Education et formation du 25 au 29 Juin 2018



Veille Maraacid


Le redoublement : faut-il l'interdire dans l'enseignement ?

Faut-il éviter un maximum de faire redoubler des élèves ? La réponse à cette question n’a jamais été évidente. Certains disent que le redoublement ne sert à rien, d’autres prétendent l’inverse. Alors comment aborder le sujet, à l’heure où le Pacte d’excellence doit dessiner les lignes de l’enseignement de demain ? Soir Première a reçu Hugues Drealants, chercheur en sociologie à l’UCL. La Belgique est souvent considérée comme une championne du redoublement. Comme le rappelle le chercheur, "On a ce triste record d’être un des pays dans lequel, à 15 ans, on a 50% des élèves qui ont déjà redoublé au cours de leur scolarité".

D'ici 2030, le personnel enseignant au Maroc sera renouvelé à 80%

Entre 2015 et 2030, le nombre d'enseignants recrutés et formés au Maroc atteindra 200.000, ce qui représente un taux de renouvellement de 80% du personnel d'enseignement actuel, a affirmé le ministre de l'Education nationale, Said Amzazi. S'exprimant à l'ouverture d'une séance d'audition et d'interaction du Conseil supérieur de l'éducation et de la formation et de la recherche scientifique, le ministre a précisé que le nombre des enseignants futurs qui s'inscrivent dans le cadre de la refonte du système éducatif (2015-2030) accentue la nécessité de réformer le système de formation de base de ces cadres.

Inscriptions universitaires : Du changement au Maroc

Le ministre de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Saïd Amzazi, a annoncé que, concernant les mesures prises pour l’inscription aux universités, instituts et écoles supérieurs, la prochaine rentrée scolaire connaîtra des changements importants au niveau de la gouvernance et la gestion universitaire, faisant savoir que les nouveaux étudiants sont appelés à s’inscrire fin juin et que le denier délai pour l’inscription aux différentes branches est fixé au mois de juillet.

Education : un nouveau mode de formation pour 200.000 enseignants d'ici 2030

Le Maroc aura besoin de 200.000 enseignants d'ici 2030, mais formés autrement, sur une plus grande période et plus efficacement. Les détails du plan de Saïd Amzazi. Les besoins du Maroc en enseignants pour les trois cycles d'ici 2030 dépassent 200.000 cadres pédagogiques, soit un taux de renouvellement de 80% des actuels effectifs du ministère de l'Education. Mais qui, en plus, nécessitent une meilleure formation dispensée sur une plus longue période. Selon Assabah, dans son édition de ce vendredi 29 juin, d’après le plan mis en place par Saïd Amzazi et présenté le 27 juin devant le Conseil supérieur de l'enseignement, la période formation des enseignants du futur s'étalera sur cinq ans au lieu d'une seule année.

Les technologies peuvent-elles modifier la forme universitaire ? Certainement !

Dans l’article initiateur de ce débat (Peraya, 2018), il est question d’étudier la forme universitaire à l’intersection des trois niveaux d’analyse systémique (le niveau micro du terrain pédagogique, le niveau méso de l’établissement ou de la politique éducative locale et le niveau macro de la politique éducative nationale) et des trois niveaux de changements définis par Prost (2013, évoqué par Peraya, 2018) : les changements mécaniques visant à rendre plus efficace un dispositif pédagogique, les changements organiques se situant au niveau de l’organisation du système éducatif et enfin les changements structurels ou paradigmatiques questionnant directement les fonctions régaliennes de gouvernance de l’institution.

Stratégies d’Immersion, Subjectivité et Médiation dans l’enseignement des langues « étrangères » dans le secondaire privé aux Etats-Unis

Les résultats médiocres obtenus en termes de maîtrise de langue étrangère à l’issue de la scolarité obligatoire peuvent certes s’expliquer par des contraintes d’ordre structurel et institutionnel : trop d’effectifs par classe, des programmes parcellés et entrecoupés, peu de coordination entre le primaire, le secondaire et le supérieur, pas assez d’heures consacrées à l’apprentissage et à la pratique des langues, un manque flagrant d’enseignants qualifiés, une formation des enseignants peu adaptée à la réalité du terrain, des contraintes d’ordre matériel limitant l’accès à la recherche et aux expériences d’immersion à l’international.

