Éducation et Formation du 23 au 27 Octobre 2017



Veille Maraacid


Education aux valeurs : Qu’apprend l’école aux enfants?

Si la famille, nucléarisée, a démissionné de sa mission de véhicule de valeurs, d’autres transmetteurs ont pris le relais. Internet, télévision, cinéma, prêcheurs religieux… distillent à longueur de journée des idées, mœurs et conceptions diverses, difficiles à contrôler. Mais qu’en est-il de l’école, cet espace encadré qui fait partie des principaux outils d’éducation aux valeurs? «Elle n’est plus ce sanctuaire dispensant des valeurs, religieuses, nationalistes ou esthétiques homogènes», souligne le sociologue Mohamed-Sghir Janjar. L’école se retrouve, elle aussi, traversée par tous les courants qui se chevauchent au sein de notre société (voir interview ci-contre).

Education aux valeurs : L’école, terrain de dissonances et de conflits

- L’Economiste: L’école tente de transmettre des valeurs, sans y parvenir. Pourquoi cela ne marche-t-il pas? - Mohamed-Sghir Janjar: Si l’école publique ne paraît plus capable de satisfaire la demande sociale en matière de socialisation et de transmission des valeurs, cela est dû aux mutations socioculturelles profondes que nous connaissons. L’école et la famille sont désormais concurrencées par les nouveaux moyens d’information et de communication. Du coup, la socialisation religieuse et la transmission des valeurs se passent, en grande partie, hors du contrôle des institutions traditionnelles (famille, école, mosquée). Elles sont devenues, non seulement individualisées (le jeune face à son écran), mais aussi déterritorialisées.

Christie’s lance sa formule e-learning

Accéder aux prestigieux cours Christie’s se fera désormais d’un simple clic. L’entreprise d’art de renommée internationale lance en effet dès octobre prochain une formation e-learning destinée aux étudiants souhaitant maîtriser les rouages du milieu artistique ou tout simplement en apprendre plus sur son histoire.

La France lance son «Alumni book»

La relation entre les anciens diplômés marocains de l’enseignement supérieur français se renforce. Cela grâce au réseau social France Alumni Maroc dont la cérémonie de lancement officiel a eu lieu, jeudi dernier, à Rabat. «Cet outil numérique permettra aux anciens diplômés de l’enseignement supérieur français de rester en contact, d’échanger, de découvrir aussi des opportunités d’emploi et de stages», indique Jean-François Girault, ambassadeur de France au Maroc.

Mathématiques : Une filière pleine d’avenir... mais qui n’attire pas

L’université Cadi Ayyad à Marrakech vient d’intégrer le Top 300 des meilleurs établissements au monde dans la catégorie mathématiques. Une matière qui peine pourtant à intéresser les étudiants. Entre les différents établissements réunis sous la bannière Cadi Ayyad (UCA), les quelque 120 mathématiciens enseignants chercheurs ont eu une surprise de taille. Le très sérieux classement de Shanghaï vient en effet de placer l’université dans le top 300 des meilleures au monde dans la catégorie mathématiques.

L’EMI veut «se mesurer aux grands»

La plus ancienne et la plus grande école d’ingénieurs au Maroc (près de 500 lauréats par an) ne veut plus se confiner à son environnement local. L’Ecole Mohammadia d’ingénieurs (EMI) souhaite nouer plus de partenariats avec de grandes écoles et universités à l’international. «Nous avons démarré cette expérience en 2014-2015. Cette année, nous visons à aller encore plus loin, afin de pouvoir nous mesurer aux grands», confie son directeur, Mly Larbi Abidi.

Forum international des licences et masters : La formation continue cartonne

L’édition de cette année intervient dans un contexte particulier où le secteur de l’éducation bénéficie d’une nouvelle vision stratégique 2015-2030. L’orientation post-bac, un choix toujours aussi cornélien pour les étudiants. Une multitude de choix de filières, d’écoles et de destinations couplée à un manque d’infrastructure d’orientation en font un véritable casse-tête pour les élèves et leurs parents. Il faut donc s’en remettre aux initiatives extérieures pour choisir sa voie et trouver l’établissement d’études supérieures adéquat.

