Hadi en tant que président du conseil d’administration après la démission d’Amine Abarak, atteste avoir réalisé à fin juin 2018 un résultat net part du groupe en hausse de deux chiffres.

De l’incertitude à l’inquiétude économique

Étant donné la vigueur de l’économie américaine, il est fort probable que la Réserve fédérale hausse ses taux directeurs en septembre et en décembre, en ligne avec la prévision médiane de ses membres, portant ainsi les resserrements monétaires au nombre de quatre pour cette année. Malgré les déclarations récentes du président américain qui préférerait que l’institution interrompe ses hausses de taux, si la Fed est vraiment indépendante, elle ne devrait pas tenir compte de ses remarques et piloter sa politique monétaire en fonction de la situation économique.

La Macroéconomie des PSEM: état des lieux et relations avec l’Union Européenne

Pour des raisons géopolitiques et économiques, les Pays du Sud et de l’Est Méditerranéen (PSEM), qui constituent ce que l’on appelle aussi la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA)1Dans le but de favoriser un processus d’intégration économique, comme ont pu le faire par ailleurs la plupart des pays industrialisés et en voie de développement, les PSEM ont participé à de multiples accords d’intégration régionale., tiennent une place particulière dans l’économie mondiale. Les évènements récents n’ont laissé personne indifférent, et plus que partout ailleurs les dirigeants des grandes puissances ont multiplié les pressions, à la fois sur les dirigeants arabes et sur leurs opposants, afin de trouver des solutions adaptées à chaque cas d’espèce.
Selon la dernière note de conjoncture de la Banque centrale de Tunisie (BCT) intitulée "Évolution économiques et monétaires et perspectives à moyen termes", les récentes prévisions à moyen terme laissent entrevoir une poursuite des pressions haussières sur les prix à la consommation jusqu’à la fin de 2018, avant de connaître une légère décélération en 2019. En moyenne annuelle, le taux d’inflation devrait se situer au voisinage de 7,8% en 2018 avant de revenir à 7% en 2019.

Maroc : Renault écrase la concurrence !

Le site d’information marocain Telquel.ma a annoncé que Renault Maroc, avec ses deux marques Renault et Dacia, s’est positionné en tant que leader sur le marché automobile avec 43,6% de parts de marché. Six modèles du constructeur français figurent dans le top 10 des meilleures ventes depuis le début de l’année. Au cours des huit premiers mois de l’année, la marque au losange a atteint 43,6 % de parts de marché, soit 1,7 point de plus par rapport à 2017.

Securing the 21st Century : Mapping India-Africa Engagement

The Observer Research Foundation (ORF), New Delhi, and the OCP Policy Center, Rabat, present their first, joint publication on bolstering India-Africa engagement to secure a common future. This collaborative effort between the two institutions offers views and policy suggestions from both Indian and African contributors. The goal of our collaboration is to institute a platform of debate and knowledge exchange about matters of interest to both India and African countries. This volume, titled Securing the 21st Century: Mapping India-Africa Engagement, charts India-Africa ties and defines the scope going forward. It presents three pillars that will sustain and support the architecture for a deepening Indian-African engagement.

The Pivotal Importance of Good Access to Markets for Farmers

In developing countries, measures to expand market access should help smallholders reduce poverty and increase their food security by promoting their productivity growth in a climate-resilient agriculture under climate change, while delivering quality products to consumers at affordable prices. As long as low productivity prevails among smallholders, agricultural stagnation will persist. The smallholders at the production stage have a ready market in the downstream activities.

L’Inde et le Maghreb

Dans cette minutieuse analyse des relations entre les pays du Maghreb et l’Inde, pays/continent, désormais lassé au rang de 7ème puissance économique mondiale, appel est fait à plusieurs disciplines. De la politique, aux relations internationales, à l’économie et au commerce, en passant par l’histoire. Le résultat est ce tableau de bord/panorama qui renseigne à la fois sur les atouts dont dispose chacun des partenaires mais, aussi, sur les désaccords qui se font jour entre ces derniers, et qui, parfois, constituent des facteurs de blocage.

African Development Bank says staple crops processing zones will transform African agriculture

Africa pays more than a crippling $35 billion annually to import food, a figure that could rise to $110 billion by 2025, if current trade trends continue. To reverse this, the African Development Bank intends to create staple crops processing zones (SCPZs) to help African countries become net exporters of processed foods and commodities.

