Education et formation du 22 au 26 avril 2019



Veille Maraacid


Enseignement des mathématiques : comment fonctionne la méthode Singapour?

La cité-Etat asiatique, misant tout son développement sur les technologies, a bousculé l’enseignement des maths. La France s’apprête à adopter sa méthode.

Bourses d’études à l’étranger : Les ficelles pour les décrocher

Décrocher une bourse d’études représente une véritable galère pour de nombreux étudiants. Pour y parvenir, ceux-ci doivent réaliser des recherches sur les différents sites dédiés et constituer un dossier de candidature prenant en compte critères d’éligibilité et conditions d’accès de chaque destination, qu’elle soit classique ou plus «exotique». Un tour de force qui nécessite de la rigueur, de l’organisation ainsi qu’un mental d’acier. Suivez les conseils et les infos utiles classés par pays du formateur spécialisé en accompagnement à l’employabilité, Mourad Touati, et de l’inspecteur en orientation, Abderrahim Idam.

Les élèves d’Al Jabr prêtent leur voix à des enfants dyslexiques

Leur vie scolaire est dure. Avec leur trouble de la lecture, les enfants dyslexiques vivent un véritable calvaire. Peu d’écoles les acceptent et leur offrent un accompagnement adapté. Ceux issus de milieux démunis, et dont les parents sont analphabètes ou faiblement instruits, sont doublement pénalisés. Scolarisés dans des écoles publiques qui les ignorent, ils subissent rejet sur rejet, et décrochent petit à petit.

La Belgique s’apprête elle aussi à généraliser le préscolaire

L’École Belge au Maroc (EBM) a ouvert ses portes en 2014 avec un premier site à Casablanca qui compte aujourd’hui plus de 900 élèves. En novembre dernier, le premier site de Rabat a été inauguré par la Princesse Astrid de Belgique et a accueilli 247 élèves cette année. Jeudi dernier, la ministre-présidente du gouvernement francophone bruxellois, Fadila Laanan, est venue rendre visite à la première promotion de bacheliers. «Cette visite m'a vraiment beaucoup impressionnée. Je suis fière de cette école qui va former une élite qui assurera le rayonnement du Maroc et de la Belgique à l'étranger», souligne la ministre.

Nouvelle escalade entre le ministre Amzazi et les enseignants contractuels

Le courant ne passe plus entre Amzazi et les enseignants contractuels malgré un premier round de négociations. Le ministre de l’Education les accuse de ne pas avoir respecté leurs engagements. Les grévistes lui rendent la pareille. Une année blanche en perspective?

HP et le MEN partenaires pour digitaliser l'éducation nationale

Le Ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et HP main dans la main pour la digitalisation de l'éducation nationale.

Education : Le préscolaire finlandais arrive au Maroc

Un protocole de coopération et de partenariat a été signé, ce mardi à Rabat, entre FinlandWay International Preschools, un des leaders de l’éducation préscolaire en Finlande et le Groupe scolaire Benabdallah visant à lancer la 1ère unité pionnière d’éducation préscolaire finlandaise au Maroc pour les enfants de 12 mois à 6 ans.

Jusqu'à présent, les Moocs ont déçu

L’enseignement supérieur est désormais un secteur économique stratégique. Les meilleures universités du monde se battent pour attirer les étudiants. Aux Etats-Unis, qui détiennent les universités les plus réputées du monde, ce secteur représente un chiffre d’affaire annuel de 500 milliards de dollars, soit 2,5 % du PIB. Pourquoi ce pays, tellement à l’affût des innovations technologiques, persiste-t-il à offrir aux étudiants des cours magistraux ennuyeux, alors que l’enseignement secondaire se convertit progressivement aux techniques de « classe inversée » ?

Le numérique a fait émerger de nouveaux modes informels d’apprentissage

Consulter un tutoriel vidéo sur YouTube ou un dictionnaire en ligne, travailler son anglais dans les transports en commun grâce à une application dédiée… Pour développer leurs compétences, les professionnels ont de plus en plus recours à ces modes d’apprentissage informel numérique. C’est ce que montrent deux études conduites par le [HRM Digital Lab] de l’Institut Mines-Télécom Business School, auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 salariés en France.

Révolutionnaire ! Fini les facultés à accès ouvert

Pour une révolution, c’en est vraiment une! Longtemps considérés comme des «fabriques à chômeurs», les universités sont à la porte d’une vraie métamorphose. Ainsi, le pays s’apprête à revoir le système d’accès ouvert dans les dizaines de facultés que comptent les universités marocaines. Si les inscriptions seront toujours libres au niveau de chaque université, le choix de la faculté ainsi que de la filière de spécialités sera, lui, rigoureusement suivi et contrôlé par les responsables. Il n’est donc pas question de refuser l’accès aux facultés mais de proposer des filières adaptées pour chaque inscrit.

Ingénierie, informatique, finance... Les filières qui ont le «vent en poupe»

Etre armé de compétences techniques c’est bien... toutefois, les soft skills sont tout aussi indispensables pour pouvoir décrocher un job. Les employeurs sont désormais à la recherche de collaborateurs capables de s’intégrer dans leur environnement, de s’adapter au contexte dont les caractéristiques varient continuellement, et qui maîtrisent les langues.

