Education et formation du 22 au 26 Octobre 2018



Veille Maraacid


Où sont les MOOC à succès ? Pas là où vous les attendiez

Si les MOOC universitaires ne révolutionnent pas l'institution, d'autres MOOC s'avèrent efficaces et sources de plaisir. Parcours guidé. Dès la fin de l’été 2018, on a vu apparaître dans la presse en ligne francophone des articles péremptoires sur la mort des MOOC. Tous écrits par de fins observateurs et praticiens de l’enseignement académique, ayant produit des MOOC pour différentes universités.

Le projet de loi-cadre relatif au système d’éducation et de formation, un acquis législatif sans précédent (M. El Othmani)

Le Chef du gouvernement, Saâd Eddine El Othmani a indiqué, mardi à Rabat, que le projet de loi-cadre relatif au système d’éducation et de formation constituerait, une fois adopté, un acquis législatif sans précédent pour le Royaume. Intervenant lors d’un séminaire organisé par la Chambre des représentants sur le projet de loi-cadre relatif au système de l’éducation, de l’enseignement, de la formation et de la recherche scientifique, M. El Othmani a souligné que ce projet revêt une grande importance et se base sur la Vision stratégique 2015-2030 visant à assurer l’équité et l’égalité des chances, en vue de garantir un enseignement de qualité pour tous.

Grandes écoles. 300 bourses pour les études en France

Le programme d’excellence franco-marocain de bourses pour les grandes écoles françaises se renforce. Désormais, 300 étudiants, issus du réseau marocain de classes préparatoires, recevront le statut de boursier du gouvernement français. De fait, une convention a été signée récemment entre Saaid Amzazi, ministre de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et Jean-François Girault, ambassadeur de France au Maroc. Ces bourses concernent les études dans des écoles prestigieuses, telles que l’École Polytechnique, l’école Normale Supérieure, l’école des Mines ParisTech, Centrale Paris et Telecom ParisTech.

Le Gouvernement valide le système des écoles britanniques

Le Conseil de gouvernement, réuni ce jeudi a approuvé le projet de loi N° 90.18 portant approbation de l'accord relatif au système des écoles britanniques au Maroc, signé le 5 juillet 2018 à Londres, entre les gouvernements du royaume du Maroc et du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord, qui a été présenté par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale. L'accord vise à renforcer les relations de coopération dans le domaine d'enseignement ainsi qu'à promouvoir la culture et la langue des deux pays, a indiqué le ministre délégué chargé des relations avec le Parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, dans un communiqué lu lors d'un point de presse à l'issue du Conseil de gouvernement.

Les MOOCs sont-ils une bonne alternative à l’enseignement traditionnel ?

MOOC. Le terme est apparu en 2013 et il a rapidement fait le buzz. Cet acronyme nous vient de l'anglais Massive Open Online Course, comprenez «  cours en ligne ouvert à tous ». Mais aujourd'hui, le concept semble peiner à prendre son envol. Traditionnellement, lorsque l'on pense enseignement, on s'imagine sur les bancs d'une école, face à un professeur. Mais ce monde dans lequel il suffisait d'être formé pendant quelques années de notre enfance pour vivre et travailler toute une vie ensuite n'existe plus. Il a laissé la place à un monde plus dynamique dans lequel il est presque devenu indispensable d'apprendre de nouvelles choses quotidiennement. Grâce à des MOOCs, notamment.

5 raisons pour lesquelles l’éducation des filles est un investissement intelligent  

Nous savons que l'éducation des filles est un bon investissement, et les données le prouvent. Voici 5 raisons pour lesquelles l’éducation des filles est un investissement judicieux : Elle permet de sauver des vies : 190 000 mères pourraient être sauvées si elles achevaient toutes leurs études primaires. Elle garantit des revenus plus élevés : les femmes ayant fait des études du niveau du primaire (partielles ou complètes) gagnent jusqu'à 20 % de plus que celles qui n'ont aucune éducation. Les femmes ayant fait des études secondaires peuvent s'attendre à gagner presque deux fois plus et celles ayant fait des études supérieures près de trois fois plus que celles n'ayant pas fait d'études.