Baisse de 7% points de base du taux moyen pondéré à 5,36%

Entre le premier trimestre 2018 et le deuxième trimestre, le taux débiteur a augmenté dans le secteur immobilier et dans celui des crédits à la consommation aux particuliers. De même, dans le secteur institutionnel, la rubrique «Particuliers» a affiché une hausse, passant ainsi de 5,78% à 6,09% à fin juillet de l’année en cours. Ainsi, pour les comptes débiteurs et crédits de trésorerie, les résultats de l’enquête de Bank Al-Maghrib sur les taux débiteurs montrent une baisse de 14 pbs à 5,20% des taux débiteurs pour les facilités de trésorerie et moins de 27 pbs à 5,29% pour les prêts à l’équipement.

Afrique: coup d’accélérateur pour l’industrie automobile chinoise

Les organisateurs du sommet international sur la coopération sino-africaine, qui a eu lieu récemment à Beijing, ont accordé un intérêt particulier à l’industrie automobile. Il faut avouer que ce secteur a grandement favorisé le développement de la Chine et de l’Afrique, et que le marché africain, de plus en plus important, représente un nouvel eldorado pour les constructeurs automobiles chinois. Le volume global des voitures chinoises importées l’année dernière par le continent africain s’est élevé à 1,06 million d’unités, en hausse de 31%, dont plus de 60% ont été exportées vers les pays de «la Ceinture et de la Route».

Textile : Le droit d’importation appliqué au produit turc prolongé jusqu’en 2021

Bonne nouvelle pour le marché local du textile qui ne cesse de dénoncer le dumping du textile made in Turkey. La mesure de sauvegarde préférentielle sur les importations de certains produits textiles importés de Turquie, instaurée 9 janvier 2018, sera prorogée jusqu’au 31 décembre 2021. En effet, un arrêté conjoint du ministre de l’Economie et des Finances et du ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie numérique vient d’être publié dans ce sens.

Maroc et Inde renforcent leur coopération dans les domaines touristique et d’investissement

Un mémorandum d’entente a été signé récemment à New Delhi, entre la Société marocaine de l’ingénierie touristique (SMIT) et la Société indienne de développement du tourisme (ITDC) pour promouvoir l’investissement touristique entre le Maroc et l’Inde et favoriser l’échange d’expertise bilatéral. Cet accord a été signé par le directeur général de la SMIT, Imad Barrakad, et la présidente de l’ITDC, Kaur Ravneet, en présence de Mohamed Sajid, ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l’Artisanat et de l’Economie sociale, et de Kannanthanam Alphons, ministre indien du Tourisme. Le mémorandum vise à établir un partenariat stratégique répondant aux besoins des deux parties, en vertu duquel les signataires échangeront leurs expertises et savoir-faire dans les domaines de l’ingénierie et de l’investissement touristique, a déclaré à la MAP M. Barrakad.

La stabilité politique et la pertinence des réformes, points forts du Maroc

La stabilité politique, la pertinence des réformes et la croissance économique soutenue demeurent les principaux atouts qui font du Maroc une des principales destinations des investissements en Afrique, estime Mme Celeste Fauconnier, analyste chargée de l’Afrique au sein de la banque sud-africaine, Rand Merchant Bank (RMB). Le Maroc a continué de réaliser une forte croissance de son Produit intérieur brut (PIB) en particulier à la faveur de la stabilité politique dont il jouit, a dit Mme Fauconnier dont la banque vient de publier son classement des destinations les plus attrayantes pour les investissements en Afrique pour l’année 2019. Dans ce rapport, rapporte la MAP, le Maroc continue de figurer parmi les trois premières destinations des investissements avec l’Egypte (première) et l’Afrique du Sud (deuxième).

Baisse des remboursements TVA

La situation du déficit budgétaire s’améliore à fin août: 23,7 milliards de DH contre 25 milliards à la même période l’année dernière. A lui seul cet indicateur ne rend pas compte de la situation réelle des finances publiques. Car, comme le signale la Cour des comptes de manière récurrente, la méthode de calcul du déficit ne tient pas compte, entre autres, de certaines dettes de l’Etat biaisant ainsi la situation réelle.

