Conjoncture du 24 au 28 Septembre 2018



Veille Maraacid


Immobilier : Ce que recommande la FNPI

«Nous prônons à travers cette feuille de route une diversité d’approche et de production de logement permettant de créer une vision plus large des problématiques du secteur et ainsi de faire mieux entendre les doléances de tous les promoteurs membres de la FNPI», explique dans ce sens Taoufik Kamil, président de la FNPI. Les promoteurs appellent, par ailleurs, à élargir et étendre la convention public-privé ainsi que mobiliser l’ensemble des ressources de l’écosystème de la construction et du logement pour relancer la chaîne de valeur du secteur. «La concurrence déloyale exercée par les non professionnels affecte à la fois l’image du promoteur et le droit à un logement décent abordable», c’est en ces termes que les membres de la FNPI dénoncent la concurrence déloyale du secteur.

Les instituts économiques allemands abaissent leurs prévisions de croissance

Par un hasard du calendrier, le diagnostic automnal des quatre plus grands instituts économiques du pays, rendu public jeudi 27 septembre, tombe en même temps qu’une crise politique majeure pour Angela Merkel, jadis surnommée « poêle en Teflon » par les services secrets américains, pour sa capacité à résister à tout. Faut-il y voir un signe ? Les économistes décrivent ce qui s’apparente au début de la fin de la longue phase d’expansion de la première économie de la zone euro, qui a débuté il y a six ans. « L’Allemagne doit se préparer au ralentissement », expliquait début septembre Stefan Kooth, de l’institut économique de Kiel (Schleswig-Holstein, nord), qui table sur la « fin prochaine » de la phase d’expansion.

En Espagne, l’explosion des loyers angoisse les locataires

Appartements «capsules», locataires chassés par la hausse des prix... les loyers flambent dans l’Espagne post-crise, faisant craindre une nouvelle «bulle» dans un pays déjà traumatisé par l’effondrement de son secteur immobilier. Charlie est essoufflé. Après l’université, ce doctorant à Madrid, qui ne veut pas donner son nom de famille, a couru pour visiter un appartement après avoir appris la veille que sa propriétaire voulait augmenter le loyer de sa chambre de 340 à 450 euros en novembre à l’échéance de son bail.

Chômage à 5,1%: comment l'Allemagne a atteint son taux le plus bas depuis la réunification

Bien que les prévisions de croissance aient été revues à la baisse pour 2018 par les principaux instituts économiques allemands ce mercredi, à 1,7% contre 2,2% au printemps, l'économie agermanique a de quoi faire des envieux: les économistes tablent sur un chômage à 4,5% pour 2020, la balance commerciale est généreusement excédentaire et la dette publique, qui relativement au PIB est 33% moins élevée que la nôtre, n'augmente plus. Malgré les scandales industriels qui ont entaché les entreprises allemandes ces derniers temps, notamment les difficultés rencontrées par le groupe Volkswagen, et la fragilité du commerce international qui fait suite à la guerre douanière que se mènent les trois grandes puissances mondiales, l'économie outre-Rhin, portée par le secteur industriel le plus puissant d'Europe, ne peine pas à fournir du travail à la majorité de sa population. Du travail précaire, diront les détracteurs du modèle social germanique.

Téléphonie mobile : Les ménages bien équipés

La quasi-totalité des ménages marocains est équipée en téléphones mobiles. Un constat qui concerne aussi bien le milieu rural qu’urbain. La généralisation de la téléphonie mobile se traduit par un taux d’équipement de 99,8%. Ce chiffre a été révélé dans l’enquête annuelle de collecte des indicateurs TIC auprès des ménages et des individus réalisée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) en collaboration avec le ministère de l’industrie, de l’investissement, du commerce et de l’économie numérique, la Haute autorité de la communication audiovisuelle, le Conseil économique, social et environnemental et le Haut-Commissariat au Plan (HCP).