Voici pourquoi une délégation américaine se rend au Maroc

Une délégation américaine de la "Stevens Initiative", un projet éducatif baptisé du nom du défunt ambassadeur US Chris Stevens, décédé lors d'un attentat en Libye, et dont le Maroc est l'un des principaux partenaires, effectue cette semaine une visite dans le Royaume. Détails. "Nous sommes très reconnaissants pour le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le partenariat du Maroc dans cette initiative", a affirmé Mohamed Abdel-Kader, Directeur exécutif de la "Stevens Initiative", dans une interview à la MAP à la veille de son voyage au Maroc, avec le Vice-président exécutif de l'Aspen Institute, Elliot Gerson.

Un statut de "conducteur éducatif" pour sécuriser les transports scolaires

Une convention de partenariat a été signée ce jeudi à Rabat entre le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique, la Fédération du transport et de la logistique et l'Alliance de l'enseignement privé au Maroc, avec comme objectif le renforcement des capacités des employés du transport scolaire. Cette convention signée lors d'une cérémonie présidée par le ministre de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Saaid Amzazi, et le secrétaire d’État chargé de la formation professionnelle, Mohamed El Gharass, vise à consolider les capacités et les compétences de cette catégorie d'employés, en particulier les conducteurs de bus scolaires, et d'assurer les meilleures conditions de transport des élèves.

Audit et conception de SI : L’ISGA lance un master inédit

ACSI est le deuxième parcours inédit proposé par l’ISGA cette année, après le master en Cyber-Défense et Sécurité de l’Information, ouvert à la rentrée. L’école propose au total trois spécialités en informatique et quatre en management. Ses cinq campus accueillent près de 1.700 étudiants. MIAGE. Ce sigle ne vous parle sans doute pas, mais en France, il s’agit d’un parcours très prisé de Méthodes informatiques appliquées à la gestion d’entreprise, géré par un réseau de 20 universités. L’ISGA propose cette spécialité alliant management et informatique depuis près de 10 ans, en partenariat avec l’université de Lorraine. Cette année, pour la première fois, l’école d’ingénieurs lance une filière inédite au Maroc en MIAGE, le master Audit et conception des systèmes d’information (ACSI).

L’université de Tanger se développe en région

L’Offre de formation universitaire continue de s’étendre au niveau de la région Nord. Cette rentrée, c’était au tour de la ville de Ksar Kébir de se doter d’une annexe de la faculté de droit, rattachée à l’Université Abdelmalek Essaidi. Les étudiants de la première année en droit arabe sont accueillis cette année dans un amphi aménagé au sein de la maison des jeunes de Ksar Kébir, avec une capacité pour 500 étudiants. A moyen terme, la ville devrait accueillir une faculté avec la collaboration de la municipalité et des autorités locales. «Nous prévoyons d’installer à l’horizon 2020 une faculté polydisciplinaire. Un terrain de 8 hectares a déjà été identifié», annonce Hodaifa Ameziane, président de l’Université. L’investissement prévu étant de 125 millions de DH.

Education préscolaire : Care sensibilise les parents

Care International Maroc clôturera le 23 octobre son programme REUSSIR. Un ambitieux projet qui a permis d’équiper 39 écoles en matériel pédagogique et de former près de 650 parents d’élèves à accompagner activement leurs enfants dans leurs études. Améliorer la qualité de l’enseignement préscolaire en agissant sur le volet matériel mais aussi humain. C’est dans cette optique que Care International Maroc clôturera le 23 octobre son programme sobrement baptisé «REUSSIR». Une initiative originale et ambitieuse entamée il y a plus de trois ans et qui devrait contribuer à augmenter les chances de réussite scolaire de plusieurs milliers d’élèves.

L'enseignement supérieur ne réduit pas les inégalités sociales

" La part des bacheliers 2008 ayant atteint ou dépassé un niveau bac + 5 atteint 32 %. Elle est supérieure de 6 points à celles des bacheliers 2002", établit une nouvelle Note du ministère de l'enseignement supérieur. "Parallèlement, la proportion de bacheliers entrés dans le supérieur et sortis sans diplôme est restée stable à environ 20 %". Mais "ces résultats masquent de fortes disparités entre types ou séries de baccalauréat, ou encore selon le niveau scolaire à la sortie du lycée et selon l’origine sociale". La Note établit que "15 % des bacheliers généraux entrés dans le supérieur en sortent non diplômés, mais 28 % des bacheliers technologiques et 50 % des bacheliers professionnels.

