Conjoncture du 20 au 24 Novembre 2017



Veille Maraacid


MTDS​ ​introduit​ ​le​ ​paiement​ ​par​ ​Bitcoin​ ​au​ ​Maroc

Pour la première fois, une entreprise marocaine accepte le paiement par Bitcoin de ses prestations.Il s’agit de MTDS, société de services numériques spécialisée dans le digital, la sécurité et le cryptage informatique. Le Bitcoin, de l’anglais «bit» unité d’information binaire et «coin» «pièce de monnaie», est une monnaie cryptographique qui fonctionne sans autorité centrale, ni administrateur unique, mais de manière décentralisée grâce au consensus de l’ensemble des nœuds du réseau enregistré dans un registre public appelé «blockchain».

Automobile : le marché devrait finir l’année avec une croissance de 5 à 10%

Les concessionnaires avaient vu juste ! Les prévisions de croissance des ventes automobiles, qui devaient se stabiliser autour de 5 à 10% après les paliers record franchis en 2016, se sont réalisées. D’après les dernières données de l’Association des importateurs de véhicules au Maroc (AIVAM), les ventes de voitures neuves, toutes catégories confondues, ont atteint 125254 unités à fin septembre, en hausse de 6,2% par rapport à la même période de l’année dernière.

Banque privée : Virée dans l’univers complexe du conseiller en gestion de patrimoine

Dans toutes les structures de banques privées, le métier de conseiller en est la pierre angulaire. Au delà de la gestion personnalisée des avoirs financiers de son client, un conseiller apporte une valeur ajoutée à son client, cheminement de tout un schéma de travail précis. Il a donc pour mission d’accompagner une clientèle de particuliers dans la gestion et l’optimisation de son patrimoine, tout en lui proposant des produits financiers adaptés. En fait, il présente l’interface entre le commercial, les aspects techniques et le client.

Examen de conscience britannique face à une croissance morose

L’abaissement brutal des prévisions de croissance du Royaume-Uni quand l’heure de la reprise sonne ailleurs a provoqué un choc dans le pays qui s’interrogeait jeudi: « comment en est-on arrivé là ? ». Mercredi, l’institut public chargé des prévisions officielles OBR, indépendant du gouvernement, a lancé une véritable bombe en réduisant drastiquement ses attentes pour l’économie britannique à l’occasion de la présentation du budget de l’Etat.

OCDE : « Progrès notables » du Maroc dans sa gouvernance économique

Le Maroc a fait des « progrès notables » depuis 2011 en matière de gouvernance économique, a indiqué l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport qui met en lumière les réformes initiées dans les divers domaines dans un contexte mondial difficile.« L’adoption d’une Constitution en 2011 consacrant les principes de bonne gouvernance a été suivie de la mise en place d’un nouveau cadre légal et institutionnel », souligne ce document sur la gouvernance économique au Maroc, présenté lors d’une réunion de haut niveau des parties prenantes au Partenariat de Deauville à Rome.

Investir en Afrique: Doit-on encore parler de "risques" ?

Les rythmes de croissance des économies de certains "lions" africains fascinent les investisseurs étrangers. Implanter son business dans un pays comme l’Éthiopie ou le Rwanda est synonyme d’opportunités et de rendements inégalés. Ils ne sont pourtant pas beaucoup à avoir franchi le pas et, passée la première euphorie, bien des investisseurs renouent avec la frilosité à l’égard d’un continent dit "à risques".

Tourisme : 9,71 millions d’arrivées à fin octobre

En effet, les arrivées ont connu une hausse de 9%, soit un total de 9,71 millions de touristes à fin octobre 2017 comparé à la même période en 2016 (8,88 millions). Ainsi, les arrivées des touristes étrangers de séjour (TES) ont enregistré une hausse de 14,3%, soit 4,86 millions de touristes. A ce stade, le taux des arrivées des touristes français à fin octobre 2017 a enregistré une hausse de 9% avec 1,35 million de touristes, suivi par les touristes espagnols (14%) avec 575.177.

