Education et formation du 09 au 13 Juillet 2018



Veille Maraacid


Baccalauréat pro, un succès grandissant selon Amzazi

Le ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi, a souligné, lundi à Rabat, que le nombre des candidats au baccalauréat professionnel a augmenté de 15 fois, au titre de l’année scolaire en cours, par rapport à l’année précédente, pour atteindre 2159 candidats.

Le rôle des sciences humaines et sociales en question

Les rôles des sciences humaines et sociales (SHS) dans les sociétés contemporaines devront être repensés eu égard à leur intérêt dans l'épanouissement des individus et dans la critique des phénomènes sociaux a indiqué, mardi à Rabat, le ministre de l'Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi. "Il faut repenser la formation et la recherche universitaires en SHS, notamment à tout ce que pourrait apporter par exemple un rapprochement de la sociologie et du droit avec les neurosciences pour répondre à la problématique de la violence et de la délinquance, ou encore avec les sciences de l’environnement pour trouver des solutions à la question du développement durable et du réchauffement climatique", a affirmé Said Amzazi à l'ouverture d'un atelier organisé sous le thème "Réflexions croisées sur la recherche et la valorisation scientifique en sciences humaines et sociales au Maroc".

Le Centre de développement de carrière de l’ESITH devient ESITH Career Center

Le Centre de Développement de Carrière de l’ESITH change de dénomination et devient ESITH Career Center. La décision de rebaptiser cette structure est d’accompagner la nouvelle vision de l’établissement qui aspire à une plus forte internationalisation et un élargissement du champ d’intervention du Career Center. Un centre qui aura un rôle central à jouer pour la dynamisation du segment entrepreneuriat, notamment avec le lancement prochainement d’un incubateur pour accompagner les ambitions entrepreneuriales de ses lauréats et étudiants.

L’école Sana Val d’Anfa ouvre ses portes

Sana Education, pôle éducation du groupe Saham, ouvre à la prochaine rentrée scolaire 2018-2019 un nouvel établissement : Sana Val d’Anfa. Ce dernier est un établissement de la filière «trilingue d’excellence» proposant un cursus complet de la maternelle au baccalauréat, avec option internationale (BIOF). «Nous formons nos élèves à devenir des adultes responsables et équilibrés, en leur inculquant des valeurs humaines et universelles. Nous sommes pleinement conscients du rôle citoyen de l’école et nous nous engageons à faire naître chez nos élèves l’envie d’entreprendre et de contribuer à bâtir un monde meilleur demain», indique Didier Montant, directeur pédagogique de Sana Education.

Fondation Tanger-Med : Les meilleurs bacheliers de la région récompensés

Le Prix Tanger Med pour l'excellence, dans sa 4e édition, a été décerné, mercredi, par la Fondation Tanger Med aux 10 meilleurs bacheliers de la zone au titre des examens de la session ordinaire de juin 2018. Organisée en partenariat avec l'Académie régionale d'éducation et de la formation (AREF) et les associations des parents d'élèves, cette initiative s'inscrit dans le cadre du programme de soutien de la Fondation Tanger Med à l'éducation et à l'enseignement et vise à remettre des prix d'excellence aux élèves les plus méritants inscrits dans les établissements scolaires relevant des directions provinciales du ministère de l'Éducation nationale de Fahs Anjra, Tanger-Assilah, M’diq-Fnideq et de Tétouan.

Promotion de l’éducation et des droits de l’enfant : La Fondation Mohammed V pour la Solidarité et l’UNICEF unissent leurs expertises

La Fondation Mohammed V pour la Solidarité, vient de signer un mémorandum d’accord de coopération avec le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF). Cet accord porte sur la mise en œuvre de programmes d’actions visant le renforcement des capacités des opérateurs et des partenaires locaux qui interviennent dans la prise en charge des droits des enfants. L’enjeu est de contribuer à une meilleure prise en charge inclusive des enfants issus des milieux défavorisés ou marginalisés. «Ce mémorandum s’inscrit dans le cadre du programme de coopération entre le Royaume du Maroc et l’UNICEF pour la période 2017-2021.

Baccalauréat 2018 : 22%, taux de réussite des candidats détenus

Le nombre de détenus ayant réussi l'examen du baccalauréat (juin-2018) dans les différents établissements pénitentiaires a atteint 168 sur 766 candidats, soit un taux de réussite de 22%, a indiqué la Direction Générale de l'Administration Pénitentiaire et de la Réintégration (DGAPR) Citant les données du ministère de l’Éducation nationale, la DGAPR note, dans un communiqué, que 26pc des candidats ayant réussi leur épreuve ont obtenu une mention assez bien à très bien, ajoutant que 314 détenus, soit 53pc du total des non-admis, passeront le rattrapage.