Allemand : L'autonomie dans le système scolaire allemand

" Cette formation à l'autonomie est mise en œuvre dès le plus jeune âge. Ainsi dans le jardin d’enfants que nous avons visité, les enfants de 6 mois à 6 ans sont répartis dans cinq groupes d’une quinzaine d’enfants pris en charge par un éducateur spécialisé et deux auxiliaires. A la différence des maternelles françaises, dans chaque groupe, hormis pour les tout petits (moins de un an), cette autonomie peut conduire à ce que deux enfants puissent en toute liberté, sans être accompagnés par le regard ou les conseils d’un adulte, faire toute activité de leur choix dans les espaces intérieurs, mais aussi à l’extérieur dans le jardin qui est bien entendu sécurisé". L'académie de Versailles publie le compte rendu d'un voyage d'étude en Allemagne mené par une principale et deux inspectrices avec un objet d'étude : l'autonomie dans le système scolaire allemand.

Un programme réservé aux étudiants marocains ayant effectué leur scolarité dans une CPGE

Le ministre de l’Éducation nationale Saaïd Amzazi et l’ambassadeur de France au Maroc Jean-François Girault ont signé, vendredi 12 octobre à Rabat, une convention de partenariat pour mettre en place un programme de bourses accordées aux étudiants marocains admis aux grandes écoles françaises. Selon un communiqué du ministère de l’Éducation nationale, ce programme assurera à chaque étudiant bénéficiaire une bourse de mérite, composée d’une allocation mensuelle de 5.000 dirhams pendant 10 mois par année académique, en plus d’une participation annuelle aux frais de scolarité d’un montant de 6.000 dirhams. Celle-ci sera allouée aux bénéficiaires pendant les trois années de leur cursus au sein d’une école en France.

Équité à l'école : la France, toujours mauvaise élève

En France, un enfant ayant des parents avec un niveau d’éducation élevé a 14 fois plus de chances d’obtenir à son tour un diplôme du supérieur que ses camarades. Selon un nouveau rapport de l’OCDE, la France a encore de gros progrès à faire pour gommer les inégalités socio-économiques dans le milieu scolaire : elle n’a fait aucun progrès entre 2006 et 2015. À l’école, les élèves français n’ont pas les mêmes chances d’apprendre selon qu’ils viennent d’un milieu plus ou moins favorisé, souligne une étude de l’OCDE publiée ce mardi. Selon cette enquête, en France, le lien entre milieu social et performance est en effet parmi l’un des plus élevés des pays de l’OCDE.

L’éducation au Canada plus équitable que dans les autres pays de l’OCDE

À travers le monde, la réussite scolaire d’un enfant se mesure encore trop souvent en fonction de son code postal. Mais le Canada fait partie des pays où les iniquités socio-économiques ont le moins d’impact sur la réussite éducative, note un nouveau rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Le statut économique d’une famille a « une grande influence » sur la performance des enfants en science, en lecture et en mathématique, constate l’OCDE, qui a analysé les résultats de l’enquête PISA, administrée aux élèves d’une quarantaine de pays du monde en 2015.

La coopération universitaire

La coopération universitaire franco-vietnamienne est très dynamique avec près d’une centaine de formations françaises délocalisées qui accueillent chaque année plus de 3 000 étudiants, faisant du Vietnam le 4e pays en volume d’étudiants inscrits dans des filières délocalisées, derrière la Chine, le Liban et le Maroc. Depuis 25 ans, la France a mis en place en partenariat avec le Vietnam plusieurs projets qui structurent la coopération universitaire : le Centre franco-vietnamien de formation à la gestion à Hanoï et Hô Chi Minh-Ville, le Programme de formation d’ingénieurs d’excellence au Vietnam à Hanoï, Da Nang et Hô Chi Minh-Ville et l’Université des sciences et technologies de Hanoï.

5 solutions efficaces pour se former à distance sans quitter son job !