Sukuk souverains : 1 milliard de dirhams pour la première émission

Enfin une date pour l’émission des premiers sukuk. Reportée à maintes reprises, la première obligation de la finance participative aura lieu le 5 octobre prochain. Elle portera sur un montant de 1 milliard de dirhams en interne. Il s’agira des sukuk ijara. Une révélation faite par Abdellatif Jouahri, wali de Bank Al-Maghrib, en marge de la troisième réunion du conseil de la banque centrale tenue, mardi 25 septembre, à Rabat. L’arrivée des premiers sukuk vient compléter cet écosystème en marche depuis plus d’une année. En effet, les sukuk permettront aux banques participatives de placer la liquidité, et de se refinancer auprès de la banque centrale. Ces émissions doteront les banques participatives d’un financement conforme à la charia leur permettant de lever sur le marché les fonds nécessaires à leur développement.

Services marchands non financiers et commerce de gros : Les prestataires plutôt optimistes

Les chefs d’entreprises opérant dans ce secteur s’attendent à une hausse de leur production. Seuls 12% d’entre eux anticipent une baisse. C’est ce que relève le HCP des entreprises ayant participé à son enquête trimestrielle de conjoncture. Cet optimisme serait expliqué par l’amélioration prévue des activités : «Transports aériens», «Entreposage et services auxiliaires des transports» et «Hébergement» au moment où les activités «location et location-bail» et «Programmation et diffusion» ont connu une baisse.

L'Algérie va réduire de 1,5% son plan de dépenses pour l'année 2019

L’Etat algérien va réduire ses dépenses de l’année 2019 pour rééquilibrer ses finances, a indiqué un document du gouvernement, relayé par Reuters.Selon les informations rapportées par l’agence de presse américaine, cette décision s’inscrit dans la lignée des réformes engagées depuis 2016 par le gouvernement algérien pour faire face à la chute des cours du pétrole.La nouvelle coupe budgétaire prévue pour l’année prochaine, malgré la reprise des cours de l’or noir, devrait permettre « d’assurer la viabilité du budget et [.] réduire la pression sur le Trésor public ».

France : comment faire pour que la réduction nécessaire des dépenses publiques ne réduise pas la croissance ?

Compte tenu des perspectives de croissance, des baisses d’impôts et des hausses annoncées de certaines dépenses publiques, le respect et des engagements budgétaires de la France va impliquer une baisse importante des dépenses publiques, de 2019 à 2022. Comment faire pour que cette baisse des dépenses publiques ne réduise pas la croissance de la France ? Il faudrait qu’il y ait « neutralité ricardienne », c’est-à-dire que la baisse des dépenses publiques conduise à une hausse des dépenses privées (à une baisse du taux d’épargne du secteur privé).

Maroc: Amélioration attendue de la production industrielle au troisième trimestre

Il ressort ainsi de cette enquête que les chefs d’entreprise évoluant dans le secteur de l’industrie manufacturière s’attendent à une légère hausse de leur production au troisième trimestre de 2018.L’enquête, qui s’est aussi intéressée à l’avis des industriels du secteur de l’énergie, laisse apparaître que la production énergétique connaîtrait une hausse au troisième trimestre de 2018.Soulignons qu’outre les anticipations des chefs d’entreprise des secteurs des industries manufacturières, de l’extraction, de l’énergie et de l’environnement, l’enquête du Haut-commissariat a également révélé celles des patrons opérant dans le secteur de la construction.

L'essor du commerce mondial revu à la baisse

En 2018, le volume du commerce mondial ne devrait plus progresser de 4,4 %, mais de 3,9 %.L'Organisation mondiale du commerce a publié jeudi ses estimations pour 2018 et 2019.Ainsi, en 2018, le volume du commerce mondial ne devrait plus progresser de 4,4 %, mais de 3,9 %. Il est difficile de faire des prévisions sur l'évolution du commerce mondial dans l'environnement très incertain entretenu par l'imprévisible Donald Trump. Contrainte à l'exercice, l'Organisation mondiale du commerce (OMC) s'y est essayée, en publiant jeudi ses estimations pour 2018 et 2019.