‎Casablanca : 4 000 jeunes en compétition pour la « Meilleur Junior Entreprise Etudiante »  

Le 27 Juin à Casablanca, INJAZ Al Maghrib a organisé la compétition de la Meilleure Junior Entreprise Etudiante de Casablanca en présence de 21 Junior Entreprises, et un parterre de plus de 510 étudiants, conseillers bénévoles, professeurs, représentants des associations des parents d’étudiants et partenaires d’INJAZ Al-Maghrib . Cette compétition clôture 4 mois intenses d’activités entrepreneuriales des jeunes qui, dans le cadre du Company Program, le programme phare de création et de gestion de Junior Entreprises d’INJAZ Al-Maghrib, ont conçu leur projet d’entreprise, marketé et vendu leur produit ou service et pour finir, vont présenter le jour de la compétition, leur Junior Entreprise à un jury de professionnels.

Filières en vogue : Le digital bouscule les codes

Cette décennie est marquée par une numérisation accélérée dans le monde entier. Le Maroc n’est pas en reste. Cette digitalisation a chamboulé le fonctionnement des entreprises en redéfinissant ces priorités et en créant de nouveaux besoins. Alors que les sociétés sont amenées à se transformer, les établissements d’enseignement supérieur eux se doivent de former des profils plus adaptés à cet environnement. «Aujourd’hui, les employeurs sont très intéressés par des profils qui sont à même de résoudre des problèmes, qui portent hautement la valeur du travail, engagés, autonomes, et qui apportent une valeur ajoutée à l’équipe», souligne Amine Bensaid, président de l’Université Mundiapolis.

Bac en poche, que faire? - Facs de droit : On peut faire mieux, si seulement…

Avec des ratios allant de 93 à 300 étudiants par prof, les trois facultés de droit n’ont que peu de marge pour innover et améliorer la qualité de leurs prestations. D’où la proposition du président de l’université de Casablanca, Driss Mansouri, de permettre la participation financière des parents, et d’autoriser les universités à engager des contractuels. Des idées, les facultés de droit n’en manquent pas. Cependant, elles ne possèdent pas les moyens de leurs ambitions. Les trois facs de Casablanca (Route El Jadida, Aïn Sebaâ et Mohammedia), par exemple, reçoivent la moitié des étudiants de l’université Hassan II, qui compte 18 établissements.

Bac en poche, que faire? / Facs de droit : Un choix qui peut vous emmener très loin

Combien de fois a-t-on entendu cette phrase: «Je n’ai pas d’alternative, je m’inscris à la fac». Les facultés à accès ouvert, n’imposant pratiquement aucun critère de sélection, sont le premier refuge des nouveaux bacheliers. Le plus souvent, il s’agit d’un choix par défaut, que la majorité n’opère pas de gaieté de cœur, même si, en réalité, les débouchés peuvent être très alléchants. Les facultés des sciences juridiques, économiques et sociales (FSJES), dites de droit, à elles seules, reçoivent la moitié des flux. Ce sont donc elles qui subissent le plus de pressions. Choisies faute de trouver mieux, surpeuplées (un siège pour 9 étudiants à Tanger), proposant souvent un enseignement en langue française alors que les étudiants sont plus arabophones, elles peinent à améliorer leur rendement.

Bac 2018 : On revient de loin!

C’est un record absolu. Presque 6 candidats sur 10 ont réussi leur examen du baccalauréat dès la première session cette année (57,3% contre 50,2 un an plus tôt). Inimaginable il y a encore quelques années, où seuls 3 sur 10, voire 2 sur 10 candidats y arrivaient. Le total est de 187.138 nouveaux bacheliers, public et privé confondus. La moitié (49,5%) a réussi avec mention. La meilleure note a été décrochée par un jeune homme scolarisé dans un établissement privé de Marrakech (La Fontaine), Nacer Naït Ali. Le major de cette édition, inscrit en sciences physiques, section internationale option français, a obtenu la moyenne de 19,44 sur 20.

QS Ranking 2019 : Al Akhawayn 1ère université au Maghreb

L’Université Al Akhawayn à Ifrane a été classée par le QS Ranking 2019, 1ère université Marocaine pour la 4ème année consécutive et 1ère université au Maghreb pour l’année 2018. Près de 4 756 institutions, réparties sur les différents continents, ont été évaluées cette année selon plusieurs critères dont le jugement des pairs, le jugement des recruteurs, le rapport enseignants-étudiants, qualité de la recherche, attractivité pour les enseignants, et l’attractivité pour les étudiants, indique un communiqué de l’université.