La formation à distance, couramment appelée “cours par correspondance, permet de suivre des formations en ligne depuis son ordinateur, sans bouger de chez soi. Et les possibilités de formation sont désormais multiples. C’est bien simple, vous pouvez presque passer tous les diplômes possibles et inimaginables de chez vous : CAP, Bac, BTS, Licence, Master, Doctorat… Mais vous pouvez aussi vous préparer à des concours ou même simplement vous remettre à niveau.

Enseignement numérique : à Casablanca, l’appel d’air des cursus français

Des grandes écoles et universités se sont installées au Maroc, le royaume cherchant à former des ingénieurs pour les besoins de son économie. Dauphine, l’Essec, l’EM Lyon, Centrale, l’Eigsi ont toutes participé à la rentrée universitaire marocaine sous le soleil de Casablanca ou de Fès. Le savoir-faire pédagogique de grandes écoles et d’universités françaises – et leur installation sur place – est censé freiner la fuite des jeunes cerveaux de l’Etat chérifien vers l’Europe. Mais près de 40 000 d’entre eux (39 855 exactement), en 2018, ont encore traversé la Méditerranée pour étudier en France. C’est le plus fort contingent d’étudiants internationaux dans l’Hexagone ; ils étaient 36 000 en 2017. L’hémorragie des futures élites marocaines n’est pas suturée.

Formation continue : L’UIR lance une nouvelle certification

Un bonus pour la 11e édition du forum Medays, prévu du 7 au 10 novembre prochain à Tanger. L’organisateur, l’Institut Medays, y prévoit une formation certifiante pour une meilleure compréhension des enjeux de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest). Le certificat, monté avec l’Université internationale de Rabat (UIR), à travers son pôle Sciences Po, est destiné aux cadres, investisseurs, entrepreneurs, acteurs de la société civile, et même aux particuliers. La formation sera assurée par plusieurs intervenants, dont Abdou Diop, directeur associé du cabinet Mazars, Yousra Abourabi, professeure assistante en relations internationales à l’UIR- Sciences Po Rabat, et Kofi Bentsi Bentil, vice-président du centre Imani pour les politiques publiques et l’éducation du Ghana. La date limite des inscriptions est fixée au 31 octobre 2018.

Formation professionnelle : Les pièges à éviter

La formation professionnelle au Maroc est inégalitaire, inefficace et coûte cher. Alors que le gouvernement promet d’engager une transformation profonde, Amine Benabid, fondateur du réseau Stratégie Pro formule dans cet entretien quelques recommandations.

Expertise informatique : La 1re école Epitech s'implante à Casablanca

Dès la rentrée 2019, le groupe Epitech ouvrira sa première école éponyme à Casablanca, la 1re du genre en Afrique. L'école française d'expertise en informatique de renom est déjà implantée dans quatre grandes villes européennes (Barcelone, Berlin, Bruxelles et Genève). Son management vient de signer, lundi 15 octobre, un protocole d'accord en vue d'un partenariat avec la Chambre de commerce, d'industrie et de services de Casablanca-Settat (CCIS-CS). C'est un partenariat public-privé puisque l'école sera basée dans l'enceinte de la Chambre de commerce sur un site de 1.000 m2, derrière Bd Mohammed V (ex-IMM). Le concept tombe à point nommé puisqu'il intervient dans un contexte de transformation numérique avec toutes les ruptures technologiques que cela induit tant sur les emplois que sur la formation.

Education non formelle : 67.400 bénéficiaires cette année

La rentrée des classes des élèves de l’éducation non formelle, c’était mardi dernier. Cette année, 67.400 jeunes bénéficiaires sont ciblés, contre 65.046 un an plus tôt. Cette catégorie englobe les enfants en décrochage scolaire, issus de l’immigration ou en situation difficile (y compris les enfants des rues). Cette année, 15 centres de la 2e chance, nouvelle génération, seront ouverts, et 30 anciens centres seront mis à niveau. D’ici 2021, 80 centres verront le jour.