Toulouse Business School lance son master RH

En ces temps de crise de compétences dans de nombreux secteurs, la fonction RH n’a jamais été autant sollicitée. Engager le bon DRH revêt aujourd’hui un enjeu stratégique. Toulouse Business School (TBS) se positionne sur ce domaine, en lançant un master RH. Pour son nouveau programme, l’école s’est associée à l’un des labels les plus notoires de la place, le cabinet Diorh.

Enseignement numérique et formation par la recherche, un binôme pour innover en école de management

Actuellement, on constate une tendance de certains discours à considérer l’innovation pédagogique et l’activité de recherche en école de management comme deux activités totalement déconnectées ou opposées en termes de résultats et de compétences. Certaines déclarations laissent à penser qu’un « bon chercheur » ne peut pas être un « bon pédagogue », l’activité de publication étoilée étant jugée comme trop chronophage pour consacrer du temps à l’innovation pédagogique ou aboutissant à des résultats intéressant la seule communauté académique.

Institut Mohammed VI de formation des imams : 165 MDH pour un 3e pavillon

Le Roi Mohammed VI, Amir al Mouminine, a inauguré, vendredi 20 octobre au quartier universitaire de Rabat, le projet d’extension de l’Institut Mohammed VI de formation des Imams, morchidines et morchidates. Le ministère des Habous et des Affaires islamiques va dédier 165 millions de dirhams à la réalisation d’un 3e pavillon afin de concrétiser les Hautes instructions Royales relatives à l’élargissement de la capacité d’accueil et d’encadrement de l’Institut. Ce nouveau pavillon comprend un espace pédagogique d’une capacité de 640 sièges, un grand amphithéâtre avec 1.100 sièges, et un espace résidentiel de 350 lits, a précisé le ministre.

L'école et les dangers de la numérisation...

Désormais, dans les écoles, les collèges, les lycées, tout passe par des écrans informatiques : pour enseigner, pour apprendre, pour faire l’appel en classe, pour communiquer avec les familles ou avec l’administration... Toutes les salles de classe sont équipées d'écrans d'ordinateurs : la révolution numérique est en marche et, en une dizaine d'années, tout a changé. Le cahier de textes de la classe est numérique : le professeur indique en ligne tout le travail effectué en classe, les exercices à réaliser, les leçons à apprendre.

Deux ans de formation au Maroc avec recrutement à la clé : 20 bacheliers professionnels décrochent le graal

Vingt bacheliers professionnels des filières de l’enseignement technique et de la formation professionnelle se sont envolés hier soir vers le Royaume Chérifien pour suivre une formation de deux années avant d’intégrer le corps enseignant à leur retour. Tour d’horizon… Ils avaient les mines radieuses hier soir, à l’heure d’embarquer à bord de l’avion qui les emmenaient vers le Royaume du Maroc. Les personnages en question sont vingt jeunes bacheliers professionnels qui ont décroché leurs précieux sésames en juin dernier et qui ont été retenus à l’issue d’un concours rigoureux.

50% des écoles publiques primaires ne disposent pas d'infrastructures minimales

Une classe de 4ème année sur 3 ne dispose pas de matériel didactique minimal pour les élèves. De plus, les élèves des écoles communautaires ont un temps d’enseignement quotidien de 1h08 mn de moins que ce qui est prévu en moyenne dans les écoles publiques. Le taux de 50% des écoles publiques primaires, dont les élèves ne disposent pas d’infrastructures minimales, notamment les sanitaires et la luminosité, tel qu’il ressort de l’enquête sur les indicateurs de prestation de services rendus par les établissements scolaires au Maroc, est assez alarmant et dénote une situation catastrophique constamment dénoncée. L’enquête, présentée mercredi à Rabat par l’Observatoire national de développement humain (ONDH), ayant porté sur un échantillon de 300 écoles publiques et privées aux niveaux rural et urbain, notamment les classes de 4ème année primaire. Le tout relevant des trois régions de Rabat-Salé-Kénitra, Marrakech-Safi et Fès-Meknès.

Le Maroc a réalisé des "progrès énormes" dans le domaine de l'éducation au cours de la dernière décennie, selon l’UNESCO

Le Maroc a réalisé des "progrès énormes" dans le domaine de l'éducation au cours des dix dernières années, a affirmé, jeudi à New York, M. Manos Antoninis, Directeur du Rapport mondial de suivi sur l’éducation, publié cette semaine par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). "Le Maroc est un exemple des pays qui ont fait des progrès énormes dans l’éducation au cours des dix dernières années et initié des réformes sur la problématique de la langue" d’enseignement, a expliqué M. Antoninis, lors d’une conférence de presse au siège des Nations Unies, dédiée à la discussion de l’édition 2017-2018 de ce rapport phare de l’UNESCO.