La révision de la carte universitaire vise à équilibrer l’offre universitaire entre les régions

La révision de la carte universitaire, dans le cadre de la politique de proximité et de l’égalité des chances, vise à créer un équilibre au niveau de l’offre universitaire entre les régions, a souligné, lundi à Rabat, le secrétaire d’État chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Khalid Samadi. En réponse à une question orale sur «la répartition régionale équitable de l’offre universitaire», présentée par le groupe Authenticité et modernité à la Chambre des représentants, M. Samadi a indiqué que le ministère de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a publié, dans ce sens, un nouveau décret N° 2.18.236 relatif aux établissements et cités universitaires, en conformité avec l’actuel découpage régional.

100.000 profs à former : Comment le ministère compte-t-il y arriver?

Les licences en sciences de l’éducation seront ouvertes aux bacheliers sur concours, oral et écrit. Les lauréats n’auront pas de mal à trouver des débouchés. L’Education nationale a besoin de recruter 20.000 contractuels par an. Le secteur privé est également en déficit d’enseignants. Il était temps! Un programme de formation des enseignants du primaire et du secondaire (collège et lycée) à partir du bac, avec une sélection à l’entrée, pour ne prendre que les profils les plus valables et les plus motivés. Il aurait peut-être fallu un ministre issu de l’Enseignement supérieur, ancien doyen et président d’université, pour mener ce projet. L’initiative fait partie des premières grandes mesure de Saaïd Amzazi en tant que ministre de l’Education nationale.

Au Maroc, le grand malaise des couches moyennes

Face à la défaillance de l’école publique, qui persiste malgré des années d’études et de réformes, la classe moyenne n’a d’autre choix que de recourir au secteur privé pour assurer un enseignement de qualité à ses enfants. Profitant de cette forte demande, les écoles privées augmentent continuellement leurs prix, sans que la qualité suive forcément. Selon les chiffres du HCP, de 2013 à 2017, le coût de l’enseignement préscolaire, primaire et secondaire a augmenté de plus de 20%. Certains établissements revoient chaque année leurs prix à la hausse et imposent de nouveaux frais (inscription, adhésion, tests…).

Sondage national : L’AIPEEP évalue les écoles privées

L’Association indépendante des parents d’élèves en enseignement privé (AIPEEP) a lancé dernièrement un sondage national sur les réseaux sociaux pour évaluer l’ensemble des écoles privées. Il s’agit d’une première au Maroc. Souhaitant garantir un enseignement de qualité à leur progéniture, de plus en plus de parents ont tendance à inscrire leurs bambins dans des établissements scolaires privés, surtout face à la crise que connait l’enseignement public dans notre pays depuis quelques années. Mais le choix de l’école devient très difficile vu le grand nombre de ces établissements et les tarifs qui ne cessent d’augmenter chaque année malgré la qualité de l’enseignement qui laisse parfois à désirer.

Programme de réinsertion socioprofessionnelle : 188 détenus décrochent le baccalauréat en 2018

Le nombre de détenus ayant réussi l'examen du baccalauréat, session de juin-2018 dans les différents établissements pénitentiaires a atteint 168 sur 766 candidats, soit un taux de réussite de 22%, a indiqué la Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réintégration (DGAPR). Citant les données du ministère de l’Éducation nationale, la Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réintégration (DGAPR) note, dans un communiqué, que 26% des candidats ayant réussi leur épreuve ont obtenu une mention assez bien à très bien, ajoutant que 314 détenus, soit 53% du total des non-admis, passeront le rattrapage.

84,78% des non et mal voyants décrochent leur baccalauréat en 2018

Le taux de réussite des non et mal voyants aux examens du baccalauréat, session de juin 2018, a atteint 84,78% au niveau national, a indiqué l'Organisation alaouite pour la protection des aveugles au Maroc (OAPAM). L'Organisation alaouite pour la protection des aveugles au Maroc (OAPAM) a annoncé que le taux de réussite des non et mal voyants aux examens du baccalauréat, session de juin 2018, a atteint 84,78% au niveau national. Le nombre des candidats ayant réussi l'examen du baccalauréat au niveau national s'élève à 78 sur 92, tandis que le nombre des candidats libres ayant validé leurs épreuves a atteint 14, sur 23 aux niveaux des régions de Rabat-Salé-Kénitra et Casablanca-Settat, soit un taux de réussite de 60,86%, a fait savoir un communiqué de l'Organisation alaouite pour la protection des aveugles au Maroc (OAPAM), notant que 9 candidats scolarisés et 7 candidats libres passeront le rattrapage.

