Conjoncture du 29 Octobre au 02 Novembre 2018



Veille Maraacid


Maroc-Egypte : 505 millions de dollars d’échanges commerciaux en 2017

Les investissements égyptiens au Maroc ont atteint 249 millions de dollars en 2017Le volume des échanges commerciaux entre le Maroc et l’Egypte s’est élevé à plus de 505 millions de dollars en 2017, selon le directeur de la représentation commerciale au ministère égyptien du commerce et de l’industrie, Ahmed Antar qui s’exprimait à l’occasion du troisième Forum international pour le développement et la coexistence entre les peuples (30 et 31 octobre).D’autre part, les investissements égyptiens au Maroc ont atteint 249 millions de dollars en 2017.

El Othmani au Parlement: La Charte d’investissement pour bientôt

Très attendu, le projet de réforme de la Charte d’investissement est en cours de finalisation. Saâdeddine El Othmani a fait savoir que ses équipes ont accéléré la cadence pour l’introduire bientôt dans le circuit d’adoption. En attendant, la priorité est à l’implémentation de la réforme des CRI, afin d’assurer une plus grande efficacité dans l’accompagnement des entreprises et dans l’aplanissement des difficultés auxquelles elles font face.

Ministère fédéral de l'Économie et de l'Énergie - Initiatives pour l’exportation: à la conquête de nouveaux marchés!

Par son offre de promotion des exportations, le BMWi apporte son soutien aux petites et moyennes entreprises dans le cadre de leurs activités d’accès à de nouveaux marchés à l’étranger. L’initiative pour les exportations « Énergie » s’adresse surtout aux petites et moyennes entreprises qui ont leur siège en Allemagne et qui souhaitent accéder à de nouveaux marchés par leur offre de produits et de technologies. L’initiative pour les exportations offre aux petites et moyennes entreprises des modules spécifiques qui les aident de manière ciblée à se positionner sur les marchés étrangers.

Économie européenne et marché intérieur

Dans le cadre de son offre pour la promotion des échanges, le ministère fédéral de l'Économie et de l'Énergie (BMWi) soutient les petites et moyennes entreprises (PME) à pénétrer de nouveaux marchés à l'étranger.Les garanties de crédit à l'exportation de l'État fédéral protègent les exportateurs et les banques contre des créances douteuses dues au contexte économique et politique dans le cadre de transactions avec l'étranger. L'objectif est de renforcer la situation concurrentielle des entreprises allemandes dans de grands projets stratégiques à l'étranger.

En Allemagne, Benchaâboun promeut l’investissement au Maroc

A l'occasion du sommet «Compact With Africa», une initiative organisée par le G20, le ministre de l'Economie a encouragé les entreprises allemandes à investir au Maroc, mettant en avant les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique, de l'électronique et des énergies renouvelables.A l'occasion du sommet « Compact with Africa » organisé par le G20 dans la capitale allemande, le ministre de l'Economie et des Finances a endossé le costume de VRP de l'investissement au Maroc auprès d'entrepreneurs allemands. La délégation du Royaume comprend également le ministre délégué chargé de la coopération africaine, Mohcine Jazouli qui a pris part à un débat consacré à l'engagement du secteur privé en Afrique, Salaheddine Mezouar, président de la CGEM et Ali Zerouali, directeur à l'Agence marocaine des énergies renouvelables (MASEN).

Doing Business: Le Royaume au 60ème rang !

Selon la dernière édition du classement Doing Business de la Banque Mondiale, le Maroc a gagné 9 places pour se hisser à la 60ème place avec un score de 71,02 contre 68,56 une année auparavant. Le Maroc a dépassé les 8 pays qui le devançaient dans le classement 2018, et se retrouve ainsi deuxième du classement dans la région MENA, devancé par les Emirats Arabes Unies (EAU) qui occupe la 11ème place du classement global. Le Royaume est talonné dans la région MENA par le Bahreïn (62e rang).

PLF 2019 : Privatisation, compensation, amnistie : l’explication du texte par Benchaaboun

On espère que la confiance viendra et que la croissance sera au rendez-vous ». C’est par ce vœu que le ministre de l’Économie et des Finances, Mohamed Benchaaboun, a conclu son premier grand oral face aux médias le 23 octobre. Une première intervention à l'occasion de laquelle l’argentier du royaume, accompagné de son directeur du budget, Faouzi Lekjaâ, a insisté sur la « dimension sociale » du projet de loi de finances 2019 (PLF 2019). Une allocution où le ministre a également repris dans les grandes lignes son discours devant le parlement le 22 octobre. Il a évoqué les réalisations qui ont permis à la loi de finances 2018, avant de présenter les grandes orientations de la mouture 2019 du texte.