Rapport annuel du CESE: Pourquoi les inégalités persistent

C’est un sombre tableau qui a été dressé par le rapport du Conseil économique, social et environnemental pour l’année 2017. Ce document pointe la persistance d’une série de dysfonctionnements qui ont plombé les efforts menés pour relancer la dynamique économique et renforcer la protection sociale. Dans un contexte tendu, marqué par la panne du dialogue social, les inégalités continuent de se creuser, au moment où les activités économiques n’arrivent pas à favoriser la création d’un nombre suffisant d’emplois pour résorber le chômage.

Jouahri : "Le social ne doit pas être opposé aux équilibres macroéconomiques"

Le contexte actuel de guerre commerciale à l’échelle mondiale, les comptes nationaux et extérieurs, le marché du travail ont été passés au crible par Bank Al-Maghrib (BAM). D’après l’analyse de l’évolution récente de la conjoncture économique et les projections macroéconomiques jusqu’à fin 2019, le Conseil de la Banque centrale, réuni ce mardi, a jugé que « le niveau actuel du taux directeur de 2,25 % » restait « approprié ». Ce taux directeur n’a pas évolué depuis 2016.

L'offre économique marocaine exposée à Paris

Placée sous le thème : « Maroc, le carrefour africain : Quid de la montée en gamme africaine dans la chaîne de valeurs mondiales?», cette conférence-débat a été l’occasion d’échanger avec les partenaires économiques présents et de leur expliquer la démarche gagnant-gagnant prônée par les entreprises marocaines dans le cadre de leurs partenariats avec les entreprises africaines, conformément aux Hautes orientations de S.M le Roi, rapporte la MAP. Pour mériter son appellation de carrefour entre l’Europe et l’Afrique, le Maroc entend faire profiter de son expertise et de son savoir-faire les pays africains avec lesquels il a une proximité culturelle, cultuelle et opérationnelle, ont affirmé les membres de cette délégation, conduite par l’Association marocaine des exportateurs (ASMEX), l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDIE) et la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc.

Europe: L'écosystème mobile, 4% du PIB d’ici 2022

L’écosystème mobile européen devrait représenter plus de 4% du PIB de la région d’ici 2022. Mais des actions réglementaires adéquates doivent être prises afin de positionner l’Europe en tant que leader mondial de la 5G et créer un véritable marché unique européen numérique. Selon l'Association mondiale des opérateurs de téléphonie mobile (GSMA), 67 milliards d’euros devraient être investis par les opérateurs dans leurs réseaux entre 2018 et 2020.

L'agriculture peu présente parmi les investissements africains en Afrique

"Le moment d'investir en Afrique, c'est maintenant". Tel est le message de la Banque africaine de développement (BAD) dans son rapport "Africa to Africa Investment, A first look". Comme l'indique le titre, c'est le premier rapport de la Banque à traiter des investissement inter-africains, tous secteurs confondus. Pourquoi maintenant? Car les investissements directs étrangers (IDE) du monde entier baissent et le paysage international est incertain.

Prêt en monnaie locale : La Berd débloque 4,3 millions d’euros au profit de Multisac

Le choix s’est porté sur l’entreprise Multisac S.A pour être la première entité à bénéficier du soutien financier des deux institutions dans le cadre du programme de développement des chaînes de valeur et de la compétitivité au Maroc. Le but étant d’améliorer les chaînes de valeur et de rendre les entreprises plus compétitives, au Maroc et dans toute la partie méridionale et orientale du bassin méditerranéen. La Berd a, dans ce sens, octroyé à l’entreprise bénéficiaire un prêt en monnaie locale d’un montant maximum équivalant à 4,3 millions d’euros.

