Industrie du 29 Octobre au 02 Novembre 2018



Veille Maraacid


Demain, voiture et bureau ne feront qu'un

Plus qu’ailleurs en Europe, les Français restent attachés à leur voiture pour leurs trajets domicile - travail et leurs déplacements professionnels. Alors que la congestion des principaux axes urbains et périurbains a allongé les durées de trajets, l'innovation automobile foisonnante laisse entrevoir des véhicules qui permettront aux collaborateurs de gagner du temps ou de travailler tout en se déplaçant.Cette surreprésentation de la voiture dans les déplacements professionnels affecte particulièrement les axes routiers urbains et augmente le temps de trajet des automobilistes se rendant ou partant du travail ou de rendez-vous professionnels.

Textile et agroalimentaire : Les coûts unitaires de production en hausse

Aucun changement à signaler. Le climat des affaires a été plutôt normal durant le 3ème trimestre. C’est ce que confirment plus de deux tiers d’industriels ayant répondu à l’enquête trimestrielle de l’enquête de conjoncture. En effet, 65% ont observé cette tendance au moment où 33% ont qualifié le climat de défavorable. Se référant à l’enquête de la banque centrale, la proportion des industriels ayant qualifié le climat des affaires de normal s’est établie à 80% dans l’«agroalimentaire» et dans le «textile et cuir», à 69% dans la «mécanique et métallurgie» et à 48% dans la «chimie et parachimie». Des difficultés ont été en revanche relevées par 15% des patrons opérant dans le «textile et cuir» et 47% dans la «chimie et parachimie».

L’automobile mondiale en plein virage stratégique

Selon Euler Hermes, les immatriculations mondiales de véhicules neufs croîtront en 2018 de +3%, soit 99,7 millions de nouveaux véhicules en circulation. La tendance devrait se poursuivre en 2019, puisque l’an prochain, plus de 100 millions de nouveaux véhicules seront vendus dans le monde. Ce cap sera atteint malgré un léger ralentissement des nouvelles immatriculations, attendues en croissance de +1,9%.

Les dépenses consacrées à la R&D : comparaison entre la France et l'Autriche

L’Autriche, qui assure la présidence de l’Union européenne depuis juillet 2018, consacre près de 3,1% de son P.I.B. à des activités de R&D, soit un point de plus qu’il y a 15 ans. Elle est désormais au 2è rang européen, derrière la Suède, tandis que l’effort de R&D de la France se maintient autour de 2,2%. C’est par le développement de la R&D privée que l’Autriche a accru son effort de recherche, en s’appuyant sur un secteur industriel encore important, et une part de financement par l’étranger conséquente. Dans le cadre du programme pour la recherche et l’innovation «Horizon 2020», l’Autriche obtient d’ailleurs un taux de retour, en termes de subventions au regard de sa contribution, de 1,27 contre 0,66 pour la France.

Indice des prix à la production des industries manufacturières hors raffinage...

L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une baisse de 0,2% au cours du mois de septembre 2018 par rapport au mois d’août 2018. Cette baisse est la résultante de : - la baisse des prix des «industries alimentaires» de 0,4%, de la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques» et de la «Fabrication de textiles» de 0,6%, de la «Fabrication d’équipements électriques» de 0,8% et de l’«Industrie d’habillement» de 0,1%;

Airbus : « Le Maroc a réussi à développer une véritable industrie aéronautique »

Le Maroc a réussi à développer une véritable industrie aéronautique, a souligné, à Marrakech, le responsable des avions commerciaux d’Airbus-région Afrique et Moyen-Orient, Fouad Attar. « Le Royaume est doté de tous les atouts de nature à promouvoir le secteur, dont un savoir-faire, de la matière grise et la proximité géographique du plus grand centre de construction des avions (Toulouse) », a-t-il ajouté dans une déclaration en marge de la 6-ème édition du Salon International de l’Aéronautique et du Spatial « Marrakech Air Show 2018 », une manifestation placée sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI.

Le Maroc deviendra l'un des principaux pôles de production de Renault avec 500.000 véhicules par an

Renault portera sa capacité de production au Maroc à 500.000 véhicules par an, faisant du Royaume l'un de ses principaux pôles de production, a indiqué, samedi à Rabat, le Président directeur général du Groupe français, Carlos Ghosn. "Nous allons avoir une capacité de production au Maroc de 500.000 voitures par an, faisant du Royaume l'un des principaux pôles de production de Renault, surtout que l'industrie automobile est devenue le premier secteur exportateur au Maroc", a affirmé M. Ghosn lors d'une séance plénière tenue dans le cadre de la 11-ème édition de la World Policy Conference (WPC).

L’industrie et l’habitat prennent la plus grosse part

La réforme du statut des CRI et la mise en œuvre de la charte de la déconcentration devront améliorer le processus de la mobilisation du foncier. Au terme du premier semestre 2018, une superficie de 828 hectares a été mobilisée pour la réalisation de 191 projets devant générer un investissement de 6,1 MMDH.

Renault élargit ses perspectives de développement au Maroc

Un nouveau coup de pouce non seulement à l’industrie automobile nationale mais également à l’investissement étranger au Maroc. Renault portera sa capacité de production au Royaume à 500.000 véhicules par an dont 340.000 produits à l’usine de Tanger. C’est l’objectif attendu du projet d’extension de la Société marocaine de constructions automobiles (Somaca) portant sur le dédoublement de sa capacité de production pour atteindre 160.000 véhicules par an à l’horizon 2022. Cette ambition a été exprimée par Carlos Ghosn, président-directeur général du Groupe Renault, lors d’une audience royale jeudi à Marrakech à laquelle a pris part également Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’industrie, de l’investissement, du commerce et de l’économie numérique.

GM exhorte Trump à soutenir les véhicules électriques

General Motors plaide en faveur des véhicules électriques. Le constructeur a déclaré vendredi qu’il souhaitait que l’administration Trump soutienne un nouveau programme national pour favoriser les ventes de véhicules sans émissions polluantes tels que les voitures électriques. Il propose que les Etats-Unis s’inspirent des objectifs fixés par l’Etat de Californie. Objectif : que sept millions de véhicules à énergie propre puissent circuler sur les routes américaines d’ici 2030.
  • Source : .Web
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