Réforme de l’éducation et de la formation : Une nouvelle ère s’ouvre

Le ministre de l'éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Said Amzazi, a affirmé vendredi à Béni Mellal que la réforme du système de l'éducation et de la formation ouvre une nouvelle ère sous le signe de la durabilité, le partenariat, l'engagement, le suivi, l'équité et l'excellence. Intervenant lors de la cérémonie d'installation du nouveau président de l'université Sultan Moulay Slimane, Nabil Hamina, en présence notamment du wali de la région de Béni Mellal-Khénifra, Abdeslam Bekrate, du gouverneur de la province de Fquih Ben Saleh, Mohamed Karnachi, des élus locaux et autres personnalités civiles et militaires, le ministre a passé en revue les grandes lignes de la réforme du système de l'éducation et de la formation, annonçant sur ce registre que son département entamera très prochainement le processus de mise à niveau des cycles de Master et du Doctorat ainsi que la qualification universitaire. L'objectif étant de mettre en place une formation doctorale d'excellence basée sur la recherche scientifique avec à la clé des thèses de qualité, présentées et discutées dans des délais raisonnables.

Programmation informatique : Al Akhawayn remporte le championnat national

L’Université Al Akhawayn à Ifrane (AUI) a remporté, pour la 5ème année consécutive, la 7ème édition de la compétition nationale de programmation informatique ‘‘Moroccan Collegiate Programming Contest’’. Cette compétition de haut niveau, qui s’est tenue le weekend dernier à l’école 1337 à Khouribga, a vu la participation de plus de 200 étudiants répartis sur 67 équipes de prestigieuses écoles et universités nationales. L’équipe d’AUI se composait, cette année, des étudiants Omar Moussa, AbdelMajid Essofi et Ahmed Lekssays, co-entraînés par l’ancien champion Khalil Ait Brahi.

Ecole belge de Casablanca : La 1ère promotion à l’honneur en Fédération Wallonie-Bruxelles

La première promotion de l’école belge de Casablanca a été honorée par le Président du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ainsi que plusieurs ministres et officiels belges, annonce l’école dans un communiqué. Détails. Dans le cadre de leur voyage de fin de cursus scolaire, les élèves de sixième année secondaire de l’école belge de Casablanca sont actuellement en voyage scolaire à Bruxelles. Un séjour riche en rencontres et en enseignements, dans le cadre de prestigieuses invitations officielles ainsi que de journées de découverte des grandes écoles et universités belges : A l’occasion de la fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ces élèves ont été invités par le Président du Parlement de la FWB, Philippe Courard, à participer à la cérémonie officielle à l’hôtel de ville de Bruxelles.

Le préscolaire, une institution qui inculque l’amour de l’école

Dans l’enceinte de l’école primaire Moussa Ibn Nosseir à Martil, a vu le jour une unité d’éducation préscolaire au profit des enfants des quartiers avoisinants, avec l’objectif de leur inculquer l’amour de l’école et le désir de réussir leurs premiers pas dans la recherche du savoir. Quelque 138 élèves, dont 44,92% de filles, franchissent chaque jour les protes de cette unité qui leur enseigne les b.a.-ba de la lecture, de l’écriture, de l’expression orale, des maths, des arts, des sports et du Saint Coran. L’unité, qui s’étale sur 200 m2, est composée de deux salles de cours, d’une salle de jeux éducatifs et ludiques et d’une cour de jeu, pour un budget de 115.000 dhs.

TOP 500 des meilleures universités, le Maroc toujours absent !

Chaque année, depuis 2003, le monde universitaire et académique retient son souffle en attendant les résultats du classement mondial des meilleurs établissements universitaires. Ce classement mondialement reconnu puisque basé sur une méthodologie transparente et des données quantifiables et objectives, est dominé, une fois de plus, par les universités anglophones.

Deux Marocains informés par hasard de leur classement dans le e-learning en Afrique

Deux Marocains, Oussama Esmili, DG d'Ideo Factory, et Hassane Darhmaoui, professeur à Al Akhawayn, occupent respectivement les 29e (catégorie Premier Platinum) et 63e (catégorie Gold Standard) places de ce classement. Consacré depuis 9 éditions annuelles aux 100 personnalités mondiales influentes dans le domaine, ce premier classement africain vient mettre un coup de projecteur sur les acteurs qui font bouger le marché du e-learning sur le continent. Le jury était composé de personnalités indépendantes et non-africaines du secteur du e-learning à l’échelle mondiale. Le classement compte 4 catégories de 25 personnes (The Elite, Premier Platinum, Gold Standard, Silver) et regroupe des profils d’horizons divers. À l’échelle africaine, la première place est occupée par Rapelang Rabana, Chief Digital Officer de l’entreprise sud-africaine Rekindle Learning.