Bank Al-Maghrib dévoile ses prévisions : Un taux directeur inchangé et une croissance de 3,5% en 2018

Le conseil de Bank Al-Maghrib vient de tenir sa troisième réunion au titre de l’année 2018. Première résolution prise : le maintien du taux directeur à son niveau actuel, à savoir 2,25%. Cette réunion trimestrielle est une occasion pour établir une lecture de la conjoncture économique et dévoiler les projections de la banque centrale à court et moyen termes. Bank Al-Maghrib a, en effet, revu ses projections par rapport à ce qui a été annoncé lors de la précédente réunion du conseil tenue en juin dernier. S’agissant de la croissance économique, la décélération se poursuivra par rapport au rythme observé en 2017 (4,1%). Toutefois de nouveaux objectifs sont définis. Alors que la banque centrale tablait trois mois plus tôt sur une croissance de 3,2% en 2018, les récentes projections portent, pour leur part, sur un taux de croissance de 3,5% en 2018. Il devrait revenir à 3,1% en 2019.

Développement de l’infrastructure routière : Un investissement de 28 milliards de dirhams attendu d’ici 2021

L’investissement de l’Etat dans le secteur des infrastructures routières devrait se consolider annuellement de 7 milliards de dirhams. Il devrait atteindre les 28 milliards de dirhams d’ici 2021. Un objectif révélé par Abdelkader Amara lors de l’ouverture de la 10ème édition du Congrès national de la route. Le ministre de l’équipement, du transport, de la logistique et de l’eau a profité de l’occasion pour passer en revue les efforts consentis par l’Etat en matière de développement des infrastructures routières nationales.

Emploi et formation : l’équation qui donne matière à réfléchir !

Dans un climat où le chômage persiste, créer des alternatives qui auront pour enjeu d’absorber une large frange de la population inactive, est une nécessité primordiale pour le Maroc. Cela réduira le taux de chômage et augmentera celui de l’employabilité. Le Royaume n’est pas resté indifférent face à ce fléau, ainsi on constate une réduction du taux de chômage entre le second trimestre 2017 et celui de 2018 passant de 10,5 % au premier trimestre de l’année encours à 9,1% au 2ème trimestre.

Fruits et légumes : Les nouveaux enjeux et risques sous la loupe

Organisé par l’Association des producteurs de fruits et légumes (Apefel) et l’Association marocaine des conditionneurs maraîchers (Amcom) en partenariat avec l’Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE) et la Fédération interprofessionnelle marocaine de production et d’exportation des fruits et légumes sous l’égide du ministère de l’agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, cet évènement initié depuis 2002 se tient tous les deux ans sur différents thèmes : technique, commercial et qualité, et constitue un lieu de rencontre pour l’échange d’ expériences sur les changements subis par la filière concernée.

Prévisions de la production : Perspectives optimistes des patrons au 3ème trimestre 2018

Les chefs d’entreprises restent confiants pour le 3ème trimestre 2018. A en croire la note du HCP révélant les prévisions de la production par secteur, les entreprises de l’industrie manufacturière prévoient une légère croissance de leur production. Cette évolution est attribuée à une hausse de l’activité de l’«Industrie chimique» et de la «Fabrication d’équipements électriques» ainsi qu’à une baisse de la production de l’activité de l’«Industrie automobile» et de l’«Industrie de l’habillement». Pour ce qui est de l’emploi dans ce secteur, les industriels anticipent une stabilité des effectifs employés. Quant à l’industrie extractive, les entreprises de ce secteur envisagent d’augmenter leur production.

Rapport semestriel relatif à l'exécution de la loi de finances: 1er semestre 2018

L’exécution de la loi de finances à fin juin 2018, laisse apparaitre un solde budgétaire négatif de 16,5MMDH, résultant de ressources ordinaires (hors recettes d’emprunts) de 186,3MMDH et de charges (hors amortissements de la dette) de 202,8MMDH. Compte tenu de recettes d’emprunts de 24MMDH et d’amortissements de la dette de 16,5MMDH, l’exécution de la loi de finances dégage un déficitdes ressources par rapport aux charges de 9MMDH.