Emploi: Une énième stratégie

Dans son discours du 20 août, le roi avait insisté sur le soutien à la création d’emplois, l’adéquation entre formation et besoins du marché du travail, l’intensification des programmes actifs d’emploi et d’appui à la médiation, l’amélioration des conditions de travail ainsi que le soutien de la dimension régionale en matière d’insertion.Selon El Othmani, cette nouvelle stratégie verra le jour à l’issue d’un colloque national qui sera organisé en fin d’année pour recueillir les points de vue et les propositions sur ce dossier des plus épineux. Face aux critiques des groupes parlementaires, particulièrement ceux de l’opposition, le chef du gouvernement a promis de passer à l’acte dès l’année prochaine avec l’exécution des mesures prioritaires du programme exécutif du plan national de promotion de l'emploi seront mises, qui avait fait l'objet de la charte signée en avril dernier entre la CGEM, certains départements ministériels et l'Association des régions du Maroc.

Industrie automobile – Renault : Ghosn met le turbo!

Renault a décidé de porter sa capacité de production au Maroc à 500.000 véhicules par an, faisant du Royaume l'un de ses principaux pôles de production. L'extension de la Société marocaine de constructions automobiles (Somaca) permettra de porter à 160.000 véhicules par an la capacité de production annuelle du site à l'horizon 2022, a déclaré récemment le numéro 1 de la marque au losange lors d’une rencontre avec SM le Roi Mohammed VI. Ainsi, la capacité de production de Renault au Maroc atteindra alors 500.000 véhicules, en incluant les 340.000 du site de Tanger.«Nous allons avoir une capacité de production au Maroc de 500.000 voitures par an, faisant du Royaume l'un des principaux pôles de production de Renault, surtout que l'industrie automobile est devenue le premier secteur exportateur au Maroc», a affirmé Ghosn à l’occasion d'une séance plénière tenue dans le cadre de la 11e édition de la World Policy Conference.

Citroën : Deux conventions en faveur des commerçants et professionnels

La marque française veut les faire bénéficier des avantages du BerlingoLa marque française Citroën vient de signer deux conventions avec les commerçants représentés par le Forum national pour le commerce de proximité et le Syndicat national des commerçants et professionnels. L’objectif de ces partenariats est de faire bénéficier entre autres un maximum de commerçants et de professionnels des avantages du Berlingo et de pérenniser la place de ce dernier sur le marché.

Olive de table: La filière conserve toujours en panne

Chaque année à la même époque, le pays fait le point sur sa filière oléicole et les nouvelles côté récolte sont plutôt bonnes. La production de l’olive qui a enregistré un bond de 50% en 2017 affiche de belles perspectives avec une hausse de 22% selon le ministère de l’Agriculture. Une bonne nouvelle pour les agro-industriels? Pas vraiment. Le plan Maroc Vert a certes relancé la production, mais l’impact sur la production destinée à la transformation de la conserve est quasiment nul, constatent les opérateurs. Pourtant, l’activité des olives de table devait en principe, tirer profit de la hausse fulgurante de la production et pulvériser les records. Or, elle arrive à peine à dépasser son volume à l’export d’il y a une décennie. Pis encore, la valorisation a reculé dans cette activité.

Rapport – Le Maroc et l’Afrique du Sud, premières destinations des investissements en Afrique

Le Maroc et l’Afrique du Sud ont été classés les premières destinations des investissements étrangers directs (IED) en Afrique en 2017, selon un rapport publié mardi à Johannesburg. D’après le rapport 2018 publié par Ernst & Young (EY), un des plus importants cabinets d’audit financier et de conseil au monde, le Royaume et l’Afrique du Sud ont attiré chacun 96 projets d’investissements étrangers en 2017. La troisième place revient au Kenya avec 67 projets. L’Egypte vient en sixième position avec 56 projets.

Pourquoi les entreprises casablancaises meurent

En l’espace de 12 ans, la moitié des entreprises casablancaises a disparu! Une entreprise sur 2 atteint le cap de 3 ans et 1 entreprise sur 3 dépasse les 5 ans d’activité. C’est le constat alarmant de la 1re étude du parcours post-création des entreprises créées via le CRI Casa-Settat, menée avec l’assistance technique de la Banque mondiale(1). Objectif: analyser les facteurs influençant le devenir des entreprises et établir un plan d’action détaillé pour renforcer l’écosystème entrepreneurial de la région.