Quand la science du cerveau révolutionne l'école

Très écoutés par le ministre de l'Éducation, les scientifiques de plusieurs disciplines - sciences cognitives, neurosciences, sciences de l'éducation - veulent aider à rendre l'école plus efficace et à réduire les inégalités grâce aux connaissances sur les mécanismes de l'apprentissage. Sophie Gargowitsch est maire de Blanquefort-sur-Briolance, dans le Lot-et-Garonne. Confrontée à la fermeture de l'école du village, cette professeur d'anglais s'est retroussé les manches avec l'ensemble des acteurs - de la ministre de l'Éducation nationale de l'époque aux parents d'élèves - pour lancer il y a deux ans une école publique Montessori où les élèves viennent aujourd'hui avec le sourire. Pour la rentrée 2018, elle vient même d'ouvrir une nouvelle classe, fait assez rare en milieu rural pour être signalé. En prime, elle a redynamisé la vie locale en attirant une centaine de nouveaux habitants. Pour la rentrée de 2016, nous avons aménagé les classes et créé le matériel nécessaire » , se souvient l'élue.

Emploi : Les mesures urgentes du gouvernement

Le plan gouvernemental pour l’emploi des jeunes diplômés s’appuie sur les secteurs de l’enseignement, la santé et des projets d’infrastructures lancés par les établissements publics en vue de redonner confiance aux jeunes titulaires d’une licence. La rentrée parlementaire a été une occasion pour le gouvernement d’étaler ses premières mesures urgentes visant particulièrement la lutte contre le chômage des jeunes diplômés. Avant de présenter en détail les mesures contenues par le PLF 2019 et dans l’optique de tenir une rencontre nationale avant la fin de cette année axée sur la problématique de l’emploi des jeunes, les premiers éléments de la vision du gouvernement se basent essentiellement sur l’emploi des jeunes au sein du secteur de l’enseignement.

Université : le budget alloué aux bourses d’études s’élève à 1,8 milliard de dirhams

Le budget alloué aux bourses d’études pour la rentrée universitaire 2018-2019 s’élève à 1,8 milliard de dirhams, comme l’a indiqué le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur, qui a revu à la hausse le nombre des boursiers. Le nombre de bourses d'études grimpe en cette rentrée universitaire 2018-2019. Et le quotidien de préciser que, pour cette rentrée, le département a revu à la hausse le nombre des boursiers.

Ingénieurs : Grave problème de relève dans les grandes écoles

Notre plus grande préoccupation, c’est la relève des enseignants», estime Mly Larbi Abidi, directeur de l’Ecole Mohammadia des ingénieurs (EMI). Il est incensé qu’un prof qui n’a jamais construit un pont de sa vie enseigne à des élèves ingénieurs la manière d’en construire!» La formation d’un ingénieur enseignant, c’est l’affaire de 3 ou 4 ans», assure Abidi.

Industrie automobile : La Corée confie la formation africaine au Maroc

Un mémorandum d’entente triangulaire Maroc-Corée-Afrique a été signé ce vendredi à Rabat, ouvrant la voie à la formation de 53 managers et formateurs marocains et africains dans le secteur de l’industrie automobile au cours des quatre prochaines années. Le mémorandum, signé au cours d’une cérémonie présidée par le ministre de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Said Amzazi, et de l’ambassadeur de Corée du Sud au Maroc, Seong Dok Yun, vise à renforcer les capacités des ressources humaines de plusieurs pays, notamment du Maroc, le Cameroun, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et la Tunisie, pour bâtir une industrie automobile africaine respectueuse des standards internationaux.
Education et formation du 22 au 26 Octobre 2018

Inscription à la newsletter







CND en photos
20150226_101251
20150226_100556
abh
cnd
20150226_100529
rofoof






PageRank Actuel

Choisir votre langue