Le Royaume a réalisé un progrès important dans la diminution du taux de décrochage scolaire

Le Royaume a réalisé un progrès important en matière de lutte contre le décrochage scolaire, en particulier au niveau du cycle primaire, et le gouvernement œuvre à faire face aux problématiques et aux défis qui se posent encore, a indiqué, jeudi à Rabat, le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi. Le taux de décrochage scolaire national a baissé à moins de 2% au niveau du cycle primaire, a précisé M. El Khalfi lors d’un point de presse à l’issue du conseil de gouvernement, ajoutant que ce taux demeure élevé dans certaines régions pour des raisons liées au transport scolaire et d’autres facteurs que le gouvernement œuvre à contrecarrer.

Formation professionnelle : Où sont les passerelles?

La mise en place d’un système de passerelles entre la formation professionnelle (FP) et l’enseignement général figure parmi les recommandations de la Vision stratégique de l’enseignement 2015-2030. Une mesure qui devrait permettre aux lauréats de la FP de poursuivre leurs études dans l’enseignement général du qualifiant, collèges et lycées, jusqu’au supérieur. «Notre ministère a déployé un plan d’action qui comporte, entre autres, la création de parcours professionnels dans les collèges et des filières de baccalauréat professionnel dans les lycées en partenariat avec les organismes de la FP et les fédérations professionnelles», rappelle Saïd Amzazi, ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle et de l’enseignement supérieur.

Formation professionnelle : On fabrique toujours des inadaptés...

Pleins feux sur le système de formation professionnelle (FP) qui fait, depuis un certain temps, l’objet de critiques. Certes, sur le plan quantitatif, il a enregistré durant ces dernières années un accroissement soutenu au niveau du nombre des lauréats des centres de l’OFPPT. En effet, la capacité d’accueil est passée de 371.000 places en 2014-2015 à près de 600.000 places cette année. Toutefois, en dépit de ces scores, on reproche à ce système de former des jeunes qui n’arrivent pas facilement à intégrer le marché de l’emploi. Un constat soulevé dernièrement par le Haut commissariat au plan, dont la dernière étude tire à boulets rouges sur l’Office. «Les lauréats de la formation professionnelle ont plus de difficultés à intégrer le marché du travail que les lauréats de l’enseignement général».

Le pôle éducation du Groupe Saham ouvre un nouvel établissement à Casablanca

Sana Education, pôle éducation du Groupe Saham, annonce l'ouverture, à la prochaine rentrée scolaire 2018-2019, d'un nouvel établissement "Sana Val d’Anfa". Sana Val d’Anfa est un établissement de la filière "trilingue d’excellence" de Sana Education, proposant un cursus complet de la maternelle au baccalauréat. L’école permet à ses élèves de passer un baccalauréat marocain avec option internationale (BIOF).

Gouvernement : enseignement primaire, réforme des CRI et nominations à de hautes fonctions... à l'ordre du jour

Un Conseil de gouvernement se tiendra jeudi sous la présidence du chef de l'Exécutif Saâd-Eddine El Othmani. En voici l'ordre du jour. Selon un communiqué du département du chef du gouvernement, le Conseil examinera au début de ses travaux un exposé du ministre de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique sur le programme national de généralisation et de développement de l'enseignement primaire.

Rentrée scolaire : 87 établissements de plus au Maroc

Le ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Said Amzazi, a annoncé la création, au titre de l’année scolaire 2018-2019, de 87 établissements scolaires relevant des cycles primaire, secondaire collégial et secondaire qualifiant, dont 37 en milieu rural. Intervenant à la chambre des représentants, Amzazi a fait savoir qu’il s’agit de 38 établissements d’enseignement primaire (14 en milieu rural) en sus de 10 écoles communautaires, de 29 établissements d’enseignement secondaire collégial (15 en milieu rural) et de 20 établissements d’enseignement secondaire qualifiant (8 en milieu rural).