HCP : L’indice des prix à la consommation enregistre une baisse de 0,1% en octobre

Le Haut-Commissariat au Plan vient de dévoiler la note d’information relative à l’indice des prix à la consommation (IPC) du mois d’octobre 2017. C’est ainsi que l’Indice a enregistré une baisse de 0,1% par rapport au mois de septembre. Celle-ci est le résultat de la baisse de 0,3% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. Ceux ayant connu la plus grande baisse sont les «poissons et fruits de mer» avec 3,9%. Ils sont suivis de près par les «viandes» avec 2,3%, ensuite les «fruits» avec 1,1% et le «café, thé et cacao» avec 0,7%.

Immobilier : Les ventes chutent de 18,7%

En commentant la ventilation trimestrielle, la banque centrale indique que la légère hausse observée par rapport au deuxième trimestre de l’année (0,6%) recouvre une augmentation des prix des terrains (1,3%) laquelle est conjuguée à une stagnation des prix des appartements et une diminution de 0,5% de ceux des locaux commerciaux. La hausse des prix a fortement impacté le flux des transactions qui a diminué de 1,4% par rapport au deuxième trimestre et de 18,7% comparé à la même période de l’année. En revanche, les transactions de foncier ont affiché des variations distinctes allant d’une hausse de 3,5% par rapport au deuxième trimestre de l’année à une baisse de 7,4% par rapport à la même période de l’année précédente.

L'investissement sera-t-il un jour moteur de la croissance au Maroc?

Le Maroc a beau investir des milliards de dirhams, la croissance ne suit toujours pas. L'effort d'investissement a été multiplié par trois durant la période 2000-2016, au moment ou l'on constate un essoufflement de la croissance ne dépassant pas dans les meilleures compagnes agricoles 4% du produit intérieur brut (PIB). La mauvaise canalisation des investissements durant la dernière décennie n'a pas permis au royaume de générer assez de richesse économique.

L'Awex choisit le Maroc comme marché cible en 2018

Après l'Inde en 2017, c'est le Maroc qui sera le marché cible de l'Agence wallonne à l'exportation et aux investissements étrangers (Awex) en 2018, a annoncé cette dernière jeudi. Plusieurs raisons expliquent ce choix. "Des raisons économiques, culturelles, de coopération... La Maroc est à peine à trois heures d'avion de Bruxelles, on y parle le français et le pays se profile de plus en plus comme 'the gateway to Africa', une porte d'entrée sur l'Afrique", résume l'administratrice générale de l'Awex, Pascale Delcomminette. Au cours des 10 dernières années, la croissance cumulée du Maroc a atteint 75%.

Dix ans du Tanger Med, le port qui connecte le Maroc au commerce mondial

Premier port d’exportation marocain, Tanger Med fête ses dix ans cette année. Inauguré en 2007, le terminal à containers de Tanger Med 1 a atteint aujourd’hui sa capacité d’exploitation et Tanger Med 2 est en pleine construction depuis deux ans. Tanger Med, une zone portuaire qui ambitionne d’être l’un des rouages les plus importants du commerce international.

Plus bas historique pour la livre turque sur fonds de tension avec les États-Unis

La livre turque a atteint mardi un plus bas historique sur les marchés de change, sur fonds de tensions avec les États-Unis, liées à l’imminent procès d’un homme d’affaires et d’un banquier turcs à New York.La monnaie turque a perdu plus de 1% de sa valeur dans la matinée, s’échangeant à 3,97 livres contre un dollar un peu avant 07H00 GMT, un nouveau record à la baisse, avant de se redresser très légèrement à 3,96 livres à 08H00 GMT.

Facture du Brexit : Londres prêt à améliorer son offre

Le gouvernement britannique est prêt à améliorer son offre pour régler la facture du Brexit en échange de garanties de la part de Bruxelles sur un futur accord commercial entre le Royaume-Uni et l’UE, ont indiqué mardi des sources concordantes. Une source gouvernementale a indiqué à l’AFP que la Première ministre Theresa May et plusieurs membres de son gouvernement, réunis lundi après-midi à Downing Street, étaient tombés d’accord pour augmenter l’offre proposée à Bruxelles, sans donner de chiffre.