Résultats semestriels de Maroc Telecom: Les revenus Mobile au Maroc boostés par la Data

Bon premier semestre pour Maroc Telecom. La majorité des indicateurs financiers s'est inscrite en hausse, avec comme fait majeur la poursuite de la croissance du chiffre d’affaires mobile au Maroc (+3,5%), entamée depuis le premier trimestre de cette année. Les revenus Mobile ont été tirés principalement par l’internet mobile, dont le revenu a bondi de 46% au premier semestre 2018 sur un an. Résultat : le chiffre d’affaires mobile global a atteint 6,78 milliards de dirhams au Maroc. L’ARPU (revenu mensuel moyen par unité) mixte s’établit à 57,5 dirhams, en amélioration de 0,9% par rapport à la même période de 2017, grâce à la hausse de l’usage Data, précise Maroc Telecom.

Maroc Telecom premier opérateur télécoms national à être certifié ISO 9001:2015

Certifié ISO 9001 version 2008 pour l’ensemble de ses activités depuis 2004, Maroc Telecom a réussi son audit de suivi n°1, mené sur ses sites au Maroc par l’organisme de certification indépendant «Bureau Veritas», lui permettant ainsi d’obtenir la certification ISO 9001 version 2015 pour son système de management de la qualité, a précisé Maroc Telecom dans un communiqué. La norme internationale ISO 9001 repose sur un certain nombre de principes de management de la qualité, notamment une forte orientation client, la motivation et l’engagement de la direction, l’approche processus et l’amélioration continue, explique le communiqué.

Finances publiques : Le déficit budgétaire culmine à 23,7 milliards de dirhams

Le gouffre budgétaire s’élargit davantage. Le déficit continue de se creuser d’un mois à l’autre. Alors qu’il se situait autour de 20,2 milliards de dirhams en juillet, l’écart a grimpé à 23,7 milliards de dirhams à fin août. Un creusement qui découle d’un solde négatif de 15,8 milliards de dirhams dégagé par les Comptes spéciaux du Trésor et les services de l’Etat gérés de manière autonome (SEGMA). Toutefois, ce déficit est en atténuation par rapport à ce qui a été enregistré une année auparavant.

Top 10 des pays africains les plus attractifs pour les investisseurs en 2019, selon Rand Merchant Bank

L’Egypte est le pays africain le plus attractif pour les investisseurs en Afrique, selon la 8è édition du rapport «Où investir en Afrique 2019» (Where to invest in Africa 2019) publié le 12 septembre par la banque d’affaires Rand Merchant Bank (RMB). Le classement que la banque sud-africaine publie chaque année se base sur certains indicateurs, dont le PIB réel à parité de pouvoir d’achat, les prévisions de croissance et l’environnement des affaires.

Maroc-UE

Deux accords visant à renforcer les programmes «Compétitivité et croissance verte» et «d’appui à la réforme de la protection sociale au Maroc» ont été signés, vendredi 14 septembre 2018 à Rabat, entre le Maroc et l’Union Européenne (UE).Ces accords ont été paraphés par le ministre de l’Economie et des finances, Mohamed Benchaâboun, et le Commissaire européen à la politique européenne de voisinage et aux négociations d’élargissement, Johannes Hahn, en visite au Maroc.« Le développement des start-up et de l’innovation est l’un des maillons essentiels à la prospérité d’une économie », a souligné, à cette occasion, Hahn, ajoutant qu’en mobilisant plus de 231 MDH sur l’appui à la nouvelle stratégie nationale d’Inclusion Financière et en particulier au programme Innov’Invest mis en œuvre par la Caisse Centrale de Garantie (CCG), l’UE souhaite contribuer au développement d’un secteur privé marocain compétitif, productif et créateur d’emplois décents.

Obligations Sécurisées : Un bol d’oxygène pour le financement du logement Un panier de couverture de qualité

Le projet de loi relatif aux obligations sécurisées, (OS ), vient de voir le jour. Cette nouvelle législation vise à instaurer le cadre de mise en œuvre d’un nouvel instrument de l’épargne qui a fait ses preuves dans le monde grace à ses hautes qualités et sa sécurité. a pour objet de fixer le régime juridique applicable aux OS émises par les banques agréées conformément à la loi n°34-03 relative aux établissements de crédit et organismes assimilés. Les OS sont des obligations émises par des banques et dont les porteurs bénéficient notamment de la garantie constituée d’un panier de créances de prêts bancaires hypothécaires ou de créances de prêts aux collectivités territoriales, « panier de couverture ».