L’IPC en baisse pour le deuxième mois d’affilée

Selon les données communiquées récemment par le Haut-commissariat au plan (HCP), l'Indice des prix à la consommation (IPC) a connu au cours du mois d'août 2018 une baisse de 0,1% par rapport au mois précédent.Il s’agit de la troisième baisse de l’année de cet indice, après celles enregistrées en février (0,5%) et plus récemment en juillet (0,9%). Soulignons que la nouvelle baisse de l’indice des prix à la consommation intervient après quatre mois de hausse d’affilée enregistrée en juin (0,2%), mai (0,5%), avril (0,3%) et mars (0,1%) de cette année. Une évolution qui n’aura été interrompue qu’en juillet dernier.

Africa to africa investment : A first look

Les opportunités prévalent sur les obstacles en termes d’investissement en Afrique. C’est ce dont témoignent près d’une dizaine de multinationales africaines dans le tout premier rapport sur les investissements intra-africains que publie la Banque africaine de développement aujourd’hui. Réalités auxquelles sont confrontées les multinationales africaines quand elles investissent sur le continent, tendances émergentes en matière d'investissement intra-africains, de quelles manières les accroître..., sont autant de questions que ce nouveau rapport passe au crible.

Quelle gouvernance pour une meilleure justice sociale

«Finances publiques et justice sociale», c’est le thème du 12e colloque des finances publiques, organisé, vendredi à Rabat, conjointement par le ministère de l’Économie et des finances et la Fondation internationale de finances publiques (Fondafip). Il est rare, parfois audacieux de s’aventurer dans les intersections de deux domaines qui au premier abord paraissent complètement distincts. Mais le thème, comme l’a dit fort à propos Mohamed Benchaâboun, ministre des Finances, s’inscrit aujourd’hui dans les préoccupations de la plupart des pays. «Plusieurs rapports et études font ressortir une montée des inégalités et une déficience de la cohésion sociale des pays du monde auxquelles s’ajoute une accentuation des inégalités territoriales, spatiales, des revenus, en matière d’éducation et par rapport au genre», a-t-il expliqué.

RICHESSE: Casablanca parmi les 10 villes les plus riches d'Afrique

Elle n’est pas capitale économique pour rien ! Et pour cause Casablanca figure dans le top 10 des villes les plus riches du continent, d’après le rapport Africa Wealth 2018 sur la richesse en Afrique. Rendu public par le groupe de recherche sud-africain, New World Wealth, ainsi que la banque mauricienne AfrAsia Bank, le document relate que la ville blanche dispose d’une richesse totale de 42 milliards de dollars, relaye Mena.fn.

Marché financier: CFC émet un Green bond de 355MDH

Casablanca Finance City (CFC) émet un "Green Bond". D'un montant de 355 millions de dirhams, cette émission a été réalisée par le biais d’un placement privé souscrit auprès des plus grands investisseurs institutionnels du Royaume, suite à l’autorisation par l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC). La maturité de l’emprunt est de 15 ans, marquant ainsi la confiance des institutionnels marocains et étrangers qui ont répondu favorablement à cette émission, précise la CFC dans un communiqué.

Préparation de la loi de Finances 2019 : Douze propositions émises par les TPE

La communauté des TPE et PME participe encore une fois au process d’élaboration de la loi de Finances et émet des propositions pour la nouvelle année budgétaire. Certes, cet exercice peut paraître ordinaire, il mais porte en lui une symbolique de taille, notamment pour les représentants de la très petite entreprise. Le message à passer : la TPE ne succombera aux difficultés rencontrées et s’engage à porter sa voix aux hautes instances.

La diplomatie marocaine veut une «offensive» économique

Le premier séminaire des conseillers économiques des ambassades du Maroc vient d’être organisé à Rabat. Placé sous le thème «La diplomatie économique en tant que levier de la politique étrangère du Royaume», l’événement est initié par le ministère des affaires étrangères et de la coopération internationale. Il a notamment connu la participation du ministre de l’industrie, de l’investissement, du commerce et de l’économie numérique, Moulay Hafid Elalamy, du ministre de l’énergie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah, de la secrétaire d’Etat auprès du ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale, Mounia Boucetta, ainsi que la secrétaire d’État chargée du tourisme, Lamia Boutaleb.