Impôts: L’amnistie sur les majorations et pénalités arrive

Nouvelle incitation pour se mettre en règle avec la loi. Une amnistie sur les amendes, pénalités, majorations de retard et frais de recouvrement des impôts et taxes est prévue. Celle-ci permettra d’assainir la situation fiscale des contribuables et de renforcer les recettes du budget. Au moins 1,2 milliard de DH de recettes serait attendu en 2018.

Travailleurs immigrés/France: L’OCDE pointe les dysfonctionnements

Pour attirer les talents étrangers et mieux répondre aux besoins du marché du travail, la France devrait moderniser et renforcer le pilotage de l’immigration professionnelle. C’est ce que préconise l’OCDE dans son étude «Le recrutement des travailleurs immigrés en France», rendue publique le 20 novembre. L’immigration professionnelle de ressortissants non-européens reste faible en France en comparaison internationale. Elle représentait 16% en 2016.

Sajid : L’économie solidaire au Maroc, un réel pilier de croissance

L’économie solidaire au Maroc constitue un réel pilier de croissance et un outil déterminant pour le développement de l’économie sociale, a affirmé, lundi à Casablanca, le ministre du tourisme, du transport aérien, de l’artisanat et de l’économie sociale, Mohamed Sajid.

Il s’est résorbé de 4,3 MMDH à fin octobre: Le déficit budgétaire revient à 28,5 MMDH

Le déficit budgétaire poursuit sa résorption. Au 10ème mois de l’année, l’écart s’est réduit de 4,3 milliards de dirhams par rapport à la même période de l’année passée, soit un déficit de 28,5 milliards de dirhams contre 32,8 milliards de dirhams à fin octobre 2016. C’est ce qui ressort des dernières statistiques des finances publiques élaborées par la Trésorerie générale du Royaume. Le mois d’octobre a été marqué par une hausse de 3,5% des recettes ordinaires et d’une progression de 2,2% des dépenses ordinaires. Ces évolutions laissent dégager un solde ordinaire positif de 7,6 milliards de dirhams.

L’utilisation des monnaies virtuelles interdite au Maroc

Les utilisateurs et défenseurs des monnaies virtuelles (crypto-monnaies) dont les plus connues sont le Bitcoin, Litecoin, Ethereum, Monero, Ripple, Potcoin ou encore Dash sont avertis : l’utilisation de ces devises numériques dans la réalisation des transactions financières est strictement interdite au Maroc, a prévenu l’Office des changes. Dans le cadre de l’exercice de ses missions de contrôle des opérations de change, l’organisme public a dit avoir constaté l’utilisation par certaines personnes physiques et morales des monnaies virtuelles dans la réalisation de leurs transactions financières.

Conjoncture économique : L’embellie se poursuit estime la DEPF

Après une forte progression en 2016, l’effort d’investissement devrait se maintenir, bénéficiant, notamment, du bon comportement des crédits à l’équipement et du maintien du niveau des importations des biens d’équipement. Par ailleurs, la facture énergétique continue de peser sur les équilibres extérieurs, en dépit du bon comportement des exportations nationales, dans un contexte marqué par une amélioration continue de la demande étrangère adressée au Maroc. Sur le plan du financement de l’activité économique, les crédits bancaires poursuivent leur évolution positive avec une progression de 4,5% à fin septembre.

Vers une hausse des quotas de thon rouge

Les quotas de pêche de thon rouge ont été fortement revus à la hausse pour les années à venir, atteignant 36'000 tonnes par an en 2020 contre 23'655 tonnes en 2017, a-t-on appris mardi auprès de délégués et d'observateurs à une réunion de l'organisme international chargé de ce dossier.

Pas de hausse de droits de douane pour les voitures asiatiques

Les importateurs de voitures asiatiques peuvent souffler. Les élus ont obtenu gain de cause auprès de l'Exécutif. La mesure incluse dans le PLF 2018, qui consiste à porter les droits d'importation de 17,5% à 20% et de 25% à 30% sur certains produits finis et semi-finis n'a pas été adoptée en l'état. Le taux des 17,5% restera inchangé. Par contre le taux de 25% sera bien porté à 30%.