Une école maternelle marocaine célèbre l’Afrique  

« La Prairie célèbre l’Afrique » est un événement annuel initié par l’école maternelle La Prairie. Cet établissement envoie un signal fort dans le pays. Elle rappelle que le continent africain, comme espace culturel dans lequel évolue le Maroc et sur lequel il mise pour son développement, doit être bien intégré dans la pensée des Marocain dès le plus jeune âge. Les organisateurs de l’évènement l’ont bien compris et se fixent comme objectif principal la sensibiliser des élèves de la TPS à la 6èmesur les valeurs d’unités et de solidarité. Dans cet esprit, tout au long de l’année scolaire, les élèves de la Maternelle jusqu’au Primaire bénéficient d’un savoir diversifié via l’élaboration de travaux pédagogiques et artistiques en classe, autour d’un pays africain de leur choix.

L’Université Privée de Marrakech fait sa tournée

L’université pluridisciplinaire de Marrakech part à la rencontre des jeunes bacheliers et de leurs parents dans plusieurs villes. L’UPM se rendra, du 2 au 7 juillet prochain, à Agadir, Béni Mellal, Casablanca, Rabat, Essaouira, Ouarzazate, Fés et El Jadida. Cette caravane a pour but d’orienter les jeunes dans leur choix d’études et leur avenir professionnel, mais aussi pour décliner l’offre de formation proposée par l’établissement et les différentes solutions proposées pour le financement des études.

L’offre universitaire sera renforcée

L’annonce en a été faite par le ministre de l’Education nationale, Saaïd Amzazi, qui intervenait lundi dernier au Parlement. Plusieurs établissements et complexes universitaires sont ainsi programmés dans une dizaine de villes, dont Al Hoceima, Taza, Sefrou, Berkane, Laayoune, Dakhla...

Rendre l’éducation « expérientielle » avec l’aide de la réalité virtuelle

Depuis le mot célèbre de Freud, c’est un poncif que de qualifier l’enseignement de « métier impossible ». Cependant, les révolutions récentes ayant touché le système éducatif font qu’une telle affirmation… n’a sans doute jamais été aussi vraie. Du fait d’abord de la massification de l’enseignement, en forte accélération au cours des dernières années. Sans parler de la règle qui veut qu’en France, il faut désormais amener 85 % d’une classe d’âge au baccalauréat, ce sont aujourd’hui des millions d’Indiens et de Chinois qui accèdent à l’enseignement supérieur. De fait, ensuite, de la disponibilité immédiate des savoirs : tout ce qui est dit peut instantanément être vérifié. Ainsi, l’enseignant qui commet une erreur dans une salle de classe a toutes les chances de voir rapidement celle-ci pointée du doigt par l’un de ses élèves qui auront consulté Google.

Formation des profs : Amzazi veut en finir avec la méthode «cocotte-minute»

Nous vous l'annoncions il y a deux jours (voir L'Economiste N° 5301 du 26 juin 2018), le ministère de l’Education nationale a élaboré un nouveau programme de formation des enseignants du primaire et du secondaire. Cette nouvelle démarche a été présentée, mercredi dernier, au Conseil supérieur de l’éducation et de la formation, dans le cadre d’une séance d’audition et d’interaction. Cette instance, présidée par Omar Azzimane, avait multiplié les appels pour accélérer la mise à niveau de la formation du corps éducatif. «Cette question constitue aujourd’hui un véritable défi transversal, pour assurer la qualité des apprentissages au sein de l’école marocaine. Elle traverse l’ensemble des actions que nous aurons à engager, et de ce fait, elle doit fédérer l’ensemble des acteurs de l’éducation», a expliqué Azzimane.

Inégalités scolaires, le problème à l'envers

Les inégalités scolaires ne datent malheureusement pas d’aujourd’hui. Depuis toujours on entend que les enfants issus des classes populaires réussissent moins bien dans les études supérieures que les enfants des classes favorisées. Alors il est temps de se pencher sur les chiffres. Selon le Ministère de l’Education Nationale, en 2014, 30% des étudiants français sont fils de cadres. Ce chiffre monte même à 46% dans les écoles d’ingénieurs qui comptent seulement 6% de fils d’ouvriers. Une statistique plutôt surprenante quand on sait que les cadres représentent seulement 17% de la population active (et on ne prend même pas en compte l’évolution du nombre d’enfants par foyer en fonction de la catégorie sociale).

Campus Mag et Le Monde organisent un salon des études supérieures à Casablanca

Organisé par le groupe Le Monde et Campus Mag, avec le soutien de Campus France Maroc, Campus fair est un événement unique en son genre. Il s’adresse aux élèves de première et de terminale, aux étudiants des classes préparatoires et de niveau Bac +2 ou Licence, aux parents désireux de rencontrer des représentants d’établissements supérieurs et obtenir des informations pour leurs enfants, et aussi aux jeunes actifs souhaitant renforcer leurs compétences managériales et enrichir leur expertise.