DG du FMA : Les pays arabes doivent dépasser 5% de croissance pour résorber le chômage

Les pays arabes sont appelés à réaliser un taux de croissance de plus de 5% pour réduire de manière substantielle le taux de chômage, qui avait grimpé à 15% en 2017, soit le double de la moyenne à l’échelle internationale (5,7%), a souligné, lundi, le directeur général, président du Conseil du Fonds monétaire arabe (FMA), Abderrahmane El-Hamidi. Il a également souligné l’importance de la transition vers les économies intelligentes, la promotion de la contribution de la femme au marché du travail, l’amélioration du niveau de productivité et le renforcement de la concurrence, outre la l’amélioration des conditions du capital humain à travers l’éducation et de la santé.

Les émissions d’OS soumises à l’autorisation de Bank Al-Maghrib

La présente loi a pour objet de régir l’émission d’obligations sécurisées, ci-après « OS », par les banques agréées conformément à la loi n°34-03 relative aux établissements de crédit et organismes assimilés. La demande d’autorisation doit être adressée à Bank AlMaghrib qui s’assure de la capacité du postulant à respecter les dispositions de la présente loi et des textes pris pour son application.

Produits Halal, un marché prometteur pour le Maroc

Le Maroc a pris plusieurs mesures visant à diversifier l’offre et améliorer la qualité des produits halal, procédant à la mise en place d’un contrat-programme pour accompagner les entreprises exportatrices et les normes de la certification halal. Le marché des produits halal au Maroc est «prometteur» et doit renforcer les potentialités des entreprises exportatrices en vue d’une présence accrue sur le marché internationale, ont souligné les participants à une conférence-débat, organisée mardi à Casablanca.

Quelle santé pour l’économie mondiale, 10 ans après la crise des subprimes ?

Il y a tout juste dix ans que la faillite de Lehman Brothers est intervenue ! Ce fut le 15 septembre 2008 que ce plus gros drame de la crise financière américaine se produisit, plusieurs décennies après la chute de Wall Street en 1929. Les médias occidentaux, presse écrite et télévisée, ont tenu à marquer ce malheureux anniversaire, qui a enclenché une crise financière sans égal au niveau mondial, puis se transformant en une crise économique durable.

Commerce agricole, changement climatique et sécurité alimentaire

Le commerce international des produits agricoles devrait contribuer de manière plus importante à nourrir la planète et à faire face aux crises alimentaires liées au climat, a indiqué l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans un nouveau rapport sur « La situation des marchés des produits agricoles ». « Les échanges internationaux ont les moyens de stabiliser les marchés et de permettre une redistribution des aliments, des régions excédentaires vers les régions déficitaires, aidant les pays à s’adapter à l’évolution du climat et contribuant à la sécurité alimentaire », a estimé le directeur général de la FAO, José Graziano da Silva.

Le déficit budgétaire raboté à 2 milliards de dinars, en 7 mois

Le déficit budgétaire s’est réduit considérablement, durant les sept premiers mois de l’année 2018, pour se situer à 2 milliards de dinars, contre 3,2 milliards de dinars, en juillet 2017, selon le document ” Résultats provisoires de l’exécution du Budget de l’Etat à fin juillet 2018 “, publié par le ministère de Finances. Rappelons, que le gouvernement tablait, dans le cadre de la Loi de finances 2018, sur un déficit de l’ordre de 5,2 milliards de dinars, pour toute l’année courante, ce qui représente 4,9% du PIB.

Habib El Malki appelle à booster la coopération entre le Maroc et la Bosnie-Herzégovine

Le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, a appelé, lundi à Rabat, à engager une réflexion autour de la mise en place des mécanismes communs adéquats à même de booster la coopération économique et commerciale entre le Maroc et la Bosnie-Herzégovine. Lors d'entretiens avec le président du Conseil des ministres de la Bosnie-Herzégovine, Denis Zvizdic, en visite de travail dans le Royaume, il a souligné que la coopération entre les deux pays, qui a évolué dans plusieurs domaines, notamment la justice et la culture, ainsi que la coordination entre les deux pays au niveau des organisations internationales, qui reflète la qualité et la solidité des relations bilatérales, sont de nature à hisser les échanges commerciaux au niveau des ambitions communes.
Conjoncture du 17 au 21 septembre 2018

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