Les transporteurs menacent de bloquer les ports

Après plusieurs faux départs, la Fédération du transport routier aux ports, relevant de la CGEM, a mis à exécution son appel à la grève pour la journée du lundi et mardi 29 et 30 octobre, reconductible jusqu’à ce que le gouvernement s’engage à satisfaire leurs revendications. Pour prouver leur détermination, ils étaient déjà plusieurs à faire le piquet de grève avant-hier dimanche à Safi. «Les grévistes m’ont bloqué un camion avec un chargement de câblage destiné à l’export depuis dimanche à Berrechid en même temps que d’autres poids lourds», enrage un transporteur non gréviste. D’autres camions ont été immobilisés à Fès, Béni Mellal ou Kenitra. L’on rapporte également des cas de caillassage de camions à la sortie d’Agadir, qu’il nous a été difficile de vérifier.

Perspectives économiques: les dirigeants d'entreprises marocaines optimistes

Dans le cadre de son plus récent sondage au Maroc, la firme mondiale de recherche et de conseil a interrogé individuellement 106 cadres supérieurs provenant de tous les types d'industries du pays pour leur poser une série de questions visant à évaluer le climat d'affaires, indique OBG dans un communiqué, notant que les résultats du sondage sont disponibles sur le blog des rédacteurs d'OBG. La perception positive des chefs d'entreprise est corroborée par le nombre important d'entre eux manifestant une forte probabilité de faire des investissements dans le futur : 77% d'entre eux déclarent qu'il est probable ou très probable que leur société réalise un investissement important dans les 12 prochains mois, précise le communiqué. Pour le Directeur éditorial pour l’Afrique du nord, Jaime Pérez-Seoane De Zunzunegui, le Maroc a d'importants défis à relever même si le portrait global semble assez stable. La Banque centrale s'attend à ce que le pays termine l'année 2018 avec une croissance de 3,5%, un chiffre considérable malgré un taux de 4,1% enregistré en 2017.

Energies renouvelables: le modèle marocain mis en exergue au panel de haut-niveau du Global Innovation Index à Genève

La stratégie innovante du Maroc dans le domaine des énergies renouvelables et les réalisations du Royaume en la matière ont été exposées et mises en exergue lors d’un panel de haut-niveau du Global Innovation Index 2018 (GII), organisé lundi au Graduate Institute de Genève, sous le thème: « Innover pour l’avenir de l’énergie ». Lors de ce panel organisé avec le concours de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Omar Zniber, a exposé la politique volontariste de développement du secteur vert dans laquelle le Maroc s’est résolument engagé depuis 2009, conformément aux Hautes directives Royales, afin de sécuriser son approvisionnement en énergie dans un contexte de forte croissance de la demande mondiale.

Le Maroc espère conclure un accord avec le FMI sur une nouvelle ligne de précaution et de liquidité, d’ici fin 2018

Le Maroc prévoit de conclure un accord avec le Fonds monétaire international (FMI) sur une nouvelle ligne de précaution et de liquidité (LPL), d'ici fin 2018, a annoncé le ministre de l'Economie et des Finances, Mohamed Benchaâboun (photo), le 23 octobre.« Nous avons demandé à souscrire à une nouvelle Ligne de précaution et de liquidité, auprès du Fonds monétaire international », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, indiquant que le montant de cette ligne n’a pas été encore déterminé.La ligne de précaution et de liquidité est une facilité de crédit du FMI qui permet d'apporter des financements pour répondre aux besoins réels ou potentiels de balance des paiements des pays qui mènent de bonnes politiques économiques.

Budget 2019 : les entreprises publiques appelées à la rescousse

Dans son projet de Loi de Finances 2019, le gouvernement entend profiter au maximum de la trésorerie de ses entreprises. Il prévoit 11,45 Mds de dirhams de remontées de cash, un chiffre en hausse de 17% par rapport aux prévisions de la Loi de Finances 2018. Les principaux contributeurs sont les mêmes, avec la Conservation foncière qui devra faire remonter 3 Mds de dirhams à l'Etat. L'ANCFCC devrait réaliser un chiffre d'affaires de 6 Mds de dirhams cette année. L'OCP est en deuxième position avec 2,5 Mds de dividendes à remonter en 2019, contre 2 Mds prévus cette année. Bank Al-Maghrib devrait multiplier par 3 sa contribution, qui passerait de 252 MDH cette année à 612 MDH principalement au titre de la commission de change. L'ONDA est, lui aussi, concerné avec 510 MDH contre 520 MDH cette année. L'Office devra remonter du cash malgré ses difficultés de trésorerie.

Logistique : Quel bilan pour la stratégie nationale ? (Entretien)

L’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) et l’Observatoire marocain de la compétitivité logistique (OMCL) ont passé en revue les réalisations du secteur de la logistique au Maroc depuis 2010. Mohamed Yousfi, Directeur général de l’AMDL, revient sur l’état d’avancement des différents chantiers de la stratégie logistique. Selon lui, cette stratégie nationale a un peu de retard, mais elle est sur la bonne voie.