Saham et son partenaire Tana passent à la vitesse supérieure

Le groupe Saham et le fonds d’investissement Tana (joint-venture entre le family office du milliardaire sudafricain Oppenheimer et le fonds singapourien Temasek) poursuivent leurs investissements dans le domaine de l’éducation au Maroc. En effet, les deux partenaires viennent de porter le capital de leur joint-venture Sana Education Morocco (SEM) à 184 millions de DH à travers une recapitalisation de 34 millions de DH. Ce nouveau renflouement vise à renforcer les fonds propres de cette holding qui a déjà investi plusieurs centaines de millions de DH dans pas moins de cinq établissements scolaires d’excellence au Maroc en s’appuyant également sur l’emprunt financier. Le dernier en date est de celui du campus Almaz à Casablanca de 18.000 m² inauguré il y a quelques mois et qui a nécessité, à lui tout seul, une enveloppe d’investissement de plus de 120 millions de DH. Il faut que dire que SEM vise à atteindre une capacité d’accueil de 10.000 élèves de la maternelle au baccalauréat contre 4 000 élèves à ce jour (dont 1 800 pour le seul campus Almaz). Ce qui nécessitera vraisemblablement d’autres recapitalisations à l’avenir.

Enseignement privé : le ministère peut-il plafonner les tarifs?

L’enseignement privé compte représenter 25% des effectifs de l’éducation nationale à l’horizon 2024. Toutefois, celui-ci est très critiqué pour ses tarifs élevés. Face à cette situation, le ministère de tutelle compte agir mais la tâche demeure ardue. L’enseignement privé est de plus en plus critiqué par les familles marocaines pour la cherté des tarifs pratiqués. Et malheureusement, à cause de la faiblesse quantitative des établissements publics et surtout de la qualité relativement médiocre qui y est dispensée, les familles marocaines n’ont pas beaucoup de choix. De plus en plus de familles optent pour le privé pour assurer à leurs enfants une meilleure éducation.

Education : les vérités du Conseil supérieur de l’enseignement

Un nouveau rapport du Conseil supérieur de l’enseignement et de la recherche scientifique démontre que la réussite du système scolaire privé est une preuve des disparités en matière d’enseignement au Maroc. Le système scolaire privé est une preuve des disparités sociales dont souffre le Maroc. C’est en tout cas l’une des conclusions à laquelle est arrivé le Conseil supérieur de l’enseignement et de la recherche scientifique et qui est rapporté par Assabah dans son édition du vendredi 22 juin.

Les nouveaux challenges de la Fondation Zakoura

L’éducation est le cheval de bataille de la Fondation Zakoura. Toujours à l’affût de concepts innovants, elle vient de lancer le premier Fonds pour l’Education en Zone Rural (FER) au Maroc. Et ce n’est pas la seule initiative de cet organisme qui a soufflé ses 20 bougies en 2017. Le point avec Rita El Kadiri, directrice générale de cette Fondation.

Maroc : 43% des étudiants abandonnent l’université sans diplôme

Le ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a révélé des chiffres effarants, ce mardi, devant la commission de l’enseignement de la Chambre des représentants qui témoignent de la crise que connaît l’université marocaine, relate le site Yabiladi. Selon le ministre, 25% des nouveaux étudiants dans les facultés qui n’ont pas de système de sélection (facultés de droit, de lettres et de sciences) ne dépassent pas le premier semestre. Pis encore, 43% des étudiants quittent les bancs de l’université sans avoir obtenu de diplôme universitaire (incluant le DEUG et la licence).

Maroc : les résultats du baccalauréat 2018 disponibles sur Taalim.ma et Tarchihat

Le ministère de l’Education nationale va publier ce vendredi les résultats de la session ordinaire (juin 2018) des examens du baccalauréat. L’annonce des résultats se fera via la plateforme de la messagerie Taalim.ma dès 10 heures du matin, mais aussi sur le site « Tarchihat » pour les candidats libres et le site du ministère (www.men.gov.ma) pour l’ensemble des candidats. Il sera également possible de consulter les résultats dans les établissements d’enseignement concernés à partir de 17 heures le même jour.