Regards sur l'éducation 2017 : Les indicateurs de l'OCDE

Regards sur l’éducation : Les indicateurs de l’OCDE est la publication de référence sur l’état de l’éducation dans le monde. Avec plus de 125 graphiques et 145 tableaux, et un corpus encore plus riche de données consultables sur notre base de données consacrée à l’éducation, Regards sur l’éducation 2017 présente des données clés sur : les résultats des établissements d’enseignement ; l’impact de l’apprentissage dans les différents pays ; les ressources financières et humaines investies dans l’éducation ; l’accès, la participation et la progression au sein des systèmes d’éducation ; l’environnement d’apprentissage ; et l’organisation scolaire.

Les politiques éducatives à l'ère du « partenariat »

La notion de « partenariat » s’est, depuis quelques décennies, imposée comme une des formes les plus légitimes pour (re)penser la division du monde social et les oppositions qui le structurent. Elle reflète en même temps qu’elle contribue à produire une remise en cause des clivages traditionnels à l’origine de notre perception du monde. L’approche « partenariale » se propose de concilier les contraires : le public et le privé, le global/national et le local, les pays riches et les pays pauvres, les professionnels et les profanes, etc. Elle prétend rapprocher ce qui est séparé : les États, les services de l’État, les différents niveaux de prise de décision politique, les secteurs administratifs, les institutions, le marché, les disciplines, les professions, les « habitants », etc. L’objectif de notre colloque est de contribuer à une meilleure connaissance de ces politiques éducatives « partenariales » en interrogeant leur genèse et leurs effets en France comme à l’étranger.

Présentation à Rabat des résultats de l’enquête sur les indicateurs de prestation de services rendus par les établissements scolaires au Maroc

Les résultats de l’enquête sur les indicateurs de service de prestation de services rendus par les établissements scolaires au Maroc ont été présentés mercredi à Rabat. L’enquête menée par l’observatoire national du développement humain en partenariat avec la Banque Mondiale permet d’identifier l’origine des contraintes à un service d’éducation de qualité et d’aider à la décision pour l’amélioration de l’efficacité des investissements en éducation. Les informations ont été recueillis auprès d’un échantillon de 300 écoles publiques et privées primaires, ainsi qu’auprès de 1980 enseignants afin de mesurer leur taux d’absentéisme, de 1274 enseignants pour évaluer leurs connaissances et de 2908 élèves de 4ème année du primaire afin d’évaluer les performances scolaires des élèves, selon une note du cadre de l’ONDH.

Absentéisme des profs : «Des sanctions, oui… mais pas en premier recours»

- L’Economiste: Dans une démarche inédite, le ministre marocain de l’Education nationale a décidé de rendre publique la liste des enseignants absents. Que pensez-vous de cette approche? - Anna Cristina D’Addio: Notre rapport souligne qu’il est important de ne pas faire rendre des comptes à des acteurs pour des résultats qui sont au-delà de leur contrôle. De plus il met en évidence que les approches punitives peuvent avoir des effets contraires à leur but initial. Il n’y a pas de meilleure ou pire approche pour rendre des comptes dans l’éducation. Certains mécanismes fonctionnent dans certains contextes mais pas dans d’autres. Ce que nous savons, c’est que les mécanismes de responsabilisation fondés sur des mesures punitives, comme l’imposition de sanctions aux enseignants ou aux écoles pour les résultats d’apprentissage, peuvent se retourner contre eux. Les enseignants devraient être traités en professionnels, en les incluant dans l’élaboration de mécanismes de responsabilité tels que la manière dont les évaluations devraient être formulées et les codes de déontologie élaborés. Toutefois notre étude ne dit pas que les mesures punitives ne devraient jamais être utilisées, mais qu’elles ne devraient pas être utilisées en premier recours.

Enquête : L’enseignement public et ses nombreuses insuffisances

Le secteur de l’éducation public présente des résultats « nettement plus faibles » comparativement au secteur privé, a révélé une enquête menée par l’Observatoire national du développement, en partenariat avec la Banque mondiale. Selon les résultats de l’enquête, présentés mercredi à Rabat, d’importantes différences sont observées dans les résultats d’apprentissage des élèves au niveau national, entre les secteurs public et privé. Les écarts sont tout particulièrement marqués en français et en mathématiques.