YouCode et 1337: Ces écoles qui bousculent les normes

Entièrement gratuites, ouvertes 24h/24 et 7j/7 et accessibles à tous sans prérequis de diplôme, ou de connaissances en informatique, les écoles de codage informatiques YouCode et 1337 pour le codage informatique proposent un modèle pédagogique sans professeurs, ni directeur, ni cours imposés.

Exclusif - Bachelor : Le diplôme conditionné par la maîtrise du français!

A la rentrée 2020-2021, les établissements de l’enseignement supérieur public adopteront le modèle du bachelor (bac+4). Ceux du privé suivront. Les universités sont déjà en train de préparer le terrain: Révision de l’offre de filières en concertation avec le monde socioéconomique, tests de positionnement et certifications en langues... Le ministre de l’Education nationale, Saaïd Amzazi nous livre, en avant-première, les détails de la nouvelle architecture.

17 nouveaux établissements supérieurs en projet

Le Conseil de gouvernement a adopté récemment un projet de décret relatif à la création de nouveaux établissements universitaires et au changement des appellations d’autres. Il s’agit d’un projet initié dans le cadre de la stratégie du ministère de tutelle visant à rapprocher les établissements universitaires des étudiants. Ce projet de décret entend diversifier les formations au sein des universités dans l’objectif de satisfaire les attentes et demandes du marché de l’emploi, tout en améliorant les conditions d’encadrement dans ces établissements et en adaptant la carte universitaire au découpage régional actuel.

La montée en cadence du digital pédagogique

Où en sont les écoles et universités par rapport au digital pédagogue? Pas très loin, si on les compare aux autres établissements à l’international. A l’ère de l’intelligence artificielle, cette mutation est un véritable enjeu et permettrait pour l’université publique à la fois de simplifier sa gouvernance, de décongestionner ses amphis et de donner une chance à tous les étudiants de suivre les cours dans les meilleures conditions possibles.

Saïd Amzazi : " Enseigner les matières scientifiques en langues étrangères est un impératif de justice sociale"

Cela fait près de 30 ans que le Maroc a adopté la langue arabe dans l’enseignement des matières scientifiques depuis le primaire jusqu’au baccalauréat. Un état de fait qui a créé une véritable fracture linguistique entre l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur où ces matières sont étudiées en français. Résultat : seul 1 étudiant sur dix parvient à décrocher sa licence en 3 ans, et 30% des bacheliers scientifiques préfèrent finalement s’inscrire dans des filières de sciences humaines et sociales en arabe pour fuir la question des langues.

M. Amzazi : L'option internationale du baccalauréat reflète l’excellence de la coopération maroco-française dans le domaine de l'enseignement

L’option internationale du baccalauréat (OIB) reflète l’excellence de la coopération entre le Maroc et la France dans le domaine de l'enseignement, a souligné jeudi à Rabat le ministre de l'Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Saïd Amzazi.

Ces associations qui remettent filles et garçons sur le chemin de l’école

Ce sont 259 000 élèves qui abandonnent chaque année l’école. Et c’est au collège que l’on enregistre le taux le plus élevé. Il est, selon les dernières statistiques du ministère de l’éducation nationale, de 10,7% contre 13% en 2008-2009. Au lycée, le taux d’abandon se situe à 9,9% contre 15% dix ans plus tôt. Et c’est au niveau du primaire qu’il est le plus bas : de l’ordre de 1,1% contre 4,6% il y a 10 ans.

Polémique – Lahjomri souligne l’importance de l’apprentissage des langues

L’enseignement de la langue française au cœur du débat. Le secrétaire perpétuel de l’Académie du royaume, Abdeljalil Lahjomri, a estimé qu’il n’est pas aisé de réformer les systèmes éducatifs car toute réforme suppose d’anticiper l’avenir d’où l’importance de la réactualisation des programmes et des pédagogies et l’apprentissage des langues.

Ahmed Najmeddine : «Des dispositifs transversaux d’appui et d’accompagnement mis en place»

ALM : Quelles sont les filières les plus prisées par les nouveaux bacheliers dans votre université ? Ahmed Najmeddine : Sur le plan quantitatif, je peux dire que toutes les filières de l’Université sont prisées par les étudiants. Ceci peut être traduit par l’évolution des effectifs des inscrits qui a connu un taux de croissance très important au cours de ces dernières années passant de 8.055 étudiants en 2010 à environ 37.000 au titre de la présente année universitaire.

Thami Ghorfi : «L’enseignement supérieur au Maroc en pleine mutation»

Entretien avec Thami Ghorfi, président de l’ESCA, Ecole de Management. ALM : Pourriez-vous nous dresser le premier bilan de l’année ? Thami Ghorfi : Comme chaque année, ESCA École de Management réalise plusieurs chantiers pour poursuivre son évolution sur le chemin de l’excellence et affirmer son leadership. Cette année est très particulière pour ESCA Ecole de Management puisqu’elle a réussi à obtenir l’accréditation internationale AASCB. Nous sommes la première business school au Maroc et en Afrique francophone à réaliser une telle prouesse.
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