Réussite au bac : La région de l’Oriental en tête

L’Académie régionale de l’éducation et de la formation (AREF) de la région de l’Oriental a enregistré le meilleur taux de réussite au niveau national dans les examens du baccalauréat (session de juin-2018), indique un communiqué de l’AREF. Le nombre des candidats scolarisés ayant passé avec succès les examens de la session de juin du baccalauréat au titre de l’année 2018 au niveau de la région de l’Oriental a atteint 13.509 élèves, dont 1.233 candidats libres, soit un taux de réussite de 63,61 % et une progression de 6,9 points par rapport à la session de juin-2017, précise-t-on.

Plus de 187.130 candidats scolarisés dans l'enseignement public et privé décrochent leur baccalauréat

Un total de 187.138 candidats scolarisés dans l'enseignement public et privé ont décroché leur baccalauréat, au titre de la session ordinaire de juin-2018, soit un taux de réussite de 57,36 pc, contre 50,28 pc, lors de la même session de l'année précédente, a annoncé, vendredi, le ministère de l'éducation nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Le nombre des filles scolarisées ayant décroché leur diplôme a atteint 103,567, soit un taux de réussite de 55,34 pc, ajoute la même source dans un communiqué, précisant que les candidats ayant obtenu une mention s'élèvent à 92.771, soit 49,58 pc du total. Après avoir rappelé que 326.273 élèves scolarisés ont passé les examens de cette session, le communiqué révèle que la moyenne générale la plus élevée est de 19,44 sur 20, branche sciences physiques (option française), au niveau de l'académie régionale de l'éducation et de la formation de Marrakech-Safi.

Enseignement supérieur : Un état des lieux et une feuille de route

Les universités et les grandes écoles publiques et privées occupent une place de choix dans la vision stratégique. Les lauréats des facultés à accès non régulé enregistrent un taux de chômage dans des proportions sans aucune commune mesure avec les lauréats des établissements régulés (70 %) conduisant ainsi au déclassement et à la reproduction des inégalités sociales. La réforme de l’éducation et de la formation est aujourd’hui au cœur des préoccupations publiques. C’est ainsi que le Maroc s’est doté d’une vision stratégique 2015-2030. Il s’est avéré que le système éducatif national souffre encore de dysfonctionnements chroniques relevés par le Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique dans le rapport établi par l’Instance nationale d’évaluation à propos de «la mise en œuvre de la Charte nationale d’éducation, de formation et de recherche scientifique 2000-2013 : les acquis, les déficits et les défis».

Baccalauréat 2018 – Le taux de réussite a augmenté de 7% au Maroc

Un total de 187.138 candidats scolarisés dans l’enseignement public et privé ont décroché leur baccalauréat, au titre de la session ordinaire de juin-2018, soit un taux de réussite de 57,36 pc, contre 50,28 pc, lors de la même session de l’année précédente, a annoncé, vendredi, le ministère de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Le nombre des filles scolarisées ayant décroché leur diplôme a atteint 103,567, soit un taux de réussite de 55,34 pc, ajoute la même source dans un communiqué, précisant que les candidats ayant obtenu une mention s’élèvent à 92.771, soit 49,58 pc du total. Après avoir rappelé que 326.273 élèves scolarisés ont passé les examens de cette session, le communiqué révèle que la moyenne générale la plus élevée est de 19,44 sur 20, branche sciences physiques (option française), au niveau de l’académie régionale de l’éducation et de la formation de Marrakech-Safi.

Espace francophone : Une nouvelle synergie pour relever les défis de la promotion du numérique

L'espace francophone possède aujourd'hui tous les atouts pour développer les actions de coopération et les synergies requises pour relever les défis relatifs à la promotion du numérique, a souligné vendredi, à Marrakech, le ministre de l'Education nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi. "La promotion du numérique dans l'espace universitaire francophone est tributaire de plusieurs défis à relever, dont des infrastructures et de moyens permettant des vitesses et des débits d'accès raisonnables pour les étudiants et les enseignants, des contenus riches et diversifiés développés de manière collaborative et d'enseignants et tuteurs outillés pour assurer l'encadrement des étudiants", a-t-il dit à l'ouverture de la 3e Conférence des ministres francophones de l'enseignement supérieur organisée sous le thème "Vers le financement du numérique dans le nouvel espace universitaire francophone: Bilan d'étape et perspectives".