Ces inégalités que dénonce le CESE: Les raisons de la colère…

Pauvreté, chômage des jeunes et inégalités sont autant de réalités socio-économiques de « moins en moins acceptés » au Maroc. Tel est le constant du Conseil économique, social et environnemental (CESE) dans son rapport portant sur l’année 2017 qui explique la multiplicité des mouvements sociaux qui traversent le pays de part en part.

Fruits et légumes. L’origine Maroc requiert plus de communication avec l’UE

En chiffres, les exportations des produits agroalimentaires (AA) ont atteint selon l’EACCE durant la campagne 2017-18 un volume de l’ordre de 2,9 millions de tonnes, soit une croissance de 4% en comparaison avec 2016-17 dont 1.179 kilotonnes de produits maraîchers. «Dans un secteur d’activité, on ne peut pas avoir une dynamique où les professionnels ne cotisent pas. En France, l’État nous accorde le droit de rendre obligatoire la cotisation à tous les acteurs qui représentent un poids significatif avec un ratio cohérent», explique Bruno Dupont, président de l’Interprofession de la filière des fruits et légumes frais (Interfel). Par ailleurs, l’expérience de France Agrimer a été également présentée lors de ce symposium en plus de la situation de plusieurs marchés à l’export dont les marchés nord-américains, scandinaves et russes en plus d’un aperçu sur la réglementation européenne et les différents accords qui régissent les exportations marocaines.

Finances publiques : Les conditions de la justice sociale selon Noureddine Bensouda

« L’instauration d’une meilleure justice sociale ne peut être réalisée sans un diagnostic précis, une vision claire, un changement moins fréquent des lois, une appropriation de la légistique par les acteurs, un respect de la loi et une reddition des comptes », a dit M. Bensouda qui présentait un rapport introductif lors de la 12è édition du colloque international sur les finances publiques, placée sous le thème « Finances publiques et justice sociale ».

Maroc : le déficit commercial se creuse de 10,1% sur les 8 premiers mois de 2018, à 14,7 milliards $

Le déficit de la balance commerciale du Maroc s'est creusé de 10,1% durant les huit premiers mois de 2018, comparativement à la même période de 2017, pour s’établir à 137,9 milliards de dirhams (14,7 milliards de dollars), selon des données publiées par l’Office des changes.Cette aggravation s'explique par une augmentation des importations (+29,2 milliards de dirhams sur 8 mois), plus importante que celle des exportations (+16,5 milliards de dirhams).

Conseil Economique Social et Environnemental du Maroc: Rapport Annuel 2017

Conformément à l’Article 10 de la loi organique régissant le Conseil Economique, Social et Environnemental, j’ai l’honneur de soumettre à votre Majesté le rapport annuel du Conseil au titre de l’année 2017. Ce rapport comporte l’analyse de la situation économique, sociale et environnementale de notre pays ainsi qu’une revue de l’activité du Conseil au cours de cet exercice. De nombreux évènements majeurs ont caractérisé l’année 2017. Sur le plan régional, et consécutivement à sa réintégration à l’Union Africaine en début d’année, le Maroc a consolidé son engagement envers le continent africain, en présentant officiellement sa demande d’adhésion à la Communauté Economique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).
Quel potentiel le marché des produits halal représente-t-il (réellement) pour le Maroc ? C’est à cette question et d’autres relatives à ce marché que les participants ont tenté de répondre lors d’une conférence-débat tenue récemment à Casablanca. Organisée à l’initiative de la Chambre de commerce britannique au Maroc «Britcham», sur le thème «Le marché des produits halal : quel potentiel pour le Maroc ?», cette rencontre a permis de dresser l’état des lieux du marché halal marocain et d’apprécier à sa juste valeur son potentiel dans un marché international en plein essor.
Conjoncture du 24 au 28 Septembre 2018

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