5 écoles sur 10 sans sanitaires!

En matière d’enseignement, il faut aussi rendre des comptes. Et cela passe d’abord par les gouvernements. Pointer du doigt les enseignants pour leurs faibles résultats et pour leur absentéisme est à la fois injuste et contre-productif, insistent les auteurs de l’édition 2017/2018 du Rapport mondial de suivi sur l’éducation de l’Unesco (GEM)(1). Des conclusions qui coïncident avec la polémique suscitée par Mohamed Hassad, le ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique suite à ses récentes mesures (publication de la liste des écoles privées qui gonflent les notes de leurs élèves et celle des enseignants absents, www.leconomiste.com).

Hassad menace les directeurs d’établissements privés

Mohamed Hassad, ministre de l'éducation nationale, menace les patrons des écoles privées qui contactent la presse et lui fournissent des informations erronées. Hassad parle de divulguer d'autres scandales et écarts de conduites Hassad, qui intervenait devant la chambre des conseillers, mardi dernier (17 octobre), a fait part de son regret quant aux réactions des professionnels de l'enseignement privé après les sanctions contre une trentaine d'établissements privés. En effet, le ministre avait sanctionné des écoles privées pour avoir gonflé les notes de leurs élèves.

Maths : en quoi consiste la méthode de Singapour que l'on dit miraculeuse?

En France 120 000 écoliers dans 2000 classes, du CP au CM2, étudient les mathématiques avec la méthode de Singapour. Jean-Michel Blanquer veut aller plus loin. Le ministre de l'Education a annoncé jeudi qu'il confiait une mission au député de la République en marche Cédric Villani pour améliorer l'enseignement des maths à l'école. Et il a évoqué la possibilité de s'inspirer de cette méthode pour que la France rattrape son retard dans les classements internationaux.

SM le Roi remet le Prix Mohammed VI aux majors du programme de lutte contre l’analphabétisme

Le programme national de lutte contre l’analphabétisme dans les mosquées a été lancé conformément aux Hautes Instructions royales contenues dans le discours du Souverain à l’occasion du 47e anniversaire de la Révolution du Roi et du peuple (20 août 2000), dans lequel SM le Roi avait ordonné à ce que «les mosquées demeurent ouvertes pour dispenser des cours d’alphabétisation et d’éducation religieuse, civique et sanitaire, selon un programme bien élaboré».

Québec / Le CSE veut briser le moule de l’éducation spécialisée

Le CSE souligne qu'on compose avec des élèves aux profils sociaux différents, de même qu’avec un plus grand nombre d’enfants dont la langue maternelle n’est pas le français. Le faible taux de diplomation et de qualification des élèves handicapés, en difficulté d’apprentissage, issus des milieux défavorisés ou de l’immigration illustre à quel point le modèle actuel a « atteint ses limites » en matière d’inclusion, estime le Conseil supérieur de l’éducation (CSE), qui propose de sortir d’une approche individualisée pour penser plus globalement.

L’évaluation multipoints de vue, une autre façon d’engager l’apprenant dans l’enseignement supérieur

Le rapport 2007 de l’inspection générale de l’administration française de l’éducation nationale et de la recherche portait sur l’amélioration du dispositif d’évaluation à l’université. Dix ans plus tard cette préoccupation persiste. Les formes traditionnelles d’évaluation autour de questions à choix multiples, questions de cours ou d’études de cas limités dans le temps, fortement critiquées par les acteurs, sont toujours d’actualité.

Conseils pratiques pour relancer sa carrière : La recette des DRH

Pour un salarié, maintenir ses compétences à jour est devenu une nécessité. La formation continue diplomante est l’allié indispensable pour rester employable. Mais reprendre les études pour une longue période demande une implication plus importante qu’en formation initiale. Il faut être prêt à investir du temps et de l’énergie dans une formation. «Le temps consacré aux cours doit être aménagé en cohérence avec les obligations professionnelles de l’intéressé et en concertation préalable avec l’employeur», insiste Réda Raissouni, DRH de Mazars. En plus de la gestion du planning, le choix du programme de formation, du moment opportun pour le démarrer ou encore du mode de financement sont des facteurs tout aussi importants à gérer pour réussir son projet d’études. Quelques conseils.