Rapport du CESE: le capital immatériel contribue pour 60% à la richesse globale

Le capital immatériel contribue à hauteur de 60% la richesse globale du Maroc. Selon la très attendue étude du CESE, ce capital doit être au cœur des politiques publiques. "Où est la richesse?". Rappelez-vous, le roi Mohammed VI en avait fait le thème central de son discours prononcé le 30 juillet 2014, à l’occasion de la Fête du Trône. Pour y répondre, le Conseil économique social et environnemental (CESE) devait élaborer, en collaboration avec Bank Al-Maghrib, une étude sur la valeur de la richesse globale du Maroc de 1999 à 2013.

L'Agence française de développement débloque 3,5 milliards de dirhams pour le Maroc

Cette enveloppe permettra de financer un prêt destiné à l'ONEE pour la généralisation de l'accès à l'eau potable, la première phase du complexe solaire NOOR Midelt ainsi que les extensions des tramways de Rabat et de Casablanca. Mis bout à bout, les accords signés à Rabat par Rémy Rioux, directeur général de l’Agence française de développement (AFD), lors de la visite d’Édouard Philippe, portent sur des financements, prêts et subventions de différents projets marocains pour près de 3,5 milliards de dirhams (340 millions d’euros).

Carburants: jusqu'où iront les prix ?

Les prix à la pompe ont, une nouvelle fois, augmenté s’approchant dangereusement de la barre des 10 dirhams pour le gasoil. Et les perspectives penchent vers la poursuite de cette tendance haussière. Les prix à la pompe des carburants ont enregistré une nouvelle hausse. Un litre de gasoil est vendu entre 9,5 et 9,7 dirhams selon les distributeurs et les stations-service. Le litre d'essence, lui, est commercialisé entre 10,38 et 10,56 dirhams.

Comment la fièvre du bitcoin s’est emparée du Maroc

Au royaume chérifien, les transactions en monnaie virtuelle dépassent les 200 000 dollars par jour, faisant le bonheur de traders et autres investisseurs à la recherche de coups financiers. Zoom sur un placement qui explose tous les records, et qui vient d'être interdit par l'Office des changes. En 2009, le bitcoin, une monnaie virtuelle nouvellement créée sur la base d’un algorithme informatique, valait 0,01 dollar. Il a fallu plus de trois jours à un de ses développeurs pour trouver quelqu’un qui lui vende deux pizzas contre 10 000 bitcoins. Huit ans après, la valeur de cette monnaie virtuelle a dé- passé la barre des 6000 dollars.

L'office des changes interdit l'utilisation du Bitcoin

L'office des changes sort de sa réserve et réagit à la fièvre du Bitcoin, monnaie virtuelle, qui s'empare des investisseurs et traders marocains. Sa sortie officielle fait notamment suite à l'annonce faite le 14 novembre dernier par une entreprise marocaine de services numériques, MTDS, d'accepter le Bitcoin comme moyen de paiement.

Artisanat : pourquoi l’export ne décolle pas

Les exportations ont totalisé 507 MDH en 2016. Le secteur souffre de l’absence d’un produit adapté, du manque d’entreprises structurées et de problèmes de qualité. Les opérateurs boudent les salons professionnels en raison de la faiblesse de la rentabilité commerciale. Sur le papier, l’artisanat marocain se porte bien. Les chiffres communiqués par le ministère du tourisme, du transport aérien, de l’artisanat et de l’économie solidaire le disent. En 2015, dernière année de la «Vision 2015» (stratégie de développement du secteur), l’artisanat à fort contenu culturel a réalisé un chiffre d’affaires de 22,46 milliards de DH, soit une progression de l’ordre de 4,5% par rapport à 2014.

Recul de 6,4% des réserves internationales au 10 novembre

Les réserves internationales nettes du Maroc se sont établies à 231,3 milliards de dirhams (MMDH) au 10 novembre 2017, en baisse de 6,4% par rapport à la même période un an auparavant, selon Bank Al-Maghrib (BAM). Concernant le marché monétaire, la Banque centrale fait savoir qu'elle a injecté un total de 54,2 MMDH, dont 51 MMDH sous forme d'avances à 7 jours sur appel d'offres et 3,2 MMDH accordés dans le cadre du programme de soutien au financement de la TPME, rapporte la MAP. Pour ce qui est du volume global des échanges, il s'est chiffré à 1,8 MMDH contre 384,9 millions de dirhams (MDH) une semaine auparavant, souligne BAM, précisant que par compartiment, le volume des échanges a atteint 751,1 MDH sur le marché central et 845,1 MDH sur le marché de blocs.