Année scolaire 2018-2019 : Création de 87 établissements scolaires, tous cycles confondus (M. Amzazi)

Le ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Said Amzazi, a annoncé, lundi à Rabat, la création, au titre de l’année scolaire 2018-2019, de 87 établissements scolaires relevant des cycles primaire, secondaire collégial et secondaire qualifiant, dont 37 en milieu rural.

Noter ou ne pas noter à l’école ? Et si nous nous trompions de question ?

D’un côté, on la condamne, car non seulement elle serait subjective, mais elle démotiverait les élèves, les humilierait, et servirait des finalités telles que la préservation des élites ou le maintien d’un pouvoir de l’enseignant sur sa classe. De l’autre, on la plébiscite, arguant notamment qu’elle donnerait des messages clairs, participerait à encourager une émulation au travail et récompenserait les méritants. Ces arguments, qu’ils soient représentatifs d’idées reçues ou issus de résultats de recherches, sont selon nous aujourd’hui devenus des poncifs qu’il s’agit de dépasser. Ultime déclinaison de cet affrontement, se demander s’il faut garder ou remplacer la note à l’école par un système alternatif est aujourd’hui un faux problème. Explications.

Des lauréats de l’Ecole Mohammed VI de Formation à l’honneur à Abidjan

Des attestations de fin de formation ont été remises, vendredi 6 juillet 2018 à Abidjan, à une quinzaine d’étudiants ivoiriens qui ont bouclé leur cursus académique à l’Ecole Mohammed VI de Formation dans les Métiers du Bâtiment et des Travaux Publics (EMFMBTP) – Settat. Une cérémonie s’est déroulée en effet au Centre multisectoriel de formation professionnelle « Mohammed VI » de Yopougon, inauguré le 27 novembre dernier par le Roi Mohammed VI à l’occasion d’une visite de travail et d’amitié du Souverain en Côte d’Ivoire. Les étudiants bénéficiaires, dont 13 ont déjà trouvé un emploi, ont bénéficié d’une formation de 11 mois, dont 3 mois en entreprise, portant sur la « Mécanique générale » et les « Véhicules et engins lourds ».

Primaire, secondaire... l'enseignement scolaire britannique en force au Maroc

Le Maroc et le Royaume-Uni ont signé, jeudi à Londres, un accord visant à fixer les conditions régissant la création des écoles britanniques au Maroc. L'accord stipule que "l’école britannique" au Maroc offre un programme suivant le modèle de l’enseignement britannique. Détails. Signée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita et son homologue britannique, le Secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et au Commonwealth, Boris Johnson, en marge de la première session du dialogue stratégique Maroc-Royaume Uni, cet accord est une reconnaissance de l'excellence des relations de longue date unissant Rabat et Londres.

Promotion de l'éducation : La Fondation Mohammed V pour la Solidarité et l'UNICEF unissent leurs expertises

La Fondation Mohammed V pour la Solidarité et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) ont signé un mémorandum d’accord de coopération pour la promotion de l’éducation et des droits de l’enfant au Maroc, indique un communiqué conjoint de la Fondation et l'UNICEF, parvenu vendredi à la MAP. La Fondation Mohammed V pour la Solidarité, représentée par les membres de son conseil d’administration MM. Mohamed El Azami et Azeddine Benmoussa, et l'UNICEF, représentée par Mme Regina Dominicis, représentante du Fonds au Maroc, ont entériné ce mémorandum d’accord qui porte sur la mise en œuvre de programmes d’actions visant le renforcement des capacités des opérateurs et des partenaires locaux qui interviennent dans la prise en charge des droits des enfants, ajoute le communiqué.

Maroc/Unicef : Un accord à 6 axes signé

La Fondation Mohamed V pour la Solidarité, représentée par les membres de son Conseil d’Administration M. El Azami et M. Benmoussa, et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), représentéMme Regina Dominicis, Représentante de l’UNICEF au Maroc, ont entériné un mémorandum d’accord de coopération. Celui-ci porte sur la mise en œuvrede programmes d’actions visant le renforcement des capacités des opérateurs et des partenaires locaux qui interviennent dans la prise en charge des droits des enfants. L’enjeu est de contribuer à une meilleure prise en charge inclusive des enfants issus des milieux défavorisés ou marginalisés.
Education et formation du 09 au 13 Juillet 2018

Inscription à la newsletter







CND en photos
20150226_100815
abh
maraacid
20150226_101251
20150226_100556
rofoof






PageRank Actuel

Choisir votre langue