Contrats spéciaux de formation : Etouffés par les procédures!

Sur les 2,3 milliards de DH de la Taxe de formation professionnelle récoltés en 2016, près de 600 millions de DH ont été alloués aux Contrats spéciaux de formation et aux Giac. Mais au final, sur ce montant les entreprises privées n’ont eu droit qu’à 50 millions de DH de remboursements au titre des CSF. Le reliquat des remboursements est chaque année réinjecté à la formation initiale de l’OFPPT. Une perte pour les entreprises qui ont un besoin cruel de mise à niveau de leurs compétences.

L’Université Mohammed V de Rabat se spécialise dans la santé

Pour Saaid Amzazi, président de l’UM5R, la formation continue figure parmi les missions principales de son université, au même titre que la formation initiale et la recherche scientifique - L’Economiste: Que propose l’Université Mohammed V de Rabat en matière de formation continue? - Saaid Amzazi: Nous dispensons actuellement un ensemble de formations diplômantes que nous avons définies de concert avec les partenaires socio-économiques intéressés ou qui nous ont été proposées par une institution afin de répondre à un besoin précis. Pour cette année, nous disposons d’une offre de plus de 110 filières en formation continue, accréditées à l’échelle de l’université, dont 86% délivrent des diplômes d’universités (DU) et le reste des certificats d’université.

Plus de 5.000 cadres formés par l’UIR

En plus de la formation initiale, l’Université internationale de Rabat (UIR) est également engagée dans le chantier de la formation continue. Cela à travers son pôle «Executive Education» comprenant deux centres l’un à Rabat et l’autre à Casablanca. Depuis 2010, plus de 5.000 personnes ont bénéficié de nos programmes Executive masters, licences ou certificats, rappelle Mohamed Abdellaoui, vice-président de l’UIR et aussi DG du pôle «Executive Education».

La formation continue, parent pauvre de l’hôtellerie

Pour la formation de base et professionnelle pour le secteur du tourisme, des objectifs par an ont été définis. L’OFPPT devra porter le nombre de ses lauréats à 73.000 d’ici 2020. Malheureusement, les effectifs issus de la formation professionnelle manquent de pratique sur le terrain et les employeurs sont réticents quant à la formation continue.

Les universités attaquent le marché

Le business de la formation continue intéresse les universités qui s’ouvrent de plus en plus à ce marché. C’est un terrain où elles disposent de sérieux atouts et un moyen d’accroître leurs ressources propres. Aujourd’hui, les universités s’adaptent et proposent des formations en mode présentiel classique, à distance avec des cours accessibles par Internet... Des formules qui permettent de combiner vie professionnelle et les formations.

Formation continue : Les enjeux du nouveau projet de loi

La formation continue dans les entreprises n’est plus un luxe, mais une nécessité pour maintenir le développement des compétences du personnel. Et ce pour leur permettre de rester compétitives dans un marché marqué par une forte évolution technologique qui impacte les process de production et d’organisation.

Injaz Al Maghrib célèbre ses dix ans : 95 000 jeunes formés à l’entrepreneuriat

Créée en 2007 à l’initiative de la SNI et de ses partenaires, Injaz Al Maghrib a formé près de 95 000 jeunes à travers le territoire marocain. Cette association affiliée au leader mondial de la formation à l’entrepreneuriat, Junior Achievement Worldwide (JA Worldwide), et reconnue d’utilité publique, a célébré le 10 octobre dernier son dixième anniversaire. L’occasion était propice pour rendre hommage aux jeunes ayant suivi ses formations et à tous ceux qui ont participé à sa création et son développement. D’ailleurs, l’association continue de fédérer des organes institutionnels et des conseillers bénévoles autour de ses projets au profit des futurs entrepreneurs.

Le roi inaugure le projet d'extension de l’institut Mohammed VI pour la formation des Imams

Le roi Mohammed VI a procédé, ce vendredi 20 octobre au quartier universitaire (Madinate Al Irfane) à Rabat, à l’inauguration du projet d’extension de l’Institut Mohammed VI de formation des Imams, morchidines et morchidates, un établissement dont le rayonnement ne cesse de croître au fil des années. A cette occasion, le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq a prononcé une allocution devant le souverain dans laquelle il a souligné que ce projet intervient en concrétisation des instructions royales relatives à l’élargissement de la capacité d’accueil et d’encadrement de l’Institut afin de lui permettre de mieux répondre aux demandes croissantes formulées par une pléiade de pays, frères et amis.