Oléiculture : 3 projets de développement programmés pour 2018

25,6 millions de dirhams. Tel est l’investissement prévu au titre de l’année 2018 par la direction régionale de l’agriculture de l’Oriental pour le financement de 3 projets de développement oléicoles. Ces projets représentent une superficie globale de 2.300 hectares bénéficiant ainsi à environ 600 agriculteurs. L’oléiculture dans l’Oriental connaît une forte dynamique, et ce depuis le lancement du Plan Maroc Vert. Les superficies plantées se sont nettement consolidées. De nombreux projets d’extension (Pilier II) ont été menés conformément aux dispositions du Plan agricole régional. La superficie plantée sur la période 2010-2016 est de 35.400 hectares, soit un rythme annuel de 5.500 hectares.

Huile d’argane : Des exportations frôlant les 300 millions de dirhams

Coup d’envoi de la quatrième édition du Congrès international de l’arganier. Les travaux de ce rendez-vous biennal qui démarreront ce lundi 20 novembre à Agadir porteront sur le changement des paradigmes de la réserve de biosphère arganeraie. Une occasion d’initier un processus de réflexion multidimensionnelle pour identifier les nouvelles perspectives de recherche. La finalité étant de concevoir de nouvelles voies de développement de la filière et de la réserve de biosphère arganeraie. Lors de cet événement qui se poursuit jusqu’au mercredi 22 novembre, des contributions scientifiques seront dévoilées en vue d’accompagner le changement d’ores et déjà engagé dans la filière.

Turquie Les défaillances d’entreprises croîtraient de 4% cette année

En Turquie, les défaillances d’entreprises devraient croître de 4% en 2017. C’est ce qu'affirme Euler Hermes. Selon l’assureur-crédit, les comportements de paiement entre les entreprises se détériorent nettement en Turquie. En 2016, le délai de paiement moyen des entreprises s’élevait à 80 jours, soit 15 jours de plus qu’en 2007 et 16 jours de plus que la moyenne mondiale de 2016. «Dans les secteurs de la construction, de la haute technologie, du papier, et de la pharmacie, les entreprises doivent attendre 3 mois avant d’être payées.

Finances publiques: La fiscalité domestique rapporte gros au Trésor

Les recettes fiscales continuent de remplir les caisses du Trésor. Au cours des dix premiers mois de l'année, elles ont assuré 164,1 milliards de DH, en accroissement de 5,7% par rapport à fin octobre 2016. Ce qui a soutenu les recettes ordinaires qui se sont chiffrées à 179,2 milliards, en amélioration de 3,5%, selon les dernières statistiques publiées par la Trésorerie générale du Royaume (TGR). L’augmentation des recettes ordinaires est surtout attribuée à la hausse des impôts directs de 8% à plus de 74 milliards et des impôts indirects de 5,7% à 69,29 milliards.

L’Europe veut promouvoir la reddition des comptes en Afrique

L’Europe se prépare au prochain Sommet Afrique-Europe qui se tient le 29 novembre. Son Parlement a publié un document qui «identifie les défis de ce partenariat et propose des pistes d’amélioration pour la nouvelle feuille de route 2018-2020». L’Europe se fixe pour objectif la construction d’Etats et de sociétés plus résilients en Afrique.

Nouvelles normes de travail dans l’industrie de la pêche

Donner une impulsion aux efforts mondiaux visant à garantir un travail décent aux 38 millions d’hommes et de femmes employés du secteur de la pêche. Tel est l’intérêt de la Convention n° 188 de l’OIT (Organisation internationale du travail) entrée en vigueur jeudi 16 novembre. L’entrée en vigueur de cette convention historique va donner une impulsion considérable aux efforts visant à améliorer les conditions de travail pour des millions de personnes employées dans le secteur de la pêche, a souligné l’organisation onusienne.