BAC 2018 : un taux de réussite de 57,36%

Un total de 187 138 candidats scolarisés dans l’enseignement public et privé ont décroché leur baccalauréat, au titre de la session ordinaire de juin-2018. Un total de 187 138 candidats scolarisés dans l’enseignement public et privé ont décroché leur baccalauréat, au titre de la session ordinaire de juin-2018, soit un taux de réussite de 57,36 %, contre 50,28 %, lors de la même session de l’année précédente, a annoncé, vendredi 22 juin 2018, le ministère de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Baccalauréat international : les secrets d'une option à succès

Depuis sa création en 2013, le baccalauréat option internationale ressemble à un parcours d'excellence. Cette année, le taux de réussite dans cette section a frôlé les 97%. Quel est donc le secret d'un tel rendement? Eléments de réponse. Les résultats du baccalauréat dans l’enseignement public ont été rehaussés grâce à l'efficacité de la section internationale. Alors que le taux de réussite global est de 57,36% au titre de la première session, celui du bac international atteint quant à lui 96,24%.

El Othmani : les cas de violence à l’école requièrent une mobilisation pour y faire face

Toutes les formes de violence au sein des établissements de l’éducation et de l’enseignement, quoiqu’ils sont « rares » et « limités », ne sont pas acceptables et requièrent une mobilisation de tout un chacun pour y faire face, a indiqué, jeudi à Rabat, le Chef du gouvernement, Saad-Eddine El Othmani. Intervenant à l’ouverture du Conseil de gouvernement, M. El Othmani s’est arrêté sur la mort tragique d’un élève victime d’une agression mortelle par son camarade de classe, déplorant l’existence de certains actes de violence, moins graves, au sein des établissements scolaires, particulièrement en période d’examens, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, lors d’un point de presse à l’issue de la réunion du Conseil.

Ecoles privées et publicité mensongère : Les clés pour comprendre et pour se défendre

Autorisation, accréditation, reconnaissance de l'Etat et équivalence... Que signifient ces termes? Comment s'y retrouver? Et quels recours contre les écoles qui les utilisent de manière fallacieuse? "Nous sommes accrédités", "autorisés", "reconnus par l’Etat"… dans le privé, les établissements de l’enseignement supérieur utilisent ces expressions comme argument marketing. En faisant parfois dans l’abus de langage, sinon pire: dans le mensonge publicitaire. Dans un communiqué récent, le ministère de l’Education alertait sur ces agissements "illégaux" et "pouvant nuire aux étudiant et à leurs parents". Une nuisance loin d’être hypothétique. Les témoignages de victimes livrés à nos confrères de Telquel sont en ce sens édifiants.

Thami Ghorfi : «Le secteur de l’enseignement supérieur est en pleine restructuration»

Dans cet entretien, le président de l’ESCA, Thami Ghorfi, parle de l’offre de formation disponible au niveau de son établissement ainsi que des projets et nouveautés pour la rentrée universitaire prochaine. ALM : Au Maroc, ESCA Ecole de Management se classe une nouvelle fois en tête des business schools marocaines. Quel effet cela fait-il pour vous? Thami Ghorfi : Depuis plus de 7 ans, ESCA Ecole de Management paraît au Top des classements des Business Schools au Maroc. Cela est dû à des investissements matériels et immatériels que nous avons entrepris depuis plusieurs années pour faire de notre Business School une référence en formation de décideurs au Maroc et en Afrique. Ceci constitue pour nous une reconnaissance envers nos stratégies d’innovation académique, de recrutement d’enseignants-chercheurs hautement qualifiés dans leurs domaines, de développement international et de services aux entreprises. Notre classement en tant que 1ère Business School au Maroc et en Afrique Francophone nous engage aussi à offrir des enseignements de qualité conformes aux meilleurs standards nationaux et internationaux pour contribuer à former des managers de talent et à faire de Casablanca un hub éducatif à l’échelle africaine.
Education et formation du 25 au 29 Juin 2018

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