Le livre scolaire : une marchandisation programmée

Jadis outil unique et presque sacré pour véhiculer les savoirs, le livre scolaire est devenu une marchandise ouverte à l’assouvissement des appétits des marchands de tous bords. Chronique d’une marchandisation programmée. Tout commence avec l’Arrêté N° 001 PM/CAB/DU 04 JAN. 2002 du Premier Ministre portant création, organisation et fonctionnement du Conseil national d’agrément des manuels scolaires et des matériels didactiques. Cet Arrêté est une programmation, volontaire ou non, de la marchandisation du livre scolaire tant sur le plan de la forme que sur le plan du fond.

France/ Universités et grandes écoles : les chantiers de l’année 2018

Dossier spécial. Révolutions technologique, pédagogique, économique… 2018 sera une année charnière pour les établissements de l’enseignement supérieur. Cette année 2018 sera celle du cinquantenaire de Mai 68. Un demi-siècle qui aura vu exploser le nombre d’étudiants – 440 000 en 1967-1968, plus de 2,6 millions en 2017-2018 – et les questions existentielles qui assaillent plus que jamais l’enseignement supérieur français, à la recherche d’une mythique et hypothétique splendeur passée.

Settat : Signature d’une convention de partenariat pour lutter contre l’analphabétisme

L’Université Hassan 1er de Settat et l’Agence nationale de lutte contre l’analphabétisme (ANLCA) ont récemment conclu un accord en vue de mettre en place des programme communs pour lutter contre l’analphabétisme Dans un communiqué parvenu à la MAP, l’Université indique que cette convention signée par le président de l’université, Ahmed Najmeddine et le président de l’ANLCA, Mahmoud Abd Essamih s’inscrit dans le cadre de la politique d’ouverture prônée par l’université. Elle vise également à renforcer la coopération entre les deux institutions dans le domaine de la formation et l’encadrement, ajoute la même source.

Signature à Fès d’une convention de coopération entre l’université Euromed et l’Institut français IDATE

Une convention de coopération a été signée, samedi, entre l’université Euro-méditerranéenne de Fès (UEMF) et l’Institut français IDATE (Digi-World), portant sur la mise en place d’études et de projets pluridisciplinaires sur le numérique. La convention, paraphée par le président de l’université UEMF, Mostapha Bousmina, d’une part, et le directeur général de l’IDATE Digi-World, Jacques Moulin, de l’autre, tend à promouvoir l’économie numérique, à l’échelon africain, et relancer la recherche et le multiculturalisme, grâce à l’implication des étudiants talentueux de l'UEMF et l’expertise des membres de l’institut français, reconnu comme référence internationale dans le domaine du numérique.

Québec / Programme éducatif : les garderies privées réclament un soutien financier

Le projet de loi 143 vise à resserrer le contrôle du gouvernement sur les garderies privées, dans l’objectif de favoriser la réussite scolaire en intervenant auprès des enfants dès leur plus jeune âge. Les garderies privées non subventionnées affirment qu’elles ont besoin d’un soutien financier du gouvernement pour se conformer à ses nouvelles exigences en matière de qualité éducative. « Le ministre nous exige des choses de qualité. Là, à un moment donné, il va falloir qu’il y ait un soutien pour nous », a déclaré la présidente de la Coalition des garderies non subventionnées, Marie-Claude Collin, en entrevue avec Le Devoir.

Les enseignants : des cadres d'exécution plutôt que des cadres de conception

C’est en 1994 que l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), a proclamé le 5 Octobre « Journée Mondiale des Enseignants ». C’est pour célébrer le grand pas effectué en faveur des enseignants le 5 Octobre 1966. En cette date mémorable, une conférence intergouvernementale spéciale, organisée par l’UNESCO à Paris, en coopération avec l’Organisation Internationale du Travail (OIT) a adopté la Recommandation OIT/UNESCO concernant la condition du personnel enseignant. Cette Recommandation constitue le principal cadre de référence portant sur les droits, les devoirs et les responsabilités des enseignants à l’échelle mondiale.

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