BAM : Les réserves internationales en hausse sur le mois, mais en baisse sur l’année

Les réserves internationales nettes du Maroc se sont établies à 231,3 milliards de dirhams (MMDH) au 10 novembre 2017, en baisse de 6,4% par rapport à la même période un an auparavant, selon Bank Al-Maghrib (BAM). D’une semaine à l’autre, ces réserves ont augmenté de 1,4%, précise BAM qui vient de publier ses indicateurs hebdomadaires de la semaine allant du 09 au 15 novembre 2017.

Ce qu'il faut retenir de l'indice Mo Ibrahim : l'Afrique avance, mais lentement et inégalement

C'est l'un des baromètres de l'état du continent les plus scrutés : l'indice général Mo Ibrahim sur la gouvernance 2017 vient d'être rendu public. Premier enseignement : l'Afrique avance. Mais si la gouvernance s'améliore sur le continent, les progrès sont lents dans certains domaines. Surtout, les situations divergent d'un pays à l'autre.

Pression fiscale : Les opérateurs économiques continuent de broyer du noir

En dépit de la baisse de la pression fiscale qui se situe autour de 22% du PIB, certains patrons d’entreprises continuent de fustiger la lourdeur des charges sociales et fiscales. Les multiples crispations suscitées par la fiscalité et le système fiscal marocain, d’une manière générale témoignent de la complexité de livrer une analyse objective afférente à la pression fiscale subie par les entreprises, créatrices de richesse et pourvoyeuses d’emplois au Maroc.

Maroc-Mercosur : premiers contacts pour l’établissement d’une zone de libre-échange

Le Maroc et le Marché commun du Sud (Mercosur) ont entamé, récemment à Brasilia, des négociations techniques en vue de l’établissement d'une Zone de libre échange (ZLE), rapporte la MAP. Lors d’une réunion, tenue en début de semaine au siège du ministère brésilien des Relations Extérieures, la partie marocaine a mis en relief la stratégie d’ouverture économique du Royaume, notamment en matière d’Accords de libre échange (ALE) et d’Accords commerciaux préférentiels, ainsi que la politique industrielle et le climat des affaires au Maroc.

Importation de voitures : les droits de douane inchangés

Les inquiétudes des importateurs de véhicules hors Union européenne se sont dissipées. Et pour cause, le gouvernement a décidé d’introduire un amendement pour ne pas augmenter les taux des droits de douane. Pour rappel, le PLF 2018 projetait une hausse du régime commun de 17,5% à 20% et de 25% à 30%. Rassemblés autour du Groupement des importateurs de véhicules pour l’équité tarifaire (Givet), ces professionnels ont mené une opération de lobbying en vue de faire valoir leurs arguments auprès de l’Exécutif et des partis politiques.

Investir le marché belge : Quelques bons tuyaux pour les entreprises marocaines

La «Semaine belge au Maroc» qui se poursuit jusqu’au 17 novembre, est un événement intéressant à plus d’un titre. L’occasion aussi de constater que, malgré les bons liens qui unissent les deux Royaumes, les échanges demeurent assez timides malgré plus de 50 ans de coopération. Ainsi, en 2016, le Maroc est le 44ème client de la Belgique avec 832,2 millions d’euros (+9,7%), et le 60ème fournisseur pour seulement 305 millions d’euros, en recul de 16,4% (L’Algérie est 40ème fournisseur de Belgique pour près d’un milliard d’euros).

Plan d’accélération industrielle : Qualité, la pièce manquante du puzzle

La refonte du système national d’accréditation et de normalisation est une réforme indispensable pour relever le défi de l’accélération industrielle. 2018 sera une année charnière pour la qualité. La qualité n’est plus un choix, mais une exigence plus que nécessaire pour donner un coup de pouce à l’économie marocaine. Elle est l’une des composantes essentielles pour atteindre les objectifs du Plan d’accélération industrielle.

Le Maroc et la France prospectent l’avenir de leurs relations économiques

Le Forum économique Maroc-France, initié jeudi à Skhirat par la CGEM en partenariat avec le Medef International, a été l’occasion pour les deux pays d’échanger autour de leurs opportunités et défis à la fois. Les participants à l’événement, qui se tenait sous le thème «Bâtir des ponts pour la croissance et l’emploi», ont été unanimes à ce propos. Le tout en proposant des solutions à ces challenges.
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