Gestion d’actifs. L’épargnant au cœur des préoccupations

Innover, c’est survivre. C’est le principal message qui ressort de la 2e édition de l’Investment management Forum, tenu ce mercredi à Casablanca. L’événement dédié entièrement à la gestion d’actifs a, en effet, mis l’accent sur les grands défis de ce métier qui connaît un changement profond. «Le changement concerne toute l’industrie, ses infrastructures de gestion et de distribution, de service au client et de communication. Il concerne enfin l’épargnant lui-même, qui devra épargner plus tôt et de manière beaucoup plus éclairée que par le passé», a indiqué Hamid Tawfiki, DG de CDG Capital.

Hausse des prix du carburant. La tutelle reçoit les transporteurs en novembre prochain

Le ministère de l'Equipement, du Transport, de la Logistique et de l'Eau a affirmé qu'une réunion se tiendra en novembre prochain entre les transporteurs routiers des marchandises et le ministère de tutelle pour examiner l'augmentation du prix du gasoil et son impact négatif sur la compétitivité des entreprises du transport. Cette décision a été prise lors d'une rencontre tenue mercredi entre le ministère et les représentants et professionnels de ce secteur, indique ce département dans un communiqué diffusé samedi, précisant que lors de la prochaine réunion décidée après consultation des autres secteurs concernés, des propositions et des solutions seront présentées en réponse aux autres revendications des professionnels relatives au renouvellement du parc de camions et à l'élaboration d'un contrat programme.

Industrie du bois. La filière se relance

La 3e édition du Salon international du bois ouvre ses portes, ce vendredi, à Meknès. En marge de cette édition, les responsables de la Chambre de l’artisanat dans la Région de Fès-Meknès et les professionnels dans les domaines du bois procéderont à la signature de plusieurs conventions de partenariat avec les professionnels de l’Espagne et du Gabon pour la création de réseaux et d'échanges d'expériences entre les pays.Le Salon international du bois profite de la dynamique de la Région de Fès-Meknès qui est considérée comme la première région marocaine de la transformation du bois.

Le Maroc se dote d'une véritable industrie aéronautique

"Le Royaume est doté de tous les atouts de nature à promouvoir le secteur, dont un savoir-faire, de la matière grise et la proximité géographique du plus grand centre de construction des avions (Toulouse)", a-t-il ajouté dans une déclaration à la MAP, en marge de la 6e édition du Salon international de l’aéronautique et du spatial "Marrakech Air Show 2018", une manifestation placée sous le haut patronage du roi Mohammed VI.

Privatisations: Le Trésor tenté par la Bourse

En dehors de l'institution d'un abattement de 50% sur les bénéfices distribués par les Organismes de placement collectif en immobilier (OPCI) aux sociétés actionnaires, le secteur financier est l'un des grands oubliés du projet de budget 2019. Par contre, l'inscription d'un montant de 5 milliards de DH au titre des recettes de privatisation pourrait apporter un peu d'oxygène à la Bourse en particulier.

Le crédit bancaire en hausse de 2,5% à fin août

La distribution des crédits bancaires s’est accrue de 2,5% au cours des huit premiers mois de cette année, avec un encours de 847,755 milliards de DH, selon les dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib. La distribution des crédits bancaires a, en effet, affiché une croissance de 2,5% au cours des huit premiers mois de cette année, avec un encours de 847,755 milliards de DH, selon les dernières statistiques monétaires de Bank Al-Maghrib. Les crédits immobiliers ont, quant à eux, progressé de 3,1% à 263,097 milliards (3% pour les crédits à l'habitat et 1,8% pour les crédits aux promoteurs immobiliers), alors que les comptes débiteurs et crédits de trésorerie se sont redressés à 1,5% avec un encours 173,052de milliards, après -1,9% à fin juillet dernier.

Les opérateurs économiques autrichiens ont une très bonne perception du Maroc

les missions économiques de l’Autriche à l’étranger, c’est-à-dire le Bureau tel que le nôtre (Advantage Austria Maroc), dépendent de la Chambre économique fédérale d’Autriche (WTO). Nous sommes notifiés comme des diplomates et nous sommes présents dans toutes les capitales économiques des territoires couverts par cette institution. En ce qui me concerne, je couvre le Maroc et huit autres pays de l’Afrique de l’Ouest en majorité francophone. Ensuite, nous organisons souvent des missions dédiées à des thèmes tels que l’écologie, le traitement des déchets, l’industrie automobile ou encore l’aéronautique. Au Maghreb, nous organisons des missions économiques qui vont traditionnellement à Alger, puis à Casablanca et à Tunis.
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